Laissez-moi vous parler des beurettes qui font du rap

Captain Harlock
Démocratie Participative
01 juillet 2019

 

Ces derniers temps, je m’intéresse à l’expérience sociale géante qu’est Roubaix. Ou l’expérience raciale, si vous préférez.

Bref, je m’intéresse à Roubaix.

Je peux approfondir mes connaissances grâce au compte Twitter de la chaîne Al Jazeera locale « Roubaix Info ».

C’est à la fois une raciologie très simple et une sociologie très complexe. Contrairement à une idée reçue, c’est la partie du monde musulman la plus progressiste.

A la différence de l’Arabie Saoudite qui a le bon sens de bâcher ses moukères et de leur interdire de parler sans l’autorisation de leurs maris, l’émirat du Roubaisis est à l’avant-garde de l’émancipation de la femme musulmane.

Avec des conséquences prévisibles.

L’imam de Roubaix fait le malin sur YouTube mais à sa place, je me ferais du soucis.

Je ne suis pas sûr que les combattants d’Al Qaeda dépensent leur énergie et leurs ressources à bon escient en les employant en Syrie.

Une menace beaucoup plus grave pèse sur la oumma : la beurette rappeuse. Nous parlons ici d’une menace globale.

Les Talibans ont peut-être gagné sur le terrain, mais ça ne sert à rien. Ils ont perdu leurs femmes.

J’ai une théorie sur le sujet du voile totalement différente de celle qui a cours habituellement sur la question.

Dans les pays islamiques, on peut évaluer le potentiel de putisation latent des femmes à la longueur du voile que leur imposent les hommes.

De quoi découle que pour tenir leurs traînées, les Afghans sont obligés de recourir à des méthodes particulièrement coercitives.

Quand les musulmans crisent parce que les juifs et les putes blanches veulent dévoiler leurs femmes, ce n’est pas tant pour des considérations religieuses que par peur du fléau des beurettes libérées.

Je ne crois pas que l’islam puisse survivre aux beurettes émancipées.

Les beurettes émancipées sont beaucoup, beaucoup plus dégénérées que les Blanches émancipées. Et Dieu sait que les Blanches émancipées sont des dégénérées.

Les beurettes émancipées n’ont qu’une obsession : pondre des kirikous.

Un forfait qu’elles revendiquent sur tous les toits, pour la plus grande rage des hommes maghrébins.

L’homme noir est le propriétaire naturel de la beurette. Enlevez le voile d’une femme maghrébine et elle se met aussitôt à rechercher un Bilal sénégalais.

Mahomet, tout enculeur de chèvre qu’il fût,  était un fin psychologue. Autoriser les pillards arabes à avoir jusqu’à 4 femmes correspondait aux besoins expansionnistes des armées islamiques qui livraient une guerre d’éradication génétique contre les peuples qu’ils cherchaient à subjuguer. L’islam a été structuré pour bénéficier sexuellement aux conquérants arabes et à ceux des mâles qui se soumettaient à leur domination.

Les musulmans n’ont pas attendu le 21ème siècle pour comprendre les rouages élémentaires du développement durable.

Chez eux, le recyclage des déchets raciaux est un usage solidement établi. Ils militarisent ceux de leur groupe qui sont voués à la foirade en leur collant des explosifs autour de la taille et en leur promettant de la chatte pour l’éternité moyennant un très tangible avantage tactique sur cette terre.

C’est vicieux comme seul un esprit sémite aurait pu le conceptualiser, mais c’est efficace.

Cependant les choses évoluent. Maintenant il y a instagram et les slim stretch.

Armement tactique de la beurette à khel

Dans une société moderne démocratique, les musulmans n’ont aucun moyen, en dehors de la pression sociale, d’empêcher les beurettes de coucher avec des nègres.

Libérées de l’islam, la génétique des femelles maghrébines peut s’exprimer sans craindre d’ostracisation sociale rédhibitoire.

Les études génétiques sont assez édifiantes à ce propos. Les marocains par exemple ont du sang nègre en proportion significative. La part d’ADN négroïde reprend le dessus et la beurette est aimantée par les peaux sombres des jungles d’Afrique.

Si le nègre fuit sexuellement la négresse, la négresse recherche désespérément un nègre.

Dans une démocratie juive, les maghrébines libérées peuvent donc se mettre immédiatement à coucher avec des nègres et engendrer des MBappé.

Après interviennent les traînées blanches pour éponger le foutre de ces hybrides et produire une répugnante descendance créolisée : le Graal du juif.

Le juif perfide a trouvé dans le féminisme des traînées et l’importation des nègres le poison fatal qu’il recherchait depuis si longtemps pour l’avilissement biologique de l’humanité.

Et le rap est l’antichambre du chibre nègre.

Au reste, les djihadistes représentent le haut du panier maghréoïde.

Je vous assure.

Comment voulez-vous que les derniers d’entre eux encore vaguement fonctionnels n’en viennent pas à chercher des AK-47 pour tenir leurs dégénérés et leur appliquer la charia ?

Pour en revenir à Roubaix, cette expérience sociale promet d’être de plus en plus divertissante. Avec les islamistes d’un côté et les beurettes insta de l’autre.

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