L’Arabie Saoudite, à la tête des nations arabo-musulmanes, va se rendre à Auschwitz pour prêter serment d’allégeance à la juiverie internationale

Captain Harlock
Démocratie Participative
19 septembre 2019

Que l’Iran fasse tomber une pluie de missiles sur ce repaire de Bédouins qu’est l’Arabie Saoudite.

Le Figaro :

Le secrétaire général de la Ligue Islamique Mondiale, Mohamed Al-Issa, se rendra dans le camp d’Auschwitz, au premier trimestre 2020, à l’occasion du 75e anniversaire de la libération des camps nazis de la mort, en compagnie du Grand Rabbinat de France, en l’occurrence Haïm Korsia, et du Conseil des Églises chrétiennes, coprésidé par François Clavairoly. La présence d’une haute personnalité de l’islam en ce lieu où des millions de juifs ont été exterminés devrait être une première mondiale.

Vous venez d’apprendre, dans le journal « Le Figaro », propriété du vendeur d’armes juif Olivier Bloch dit « Dassault », que « des millions de juifs ont été exterminés à Auschwitz ».

Pourtant, et le plus officiellement du monde, il est proclamé que moins de 900,000 juifs ont été « exterminés » à Auschwitz à coup d’insecticide. Ce fameux Zyklon B dont le pharmacien anti-révisionniste Jean-Claude Pressac, soutenu par le tandem Klarsfeld, assure dans son ouvrage définitif sur le sujet que « 95% ou plus » servait à l’extermination des insectes.

Ces 900,000 cadavres, pourtant imaginaires, ne suffisent pas. Il en faut « des millions » au Figaro.

Il faut dire qu’à Auschwitz, les chiffres évoluent assez fréquemment.

4 millions, 1,5 million, 1 million, 850,000 : est-ce vraiment si important ?

Il faut y voir une licence poétique.

C’est donc dans ce camp de la mort où l’on tue des « millions » de juifs à l’insecticide que les Bédouins d’Arabie ont décidé de se rendre pour reconnaître la religion de l’holocauste.

Et faire allégeance à la juiverie globale.

Cette annonce figure dans un «mémorandum» signé dans la soirée du 17 septembre, au Palais Brognard à Paris, au terme d’une «conférence internationale pour la paix et la solidarité», co-organisée par la Ligue islamique mondiale, une institution saoudienne et la Fondation de l’Islam de France, présidée par Ghaleb Bencheikh.

Ce texte engage également ses signataires – Haïm Korsia, Grand Rabbin de France, François Clavairoly, co-président du Conseil d’Eglises chrétiennes et président de la fédération protestante de France et Mohamed Abdul Karim Al-Issa, secrétaire de la ligue islamique mondiale – à «lutter contre l’extrémisme et le terrorisme et tout faire pour diriger leur thèse et contester leurs assertions». Les signataires s’engagent enfin à «promouvoir la liberté de conscience et de la liberté religieuse».

Voilà qui ne manque pas de sel de la part de cet état terroriste qui finance les djihadistes à travers le monde.

La manœuvre s’éclaire et les gros sabots des juifs – comme ceux des petits malins de la DGSI – se font entendre, car cette union des sémites ne pouvaient se faire que dans leur capitale commune : Paris.

Deux lignes de front se dégagent : une contre l’Europe blanche, l’autre contre la Perse. Les sémites jurent donc se porter mutuellement secours contre l’une et l’autre, recrutant au passage ces baiseurs de gosses que sont les curetons communistes.

En Europe et en France, il s’agit de vendre l’islam aux goyim avec l’aide du rabbin Korsia. Pour qu’il soit comestible, il faut qu’il soit indolore pour les juifs et leur démocratie bancaire. On appelle ça « l’islam modéré ».

Ce qui suppose d’en faire un machin cosmopolite du style Vatican II. Du moins, vis-à-vis des juifs. Car pour les goyim, on continuera de vous couper modérément la tête, de vous imposer modérément de la bouffe halal et de recouvrir modérément votre pays de casernes djihadistes appelées « mosquées ».

Au Moyen-Orient, il s’agit de détruire l’Iran.

