L’autonomiste juif Siméoni s’en prend furieusement à Salvini, veut faire de la Corse la base avancée de l’invasion afro-musulmane

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
28 juin 2019

Depuis qu’elle a élu le sans-frontiériste juif Siméoni à sa tête, la Corse est devenue une superpuissance.

La Corse rappelle à l’ordre l’Italie pour lui signifier son devoir d’ouvrir ses frontières.

Le Monde :

Voici 14 jours – quatorze jours ! – que le Sea-Watch 3, le dernier des bateaux qui, pour le compte d’ONG humanitaires, opéraient en Méditerranée afin de sauver les passagers d’embarcations qui fuient l’enfer de Libye et cherchent à échapper aux griffesde ses garde-côtes, tournait au large de Lampedusa avec 42 hommes, femmes et enfants à bord, à la recherche d’un port de débarquement.

La capitaine Carola Rackete a lancé tous les appels de détresse. Elle a attendu le résultat de sa requête auprès de la Cour Européenne des Droits de l’Homme, qui s’est défaussée sur les gouvernements, qui se sont cachés les uns derrière les autres. La situation devenait intenable et son devoir était clair : elle vient de décider d’entrer dans les eaux italiennes et de rejoindre Lampedusa, où toute une population continue de faire preuve d’une constance admirable dans l’hospitalité.

En jargon maritime cela s’appelle « forcer le blocus ». Mais qu’on ne s’y trompe pas : la loi internationale, les principes fondamentaux du droit humanitaire, et la tradition des gens de mer sont avec elle. Ce sont les autorités italiennes qui se mettent hors-la-loi. Cependant, le ministre Matteo Salvini, véritable détenteur du pouvoir aujourd’hui en Italie, fulmine et menace : ayant passé un décret qui interdit l’abord des côtes italiennes, traîné en justice les élus et les associations qui sauvaient les vies et recensaient les disparus, bloqué dans les ports les bateaux affrétés par les humanitaires (comme le fait aussi la France), il menace de repousser par la force le Sea-Watch 3 ou de le confisquer.

Il ameute l’opinion de son pays contre les « illégaux » Il faut le faire reculer, en joignant nos forces à celles des militants et des militantes qui, derrière l’association « Mediterranea » et d’autres, avec les paroissiens de Lampedusa, avec l’ex-maire de Riace, Mimmo Lucano, et d’autres, résistent à la barbarie et à l’abus de pouvoir de leur gouvernement.

Siméoni veut coaliser l’Europe contre l’Italie et Matteo Salvini depuis Bastia alors que la Corse est envahie de Maghrébins.

Le nationalisme corse institutionnel semble être un ersatz de trotskisme récupéré un juif ashkénaze avec les mêmes conséquences que partout ailleurs.

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