Laurent de Béchade, président de l’association juive contre « le racisme antiblanc », s’en prend avec férocité à Marine Le Pen pour avoir douté de la francité des africains lyncheurs de Blanc

Captain Harlock
Démocratie Participative
28 janvier 2020

Ici, à Démocratie Participative, nous avons suivi avec grand intérêt cette association « contre le racisme antiblanc » qu’est « l’OLRA », placée depuis l’origine sous la coupe de la droite juive, notamment de Gilles-William Goldnadel.

Un article publié en novembre dernier évoquait le revirement tactique de cette organisation cosmopolite en faveur de la lutte contre « tous » les racismes et non plus du seul racisme antiblanc.

A l’exception du racisme juif, cela va sans dire.

Désormais, elle agit ouvertement comme une structure juive et concentre ses efforts sur la destruction de tout instinct de conservation racial chez les Français de race blanche.

Des Vranzés comme vouzémoi.

« Laurent de Béchade ».

Mordechaï de Béchade

Cette attaque en règle contre le RN pour crime (allégué) de racialisme blanc illustre parfaitement une vérité mille fois démontrée : le juif ne change pas.

S’érigeant d’autorité en Grand Prêtre de la lutte contre le racisme antiblanc après avoir fanatiquement prêché l’invasion afro-maghrébine, voici que le rabbin assène subitement de violents reproches à la plèbe blanche qu’il venait à peine d’amasser sous son commandement.

Les nigauds voient le Samaritain mielleux se transformer en cadre bolchevique, tout d’imprécations et de menaces.

Lui seul sait, lui seul voit, lui seul dirige.

Le juif éternel

Certains prêtent au juif des caractéristiques aryennes. Comme celles de déterminer ses actions sur la base de « valeurs » morales.

La morale du juif est exclusivement indexée sur ses intérêts tribaux. Elle n’a pas vocation à être étendue au bétail non-juif.

Il suffirait, pensent ces goyim stupides, de prendre suffisamment de temps pour discuter avec quelques uns de ces hébreux pour les convaincre de devenir des Français aussi français que Dupont ou Durand, droits et loyaux, patriotes irréprochables, Gaulois pour ainsi dire.

Voire, Graal des Graals, de les traîner à la messe.

« Après tout, ne sont-ils pas quelque peu pris à partie par des arabes ? » s’interrogent-ils avant d’enchaîner, surtout pour se convaincre, avec l’habituel couplet sur le vaporeux « judéo-christianisme ».

Comme si le juif était avare en haine.

Le juif peut haïr en abondance. Un Blanc ne lui inspire pas davantage d’empathie au motif qu’un bougnoule hostile circule dans son quartier.

Le juif est trop matérialiste et âpre au gain pour perdre son temps en considérations d’ordre « moral ». Le juif ne pense qu’à une chose : survivre en terre étrangère pour continuer à parasiter et s’établir en despote. Si l’antisémitisme ne le surprend pas, ce n’est pas pour autant qu’il s’y habitue.

Quand le juif se compromet en philosophie et en morale, ce n’est que pour empêcher l’Aryen de voir les choses clairement et prévenir un désagréable réflexe défensif de sa part.

Son activité politique consiste à éroder au maximum la conscience raciale, ethnique des populations au sein desquelles il vit pour semer la confusion dans leur esprit et ainsi éviter d’être repéré comme l’agent étranger qu’il est, avec ses propres intérêts tribaux dont il ne se départit jamais.

Il est vrai que le juif aime disserter mais ce n’est que pour déboussoler l’homme blanc. La boussole du juif, elle, fonctionne à merveille : elle indique toujours Jérusalem.

Le juif, partout et tout le temps, prêche pour les goyim – mais pas pour lui-même – le sans-frontiérisme, l’abolition des différences.

Lui prêtant leurs propres inclinations psychologiques, des Français naïfs pensent que le juif, réalisant subitement qu’il a fait entrer le loup musulman dans la bergerie démocratique française, opérera une mue complète pour peu qu’on lui parle avec égards.

Il fera amende honorable et tout sera bien.

Rien n’est plus stupide.

Le juif s’adapte simplement au nouveau paradigme, évaluant comment tirer profit de la nouvelle équation. Appeler à l’épuration ethnique en faveur de la restauration d’une France ou d’un Europe blanche ne figurera jamais dans son programme. Pour le juif, peu importe les accès de fièvre islamique, l’homme blanc reste le lait sur le feu qu’il faut surveiller, contraindre et réprimer.

Celui qui peut décider, un jour de printemps, de jouer solo et de fausser compagnie à son maître sémite.

Il préfère de beaucoup capitaliser sur le court terme, en jonglant entre mahométans et Blancs sémitisés par le poison démocratique.

On peut faire confiance à ces juifs : saloper l’instinct de conservation ethnique des Blancs restera le pilier de leur politique.

Quand un de ces hébreux consent à faire de la démagogie en reprenant des éléments de langage de nature à séduire les petits Blancs inquiets face à l’invasion du tiers-monde ou à l’islamisme, ce n’est que pour les rouler dans la farine en gagnant la confiance du brave Aryen, toujours la main sur le coeur.

Dans quel but ?

Lui refourguer à nouveau, sous un nouvel emballage susceptible de désarmer sa méfiance, le génocide progressif des Blancs par l’arme de l’empoisonnement du sang.

C’est ce qu’il appelle « la démocratie ».

Le juif entend bien pulvériser l’ADN aryen en Europe pour trôner en tyran sur les débris raciaux de l’antique population blanche qui y vit.