La youpine Ginsburg, dernier rempart anti-Trump au sein de la Cour Suprême US, en train de crever d’une combo cancer+pneumonie

Le Libre Panzer
Démocratie Participative
18 janvier 2019

 

Vous avez par obligation entendu parler de cette juive.

Déjà parce que les juifs de Netflix viennent d’en faire une sainte de l’Occident sémitisé.

Si cette vieille youpine passe l’arme à gauche, Trump pourrait nommer un troisième juge en un seul mandat. Comme cette Ginsburg est résolument marxiste, son remplacement ferait basculer inévitablement la cour entre les mains de la droite blanche.

BFMTV :

Elle s’est fait connaître dans les années 1970 pour sa lutte acharnée en faveur des droits des femmes. Ruth Bader Ginsburg est aujourd’hui une icône de la pop culture américaine, alors que le biopic « Une femme d’exception » sort ce mercredi en salles.

A 85 ans, elle est surnommée « Notorious RBG » – référence au rappeur américain Notorious Big – et est adulée par la jeunesse américaine. Ruth Bader Ginsburg est devenue une icône de la pop culture, un personnage emblématique incarné au cinéma dans le biopic Une femme d’exception qui sort en salles ce mercredi.

Il faut interpréter ce verbiage laudatif de facture juive : elle n’est encensée que par la juiverie médiatique et les masses qu’elle a zombifié.

Physique sec et cheveux tirés en chignon strict, regard clair et malicieux, Ruth Bader Ginsburg fait partie du quatuor progressiste des juges de la Cour suprême, nommée en 1993 par le président de l’époque, Bill Clinton. Sa popularité auprès du grand public a notamment été impulsée par ses attaques contre Donald Trump lors de la campagne présidentielle de 2016. La juge Ginsburg s’est affranchie de son devoir de réserve en qualifiant le magnat de l’immobilier d’ »imposteur ».

« Il n’a aucune cohérence. Il dit à tout moment ce qui lui traverse la tête. Il est vraiment égocentrique », avait-elle alors déclaré à CNN.

Les juifs ne sont jamais égocentriques.

Du haut de son mètre 54, elle est considérée comme le dernier rempart anti-Trump, affirmant régulièrement des convictions à rebours du programme du président républicain. Elle l’a notamment prouvé en votant, à la fin du mois de juin 2018, un arrêt historique réaffirmant le droit à l’avortement. RBG a également voté pour refuser à l’administration Trump l’autorisation d’appliquer les lois interdisant à ceux qui traversent la frontière illégalement de demander l’asile.

C’est étonnant.

Mais son combat en faveur des libertés fondamentales ne date pas d’hier. Cette avocate spécialiste du droit des femmes s’est fait connaître dans les années 1970 pour sa lutte contre les discriminations sexistes avec une approche subtile et pédagogique.

« Je me voyais comme une enseignante de maternelle parce qu’à l’époque, les juges pensaient que les discriminations sexistes n’existaient pas », raconte-t-elle dans le documentaire biographique RBG, sorti le 10 octobre dernier.

Son cheval de bataille: les égalités salariales, l’avortement, le mariage homosexuel, la contraception… « Notorious RBG » porte ces sujets à bras le corps après avoir été elle-même victime de sexisme durant sa jeunesse. Née dans une famille juive à Brooklyn, elle étudie le droit à Harvard puis à Columbia à une époque où les hommes règnent en maître dans le monde très select des avocats. Elle a beau finir parmi les premiers de sa promotion à Columbia, les cabinets d’avocats de New-York lui tournent le dos.

Son cheval de bataille : détruire l’ordre social aryen pour le substituer par l’anarchie juive.

Laisser s’infiltrer un seul de ces rats et en 30 ans un état blanc sombre dans le chaos et la guerre civile.

« J’avais trois choses contre moi. Un, j’étais juive. Deux, j’étais une femme. Mais, le plus grave, c’était que j’étais la mère d’un enfant de quatre ans », livre-t-elle dans une interview à CBS.

Ha !

Le fameux handicap juif aux Etats-Unis.

Celui qui vous empêche d’arriver à quoi que ce soit bien que cette race contrôle le cinéma, la télévision, la presse et bien sûr la grande finance.

Elle s’impose alors comme une ardente combattante pour les droits des femmes. Entre 1973 et 1976, elle plaide six affaires de discrimination basée sur le genre devant la Cour suprême et en remporte cinq. Elle devient ensuite la deuxième femme à siéger à la Cour suprême, après Sandra Day O’Connor.

Après avoir été un pilier de la lutte pour le droit des femmes, avoir combattu deux cancers – l’un du colon et l’autre du pancréas – et surmonté les préjugés sexistes, Ruth Bader Ginsburg est désormais admirée. De nombreux ouvrages glorifient sa carrière, la photo de son visage habille des tee-shirts et des mugs, des imitations en son honneur sont faites dans la célèbre émission Saturday Night Live…

Et les démocrates, encore échaudés par la confirmation houleuse à la Cour suprême en octobre de Brett Kavanaugh, strict conservateur accusé de tentative de viol, comptent sur Ruth Bader Ginsburg pour continuer à imposer des valeurs progressistes au sein de la plus haute cour des Etats-Unis.

« Démocrates » est un synonyme pour désigner les juifs en Amérique.

Les juifs ambitionnaient de s’emparer définitivement du contrôle de cette cour pour détruire la constitution écrite par les Pères Fondateurs blancs de l’Amérique.

Leur objectif était de bolcheviser l’Amérique au profit des masses marrons du tiers-monde en désarmant les Blancs et en légalisant la censure sous contrôle hébraïque.

Trump a déjà placé 2 juges à la Cour Suprême depuis qu’il est en fonction. Ces magistrats, élus à vie, ont le pouvoir d’interpréter la constitution.

Et la bonne nouvelle, c’est que cette vieille youpine est à l’agonie, dévorée par un cancer des poumons doublé d’une pneumonie.

PNEUMONIE 

CANCER

Bonne nuit, la juive.