Lausanne : 2 algériens consolent une Blanche qui avait raté son train en la violant collectivement avant de la détrousser

Leutnant
Démocratie Participative
22 octobre 2019

On prive les moudjahidines de leur butin !

Le Matin :

Le Tribunal fédéral confirme la condamnation d’un Algérien de 20 ans pour viol aggravé et brigandage, notamment. L’homme a écopé de 9 ans de prison pour un viol commis en octobre 2017 à proximité de la gare de Lausanne.

En compagnie d’un compatriote, le condamné avait attiré dans un guet-apens sa victime qui attendait à la gare après avoir raté le dernier train pour Zurich. Les deux hommes avaient abusé de cette quadragénaire et l’avaient aussi dépouillée d’une chaîne en or et d’un téléphone portable.

Fin février 2019, la justice vaudoise avait reconnu le recourant coupable d’une longue série d’infractions, en lien notamment avec des vols dans les trains. Elle avait révoqué un sursis prononcé à Genève et prononcé une expulsion pour 15 ans. Légèrement moins chargé, son comparse avait écopé de 8 ans de détention et de l’expulsion. Ce dernier n’a pas fait recours au Tribunal fédéral.

Dans un arrêt publié lundi, la Cour de droit pénal écarte tous les arguments du Nord-Africain. Contrairement à ses affirmations, il a eu accès à toutes les images de vidéo-surveillance qui ont corroboré les dires de la victime.

Les juges fédéraux n’ont pas retenu non plus la version de la défense selon laquelle le viol aurait été en réalité une relation sexuelle tarifée consentie par la victime. Ce scénario est jugé incompatible avec le témoignage de la femme, avec les images vidéo et avec le vol de la chaîne et du téléphone.

Enfin, le Tribunal fédéral a balayé le grief portant sur la sévérité de la peine. La justice vaudoise n’a pas versé dans l’arbitraire en ne retenant aucune circonstance atténuante de nature à décharger la culpabilité «extrêmement lourde» du recourant. Ce dernier est tombé dans la délinquance dès son arrivée en Suisse et son attitude dénote une «détestable indifférence» pour ses victimes et un «pur mépris».

Se faire violer avant d’être traitée de pute, c’est ce qu’on appelle l’amour à l’algérienne.