L’Australie va interdire de vol les gens qui refusent de se faire injecter par Bill Gates une substance inconnue dans les veines

Captain Harlock
Démocratie Participative
25 novembre 2020

 

L’Australie est avec la Nouvelle-Zélande le laboratoire de la future Union Soviétique globale que le système est en train de mettre en place.

Si vous voulez savoir quelles décisions seront appliquées par l’UE dans les 12 prochains mois, il suffit de vous tenir informé des mesures adoptées par le gouvernement australien.

BFMTV :

La compagnie aérienne australienne Qantas a prévenu que ses vols internationaux ne seront ouverts qu’aux passagers vaccinés lorsqu’un tel traitement sera disponible pour le grand public. D’autres compagnies pourraient suivre son exemple.

Tous vaccinés pour prendre l’avion? La compagnie aérienne australienne Qantas se lance: « nous envisageons de changer nos conditions d’utilisation pour les voyageurs internationaux, pour leur dire que nous demanderons aux gens de se faire vacciner avant de pouvoir monter à bord de l’avion« , a déclaré son PDG Alan Joyce à la chaîne de télévision Channel Nine.

« Pour les voyageurs internationaux arrivant en Australie et pour les gens qui quittent le pays, nous pensons que c’est une nécessité », a-t-il poursuivi, soulignant que son groupe étudiait aussi la possibilité de mettre en place cette obligation sur les vols intérieurs. Evidemment, la vaccination ne deviendra obligatoire qu’une fois un vaccin disponible pour le grand public.

Si vous souhaitiez visiter l’Australie et bien, c’est terminé. Sauf si vous acceptez de vous faire empoisonner le sang par Big Pharma. Et encore, ce ne sera sûrement pas suffisant car c’est le principe même des vols internationaux qui va progressivement être interdit pour « lutter contre le réchauffement climatique ».

Et selon Alan Joyce, la compagnie australienne devrait être rapidement rejointe sur ce sujet par les autres compagnies.

Qantas est le premier grand groupe aérien à annoncer cette vaccination obligatoire mais les instances internationales de l’aérien réfléchissent à une mise en place de carnets de vaccination, d’abord dans les pays peu touchés par le virus pour éviter une nouvelle épidémie. « Pouvoir disposer d’informations vérifiables sur l’état de santé des passagers, je pense que cela va être essentiel » a ainsi déclaré David Powell, conseiller médical de L’Association internationale du transport aérien (IATA).

Pour le moment, les compagnies du monde entier évitent de trop s’avancer sur la vaccination. Il faudra encore des mois avant que les campagnes de vaccination ne se généralisent, notamment en Europe ou aux Etats-Unis. Contacté par le Financial Times, EasyJet a d’ores et déjà indiqué qu’elle n’imposerait pas la vaccination sur ses vols.

Japan Airlines a également affirmé ne pas avoir le projet de demander aux voyageurs étrangers de se faire vacciner.

La priorité est donc de tester les passagers, à l’aide de tests antigéniques rapides bien que moins fiables que les tests PCR. C’est encore la position des trois alliances mondiales de compagnies aériennes (Oneworld, Star Alliance et SkyTeam) qui représentent 60% des passagers, même si elles évoquent désormais la mise en place d’un « passeport santé » qui centraliserait numériquement les données des passagers sur le Covid-19. Un tel passeport pourrait récapituler les tests réalisés et, évidemment, indiquer si le voyageur est vacciné.

Un tel passeport est déjà testé plusieurs jours à l’aéroport de Heathrow à Londres.Le « CommonPass », développé par l’ONG suisse The Commons Project, soutenu par le Forum économique mondial, permettait ainsi de se passer des certificats de tests (puis de vaccination) en papier qui sont facilement falsifiables. Mais l’enjeu sera surtout de sécuriser ces données, forcément sensibles.

Un passeport sanitaire sponsorisé par le Forum Economique Mondial de Karl Schwab.

Je ne m’y attendais pas du tout.

