L’Amérique ordonne à ses diplomates de fuir l’Ukraine

Captain Harlock
Démocratie Participative
14 février 2022

 

Le grand sujet du moment, en plus du mouvement des routiers canadiens déterminés à renverser le régime covidiste, c’est la situation en Ukraine.

Biden est en train de préparer un Afghanistan 2.0 six mois après l’Afghanistan 1.0.

L’Afghanistan 1.0 a été largement perçu comme un Vietnam 2.0.

On peut résumer la série des .0 par une suite de défaites pour ZOG qui ne semble capable que de persécuter des gens désarmés qui ne portent pas de masques ou refusent de se faire vacciner.

Biden a virtuellement capitulé en Ukraine. Il a ordonné à tous les Américains de fuir, ce qui a entraîné un mouvement de panique général.

Miser sur l’Amérique pour sa sécurité s’avère systématiquement être une catastrophe pour celui qui ose.

Une partition de l’Ukraine a été conclue secrètement entre Biden et Poutine. Lviv sera la capitale de l’Ukraine nationaliste.

C’est ce que je disais ici en décembre, les Russes laisseront les nationalistes ukrainiens se regrouper sur Lviv qui sera placée sous protectorat polonais. Un peu comme Idlib qui est sous protectorat turc.

Le belliciste juif Glucksmann n’est pas très satisfait de la tournure des évènements.

Glucksmann est directement intéressé par l’Ukraine puisque son ex-femme est la Géorgienne Zgouladze qui servait d’agent de l’OTAN au sein du gouvernement ukrainien.

Ceci dit, ces mêmes bellicistes juifs qui appellent à la guerre ont déjà fui avec les milliards de dollars qu’ils ont pillé aux Ukrainiens avec l’aide du juif Zelensky.

Comme les Américains ont déjà abandonné l’Ukraine, ne reste que la question des sanctions.

Les Russes ne reculeront pas devant des sanctions. Aucun pays ne recule jamais devant des sanctions. Cuba n’a jamais reculé, la Corée du Nord n’a jamais reculé, l’Iran n’a jamais reculé, la Birmanie n’a jamais reculé et la Russie ne reculera pas non plus.

Les menaces de sanctions semblent ne servir qu’un objectif : plonger l’Europe dans une grave crise énergétique qui ferait exploser le prix des matières premières. C’est le genre de crise qui permettrait à Davos de poursuivre le Great Reset avec une excuse idéale.

Si les financiers juifs coupent la Russie de SWIFT et si un embargo sur le gaz russe est décrété par l’UE, l’économie européenne sera ravagée.

L’idée que la Russie serait totalement impuissante ou susceptible de s’écrouler sous le poids de sanctions est absurde.

Il n’y a rien entre la frontière russe et Berlin. Si Poutine veut faire rouler ses tanks sous la Porte de Brandebourg, il n’y a rien pour l’arrêter. L’Amérique n’entrera pas dans une guerre nucléaire pour des champs de patates polonais.

Cela n’arrivera pas.

Avec la débâcle du discours covidiste actuel, une guerre serait un prétexte parfait pour Schwab, Gates et Soros de poursuivre leur projet en Europe. L’Ukraine est le dernier de leur soucis.

EELB sera bientôt de retour

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