L’activiste homophobe Michel Onfray dénonce solennellement l’amour de Macron pour la bite nègre

Captain Harlock
Démocratie Participative
07 octobre 2018

Onfray est en voie de radicalisation avancée.

Non Stop People :

S’il y a bien une photo que l’on a vu à de nombreuses reprises circuler sur les réseaux sociaux ces derniers temps, c’est celle d’Emmanuel Macron, posant aux côtés de deux jeunes au torse nu lors de son voyage aux Antilles.

Le cliché qui a fait polémique à cause d’un doigt d’honneur adressé à l’objectif, a depuis fait l’objet de multiples détournements notamment humoristiques, de la part d’internautes plus ou moins bienveillants.

Ne dérogeant pas à la règle, Michel Onfray aussi a surfé sur cette tendance et a profité de cette agitation médiatique pour rajouter à son tour son grain de sel, par écrit. Dans une lettre ouverte, publiée sur son site internet début octobre, l’essayiste de 59 ans a adressé un message truffé d’insinuations homophobes au président de la République.

« Mon Chéri, je me permets en effet cette familiarité, mon cher Manu, car des photos t’ont récemment montré partout sur la toile aux Antilles enlaçant un beau black, bodybuildé en prison et luisant de sueur tropicale, ce qui semblait te ravir jusqu’au plus profond – si tu me permets l’expression… » commence l’écrivain dans cette « lettre à Manu sur le doigté et son fondement ».

Absolument.

La bite des nègres.

Onfray est un drôle de personnage qui, il y a encore une dizaine d’années, était un gauchiste lambda qui appelait à voter Mélenchon. Il affichait son antifascisme de prof sur tous les plateaux.

Et puis, il a senti que les juifs n’étaient pas partageurs.

Le moment de vérité a eu lieu face à Attali. C’est là où les juifs l’ont fermement averti.

Ensuite, il a eu une sorte de phase de doute. Il a commencé à comprendre qu’il existait quelque chose comme la civilisation occidentale en face de laquelle s’étendait un océan marron qui se rapprochait dangereusement de sa Normandie natale.

Plus tard, en démontant en public l’escroquerie hébraïque du freudisme, il s’est attiré la haine inextinguible de la juiverie médiatique.

Là, les juifs ont sorti l’artillerie lourde, dans toute la presse.

Ce qui le poussa d’ailleurs à déclarer, « je ne serais jamais qu’un petit goy de Normandie ».

Après cela, il a tenté une nouvelle fois de se rapprocher des juifs en se déclarant tapageusement « sioniste ».

En 2014, il s’était longuement épanché sur la nécessité de traquer Dieudonné en utilisant toute la force de la répression dont est capable la république juive.

A partir de 2:00′ :

Ces déclarations visaient bien sûr à montrer aux juifs qu’il n’était pas dangereux pour eux.

Je comprends parfaitement qu’à l’approche du troisième âge, quelqu’un qui s’est longtemps déclaré bien sous tours rapports et qui finit par se faire virer de partout par les juifs qui contrôlent les médias en vienne à se dire : « Je vais laisser quoi ? J’aurais servi à quoi ? Et ces sales juifs qui m’empêchent d’avoir l’audience que je mérite… ».

Le pauvre Onfray cependant ne peut pas se départir de sa nature de petit prof’ de gauche narcissique. Quand il veut disqualifier, il continue de sortir l’accusation de crypto-fascisme.

Avec ses sorties récentes contre Macron, le serviteur des juifs, il a scellé son sort.

Ils l’ont foutu dehors de France Culture – une radio intégralement juive – tandis que son université populaire a été pulvérisée.

Le Point :

Entre Michel Onfray et l’Université populaire, c’est une longue histoire de seize ans qui vient de prendre fin. Selon nos informations, le philosophe a pris la décision de quitter cet organisme d’éducation populaire. Dans la soirée, Michel Onfray a publié, sur sa webtélé, un texte expliquant les raisons de son départ. « J’apprends ce jeudi 27 septembre par Patrick Frémeaux, l’éditeur sonore de mes cours à l’université populaire de Caen, que Sandrine Treiner, directrice de France Culture, met fin unilatéralement à la collaboration qui permettait la diffusion de mon cours sur la chaîne qu’elle dirige – avec pour tutelle un ministre nommé par Emmanuel Macron… Elle a pour argument que je suis injoignable par téléphone ! » a-t-il écrit. Seulement, Michel Onfray assure qu’il n’a jamais reçu d’appel de sa part.

Alors que la ville de Caen n’a encore une fois pas trouvé de salle pour accueillir gratuitement ses quatorze conférences, il a annoncé qu’il ne donnerait pas de cours cette année ni les prochaines. « Ma participation à l’UP de Caen est donc terminée », a-t-il encore expliqué.

Ce goy gauchiste de Normandie, tout gauchiste soit-il, n’a aucune utilité pour les juifs. Ils l’ont donc mis en pré-retraite.

La seule façon pour Onfray de devenir enfin utile, c’est de prêcher la lutte contre le sémitisme.

Ce serait autrement plus utile que ces divagations sur « le libéralisme » ou Vichy.