« Avec CommonPass, ces informations resteront sous contrôle de la personne concernée. La plate-forme vérifiera qu’un passager a été testé [ou vacciné], mais les informations ne seront ni stockées ni transmises à des tiers » indique au Telegraph le patron de The Commons Project Paul Meyer.

Des passeports numériques qui auront probablement vocation à se maintenir après la crise du Covid-19 pour prévenir d’autres épidémies potentielles. L’application pourrait aussi, à terme, remplacer le passeport papier. Ce qui permettra d’ailleurs d’éviter de confier son passeport, lors de l’enregistrement, à d’autres mains que les siennes…

Ce Covid19 est décidément une « opportunité » pour reprendre le mot des propagandistes du Great Reset. Bientôt plus d’argent liquide ni de passeport physique, uniquement une identité digitale gérée par des supercalculateurs contrôlés par l’hyperclasse.

Pour mémoire, quand l’épidémie d’Ebola avait éclaté en Afrique en 2014, le système avait mobilisé tout son appareil médiatique pour dénoncer ceux qui voulaient suspendre les vols avec les pays africains touchés afin de limiter la propagation de ce virus négroïde.

Si quelqu’un avait proposé un carnet de vaccination pour ces noirs, il aurait été violemment pris à partie par les médias en raison du principe axiomatique de l’immigration non-blanche totale.

20 Minutes :

Depuis des mois, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) insiste sur la nécessité de maintenir les connexions avec le Liberia, la Sierra Leone et la Guinée. Fin septembre, elle a de nouveau mis en garde les Etats contre «les annulations de vols et autres restrictions aux voyages», qui pourraient isoler les pays touchés par le virus sur le plan économique et social. Privées d’échanges commerciaux, confrontées à l’augmentation du prix des denrées de base, les populations paieraient double l’épidémie, voire plus, prévient l’OMS. Car «les coûts économiques des épidémies sont souvent largement supérieurs au nombre de morts», rappelle Bruce Aylward, directeur adjoint de l’organisation, interrogé en août par The Economist.

En interrompant les liaisons aériennes, les compagnies pourraient également mettre en péril l’aide humanitaire à destination des pays affectés. En août, le Dr David Nabarro, coordinateur de l’ONU contre le virus Ebola, a ainsi indiqué que «la décision compréhensible de certaines compagnies aériennes de ne plus desservir Freetown, Monrovia ou Conakry avait eu un énorme impact sur la capacité de l’ONU à acheminer du personnel et du matériel». L’ONG Médecins sans frontières s’est donc prononcée à de nombreuses reprises contre la suspension des vols. A l’instar de l’OMS, elle estime qu’avec une aide humanitaire amoindrie, le risque de propagation internationale serait accru.

Pour Fanny Chabrol, chercheuse associée à l’Iris, l’étude américaine et l’idée de suspendre une partie des vols ont pour effet pervers de «renforcer la peur et la panique du monde occidental». Or le sentiment est déjà prégnant en France. A Grenoble (Isère), mercredi, un jeune Guinéen s’est retrouvé encerclé par des policiers qui craignaient une contamination, tandis qu’à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), ce lundi matin, trois parents ont refusé d’emmener leur enfant à l’école en raison de la présence d’une fratrie de retour de Guinée. Des réactions disproportionnées? Pour Fanny Chabrol, si un malade parvenait malgré tout à franchir les contrôles aux aéroports, «le système sanitaire français serait prêt à faire face». «Il ne faut pas se détourner du véritable sujet, qui est la mobilisation internationale pour éradiquer le virus, conclut-elle. Dans ce combat-là, la solidarité avec les pays affectés doit primer sur la paranoïa

Tout ça semble oublié, du moins pour les populations blanches.

Les migrants clandestins continuent d’être acheminés en Europe par bateaux entiers pour se masser dans les grandes villes tandis que vous devez fêter Noël en enfermant vos anciens dans des chambres isolées.

Je ne sais pas qui croit encore au mythe du Covid19 hormis les Boomers et ceux qui croient à l’existence des chambres à gaz d’Adolf Hitler.

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