Le boss de l’armée française annonce que nous sommes coincés au Mali pour 30 ans afin d’empêcher « les populistes de gagner les élections »

Captain Harlock
Démocratie Participative
17 décembre 2019

Nous avons gagné à la loterie.

30 ans de micro gestion des nègres incapables du Sahel et d’ailleurs pour empêcher que les Blancs ne reprennent le contrôle de leurs pays tenus par la finance juive.

France Info :

En acronyme militaire, ce déplacement s’appelle une ITH, pour « inspection de théâtre ». En trois jours, du 11 au 13 décembre, le Chef d’état-major des armées (CEMA) a alterné briefings opérationnels et visites diplomatiques au Niger et au Mali. L’avion du général François Lecointre s’est d’abord posé sur la base aérienne de Niamey, par où transite l’essentiel des hommes, du matériel, et de la logistique nécessaires aux 4 500 femmes et hommes de l’opération Barkhane.

Dans la soirée – et il fera de même le lendemain à Gao – le plus haut gradé français s’adresse à une quarantaine d’officiers. Le coeur de son discours : rappeler le sens de la mission. « Nous sommes ici pour assurer notre sécurité pour les 30 ans qui viennent« , assure t-il, « car si nous laissons le chaos s’installer, les États sahéliens vont s’effondrer sur eux-mêmes, laisser la place à l’Etat islamique, ce qui provoquera une pression migratoire sur l’Europe, avec tous les risques populistes que cela entraînera« .

Oui, vous avez bien lu. Lecointre fait de la politique. Son job, c’est d’éviter que les « populistes » ne soient élus en France à cause de l’invasion apocalyptique du pays par des millions de nègres.

L’armée française est devenue l’aile militaire de la LICRA.

Comment ? En bricolant avec quelques milliers de soldats dans une région où la négraille prolifère à une vitesse sidérante tandis que le djihadisme s’enkyste.

Pendant trente ans, s’il vous plaît.

Le seul Niger – un désert – atteindra 90 millions d’habitants en 2050 à cause de la bite des nègres.

Peu importe ce que Lecointre trafique sur place avec ses trois hélicoptères, le problème est ailleurs : une natalité cafre cataclysmique et aucune ressource.

La seule question qui doit être posée est la réduction brutale de ces milliards de créatures à 70 de QI.

L’urgence pour régler les problèmes intérieurs et extérieurs, c’est d’extirper la mentalité humanitaire de l’appareil d’état si l’on veut commencer à appréhender rationnellement la question.

J’entends par là une purge complète, impitoyable, prise dans le cadre de l’état de siège.

Actuellement, tout le corps des officiers est infecté de démocratisme, d’égalitarisme racial, de théories absurdes inspirées du Bon Samaritain et encore d’autres obscénités du même calibre dont les spasmes ovariens à propos de l’Holocauste et du péril blanc ne sont pas les moindres.

Et je ne parle des femelles dans les régiments en attendant l’arrivée prochaine des travelos.

Bref, l’armée française est dirigée par des gens séniles aux ordres de maçons, de pédés et de juifs parisiens qui pensent que les nègres sont la solution alors qu’ils sont le problème.

Dans ces conditions, rien ne peut être réglé. Ni aujourd’hui, ni dans 30 ans.

C’est ce qu’est également venu mesurer dans la région le général Lecointre : la possibilité d’appuyer plus encore des Forces armées maliennes, découragées par les revers. Sans elles, sans l’appui de la communauté internationale, rien ne pourra se faire. Les jihadistes ne s’y trompent pas : plutôt que d’attaquer les soldats français, ils attaquent les Maliens, « valeureux mais vacillants », dit le CEMA. Il conteste l’enlisement de l’opération lancée le 1er août 2014, et la fatalité qui voudrait que l’armée malienne ne sera jamais à la hauteur.

Sans les rares nègres des « Forces Maliennes », on ne pourrait « rien faire ».

C’est d’ailleurs en raison de leur brillante et indispensable conduite que les djihadistes leur coupent les jarrets par centaines en priorité.

Non.

Ces nègres ne servent à rien et se dédouaner face aux cris d’orfraie de la négraille qui pullule chez nous – dont quelques 200,000 maliens puants – en cherchant à faire croire que ces macaques nous sont égaux ajoute l’injure au ridicule.

Une bonne fois : les nègres ne servent à rien.

Ces gros cafres indolents ronquent dans leur hutte et se font saigner comme des chèvres parce que ces singes fainéants n’ont que foutre de ce que peut devenir le trou à rats qui leur sert de pays.

Bref, Lecointre se fout de notre gueule.

Les problèmes de l’armée malienne paraissent presque incroyables : des officiers ignorent le nombre, même à la dizaine près, des hommes qu’ils commandent, un soldat n’a pas toujours une arme, les camps sont parfois laissés sans surveillance, pendant la prière ou la sieste, quand les jihadistes attaquent. Pourtant, le général Lecointre voit des motifs d’espoir : de jeunes officiers bien formés, des guerriers vaillants quand ils sont bien encadrés, une communauté internationale, principalement européenne, consciente des efforts qu’il faut partager. « Mais c’est maintenant, dans l’année qui vient, que se joue l’avenir du Sahel », affirme t-il, « c’est pour ça que nous nous engageons en avant-garde, et que nous allons passer à la vitesse supérieure. Si nous loupons ce moment charnière, je suis assez pessimiste ».

Effectivement, mieux vaut être pessimiste car rien des conditions pour régler la question africaine ne sont réunies.

Quel est le seul objectif légitime ?

La réduction radicale de cette masse repoussante de nègres, ce fléau qui pèse sur l’humanité.

La seule option qui tient la route est la stérilisation globale des nègres de ce continent. Les terroristes sous le contrôle des juifs qui parlent « d’aide au développement » ne font qu’aggraver la situation en déversant du kérosène sur l’incendie de la natalité négroïde.

Le nègre a prouvé qu’il ne servait à rien, dans aucun domaine et cette réalité ne fera que se clarifier à mesure que les nouvelles technologies imposeront une concurrence impitoyables entre états.

L’humanité ne peut tolérer que 4 milliards de ces parasites stupides, brutaux et infectieux incubent dans ce gigantesque foyer de pestilence en ébullition qu’est l’Afrique.

Une unité militaire spécialisée dans l’armement biologique peut offrir un éventail de solutions pratiques.

Le nègre est obsolète