Le banquier de Goldman Sachs Mario Draghi décrété nouveau maître de l’Italie sans élections

Captain Harlock
Démocratie Participative
03 Février 2021

 

Vous le savez tous – les médias s’assurent que nous en soyons informés – nous vivons dans le meilleur système politique de l’histoire. Je veux parler de la démocratie.

C’est quelque chose qui est désormais aussi ancré dans les cervelles blanches que jadis l’existence de Dieu. Si vous contestez cette affirmation en public, en famille ou avec vos amis, les gens réagiront avec un air incrédule, pensant que vous leur jouez un tour.

Il est tout aussi clair que personne n’est censé vérifier la réalité de cette proclamation, ni si ce qui est censé être lié à la démocratie comme « la liberté » a un début de réalité.

En Italie, les gens font l’expérience de ce privilège démocratique en vivant dans un pays où ils sont assignés à résidence, financièrement réduits en esclavage et gouvernés par des banquiers de Goldman Sachs soutenus par la Banque Centrale Européenne.

Le journal juif Le Monde, habituellement classé à gauche, se félicite de cette nomination par la banque juive internationale.

Le Monde :

La crise politique se poursuit en Italie après la démission du premier ministre Giuseppe Conte, le 26 janvier. Pour y faire face, le président italien, Sergio Mattarella, a convoqué l’ancien président de la Banque centrale européenne Mario Draghi pour un entretien mercredi, a annoncé son porte-parole, mardi 2 février.

Cette convocation est intervenue juste après l’annonce que les consultations en vue de la reconduction de la coalition sortante menée par M. Conte, composée du Parti démocrate (centre gauche), du Mouvement 5 Etoiles (antisystème) et du petit parti Italia Viva de Matteo Renzi, avaient échoué. « Je n’ai pas constaté une disponibilité unanime pour donner naissance à une majorité » de gouvernement, a déclaré le président de la Chambre des députés, Roberto Fico, à l’issue d’un entretien avec Sergio Mattarella, qui l’avait chargé d’évaluer la faisabilité d’un tel scénario.

Mario Draghi, crédité d’avoir sauvé la zone euro en 2012 en pleine crise de la dette, est un homme réputé pour sa discrétion, son sérieux et sa détermination. Il est diplômé en économie et titulaire d’un doctorat du Massachusetts Institute of Technology.

Autant que je me souvienne, Draghi est surtout connu pour avoir saigné à blanc la Grèce pour le compte de la BCE afin de couvrir l’opération de pillage international menée par la banque juive Goldman Sachs à laquelle Draghi appartenait – et appartient encore car, comme dans la mafia, on ne quitte jamais une banque juive quand on y a été banquier.

Je vous recommande de regarder le documentaire suivant pour comprendre les méthodes qu’utilisent ces juifs pour ruiner les nations.

Celui que les juifs du Monde célèbrent pour « son sérieux » et « sa détermination » est à l’évidence missionné par la finance juive internationale pour remplir une mission similaire en Italie mais d’une envergure beaucoup plus grande.

« Mario Draghi est une personne extrêmement bien préparée et déterminée », a commenté pour l’Agence France-Presse Giuliano Noci, professeur de stratégie à l’école de commerce de Polytechnique à Milan. « Il serait certainement en mesure de sortir l’Italie de la crise, avec le soutien du pays et du Parlement. »

Giuseppe Conte a été contraint à la démission mardi dernier, près de deux semaines après le retrait de sa coalition de l’ex-chef du gouvernement Matteo Renzi et de son parti IV, indispensable pour avoir la majorité parlementaire. Les deux piliers de sa coalition, le Parti démocrate et le Mouvement 5 Etoiles, ont continué à le soutenir, mais sans Italia Viva, il n’avait pas de majorité assurée au Parlement.

En attendant que le président Mattarella décide du cap à tenir, M. Conte, qui ne sera vraisemblablement pas reconduit au vu des annonces de mardi soir, continue à gérer les affaires courantes en pleine pandémie, qui a fait plus de 88 000 morts et fait chuter le produit intérieur brut de 8,9 % en 2020, selon une estimation officielle publiée mardi.

Pour relancer l’économie exsangue, l’Italie table sur un plan de plus de 200 milliards d’euros financé par le plan européen de relance décidé en juillet par l’Union européenne, mais la crise politique qui perdure fait peser des doutes sur la capacité du pays à le mettre en œuvre.

Si les juifs promettent en cash 200 milliards d’euros de dettes supplémentaires à l’Italie, c’est pour lui soutirer au moins 5 fois plus dans la foulée.

Si ces juifs parviennent à leurs fins dans ce pays, son PIB sera divisé par deux d’ici quelques années. Exactement comme en Grèce.

Faire de l’Italie une colonie bancaire ashkénaze est le programme que Draghi est chargé de mettre en place. Ce qu’il pourra faire grâce aux mesures de terreur sanitaire qui ont été mises en place en vue de ce seul objectif.

C’est donc ça, leur « démocratie ».

Les Italiens, pour ruinés qu’ils seront bientôt, pourront se consoler en se disant que s’ils sont plongés dans la misère et le désespoir, ils le seront dans une démocratie où ils ne peuvent rien dire, ni décider de quoi que ce soit et encore moins se déplacer librement.

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