Les mains de l’Arabie Saoudite trempent jusqu’aux coudes dans cet événement et l’on en connaît la raison : ces Bédouins sont désespérés face aux Perses et ils sont prêts à faire serment d’allégeance aux juifs pour recevoir leur aide et sauver le Royaume d’Oussama Ben Laden.

Et comme par hasard, au milieu de cette hideuse sauterie orientale, on retrouve le machin de Macron, cette « Fondation de l’Islam de France », une création d’inspiration juive et maçonne qui vise à couper court à toute velléité de reconquête blanche face à l’invasion afro-islamique orchestrée par la finance juive.

Mais le mariage entre sémites suppose une hiérarchie dans le couple et Ismaël doit ramper devant Israël.

Les noces auront lieu à cet effet à Auschwitz, pour rappeler qui domine qui.

Le mémorandum entend également opposer «une culture de la fraternité» contre «l’oppression et la haine» et affirme qu’il «n’y a pas à choisir entre être citoyen et être croyant: on est citoyen et croyant». En particulier «en ces temps marqués par des rencontres multiples de religions différentes» mais aussi «par la diffusion de rhétorique de haine exacerbées et d’attaques extrémistes violentes».

La tenue de cette conférence à Paris a été marquée par de nombreuses polémiques liées à la personnalité de Mohammed Al-Issa, qui fut ministre de la justice de l’Arabie Saoudite avant de prendre la responsabilité de la Ligue islamique mondiale en 2016.

Ce ministre de la justice saoudien a donc, en toute logiquement, décapité par aspiration à la tolérance.

Du moins je présume.

Je vous avoue que l’allahïcité est difficile à comprendre tant elle est toute de nuances.

Oppositions également nourries par l’objet initial de cette organisation fondée en 1962 qui est d’assurer la propagation de l’islam, partout dans le monde. Et à qui l’on reproche d’avoir été le vecteur et le financeur de la diffusion – à l’échelle planétaire – du wahhabisme et du salafisme, des courants fondamentalismes islamiques dont certaines tendances ont versé dans le terrorisme.

Le Conseil français du Culte Musulman, par exemple, a refusé de participer à cette conférence internationale. L’Église catholique quant à elle, est restée prudente: celui qui devait la représenter, Mgr Jean-Marc Aveline, nouvel archevêque de Marseille et président du comité de dialogue interreligieux de la conférence épiscopale, n’est finalement pas venu, remplacé par Mgr Gérard Defois, évêque émérite de Lille.

L’Église est toutefois est impliquée via le Conseil d’Églises Chrétiennes en France, dont elle est membre, signataire du mémorandum. Le père Vincent Feroldi, directeur du Service national pour les relations avec les musulmans de la conférence des évêques, figure dans la liste du comité de suivi de l’application de ce mémorandum.

Tout ce fatras sémitique n’a rien à voir avec nous, les Blancs d’Europe.

Personne ne va à la messe, les juifs sont des étrangers occupés à mobiliser l’Occident pour mener leur troisième guerre mondiale et les mahométans, fidèles à eux-mêmes, n’ont qu’une obsession : saloper l’univers de leur coran absurde.

La présence de ces curés est censé signifier que nous, les Blancs, sommes d’accord pour cette farce juive.

Rien, dans cette « réunion au sommet » organisé par le Quai d’Orsay n’a de lien avec nous, si ce n’est pas par l’occupation orientale que nous subissons.

Si cette réunion prouve une chose, c’est bien que la France judéo-démocratique n’est plus que l’excroissance du Proche-Orient et de l’Afrique où toutes ces peuplades infectes viennent régler leurs comptes, à nos frais.

D’autant que cette « réconciliation » entre youpins et crouilles à Auschwitz se fera au nom de la haine supérieure du Blanc, ciment de l’alliance sémite.

Cela ne peut appeler qu’une seule réponse : le soutien total à l’Iran pour qu’il concasse cette verrue puante qu’est l’Arabie Saoudite et fasse échec à son allié hébraïque de Palestine.

Que ces Perses soient passablement marron ou « chiites » n’a aucune importance : ils feront souffrir ces crouilles sous leurs bottes et tiendront en respect ces sales juifs et c’est tout ce qui compte.

Ces juifs et ces arabes sont désormais officiellement associés dans le crime pour nous saigner.

C’était déjà entendu dans les faits, c’est à présent une position officielle.