Brésil : la vermine négro-communiste tente d’assassiner le héros Bolsonaro !

Captain Harlock
Démocratie Participative
07 septembre 2018

Le héros invincible Bolsonaro récupère d’un coup quasiment mortel !

Ces animaux que sont les rouges ont tenté d’assassiner l’héroïque Jaïr Bolsonaro pour stopper sa marche triomphale vers la présidence du Brésil.

Une autre vue.

Quelle ignoble méthodologie.

Profitant de l’humilité de l’homme du peuple qui n’a aucune espèce de sécurité autour de lui pour rester proche des masses, la vermine rouge a lâchement frappé.

Son fils, Flavio, a annoncé que le Leader Universel du Brésil avait échappé par miracle à la mort grâce à l’intervention de Dieu afin de remporter l’élection présidentielle.

Je pense que c’est exact.

La presse judéo-marxiste française cachait à peine sa joie à l’idée de voir le héros assassiné, prenant systématiquement soin de préciser qu’il était « homophobe », « raciste » et « fasciste ».

France 24 :

Jair Bolsonaro, candidat de l’extrême droite à la présidentielle d’octobre au Brésil, a été a été opéré d’urgence jeudi 6 septembre après avoir été poignardé à l’abdomen en faisant campagne.

Naturellement, la crapule communiste Lula Da Silva actuellement en taule n’est pas présentée comme « candidat de l’extrême-gauche » par les médias.

L’un de ses fils, Flavio Bolsonaro, député de l’État de Rio de Janeiro, qui a annoncé l’attaque et avait d’abord évoqué sur Twitter « des blessures superficielles », a ensuite écrit sur son compte : « Malheureusement, c’est plus grave que nous ne le pensions. » « Il a eu le foie, un poumon, et une partie de l’intestin perforés. Il a perdu beaucoup de sang, a-t-il expliqué. Son état paraît maintenant s’être stabilisé. Prions pour lui. »

Cet attentat visait bien sûr à liquider l’héroïque Bolsonaro, quelques jours après l’annonce par le Tribunal Supérieur Électoral du Brésil puis par la Cour Suprême que le bandit communiste Lula Da Silva ne pourrait pas se présenter depuis sa cellule, ayant été condamné à 12 ans de détention pour avoir truandé le peuple.

Les marxistes de l’ONU ont récemment appelé à laisser ce brigand se présenter, affirmant qu’un président pouvait exercer depuis la taule puisqu’il était communiste.

Avec l’échec de l’attentat, la presse juive tente de banaliser l’affaire.

L’hôpital de la ville de Juiz de Fora, une localité de 700 000 habitants dans l’État du Minais Gerais (sud-est) où le candidat a été attaqué, a toutefois démenti peu après que le foie de Jair Bolsonaro ait été touché. Selon l’hôpital Santa Casa, cité par le site G1, Jair Bolsonaro, 63 ans, a été atteint à l’intestin, mais pas au foie, et son état a été jugé « stable ». L’établissement a annoncé que le patient était opéré en urgence.

Un porte-parole de la police militaire du Minas Gerais a annoncé à l’AFP que le suspect, un homme de 40 ans, avait été immédiatement arrêté. Il a précisé que l’auteur de l’attaque « portait un couteau enveloppé dans un tissu ». Selon plusieurs sites d’information, l’agresseur serait un ancien militant du parti de gauche PSOL et aurait dit avoir agi « au nom de Dieu ».

La presse juive a complaisamment relayé la quasi revendication de l’ex-présidente communiste Dilma Roussef.

Euronews :

« Je pense que c’est lamentable, mais je pense aussi qu’encourager la haine engendre ce type de comportement. Vous ne pouvez pas dire que vous allez tuer tout le monde, d’autant plus, si vous êtes candidat à la présidence. »

Ha !

Ces terroristes rouges ont toutes les audaces.

Mais au moins, chacun sait ce qu’ils préparent : la guerre civile.

Voici le terroriste à l’origine de ce crime.

Ce profil racial résume tout des communistes au Brésil.

En fait, il résume tout de nos propres communistes.

Ces communistes voulaient mettre ce métèque dégueulasse de Lula sur le siège de la présidence.

Leur plan se résumait à peu près à ça : présenter à tout prix Lula depuis sa taule, lequel ne peut que réussir à obtenir l’essentiel du vote des nègres et des mulâtres. Une fois « techniquement élu », mettre des dizaines de millions de zombies négrifiés dans les rues et faire réécrire en urgence la constitution pour faire libérer leur chef bolchevique.

Mais avec le rejet définitif de la Cour Suprême, ce demi-crépu restera au prison.

Vient alors son numéro deux, Fernando Haddad, maire libanais de São Paulo. Actuellement, il se traîne à 6% des intentions de vote mais une fois qu’il sera adoubé par Lula, les nègres se reporteront sur lui, étant la meilleure garantie du maintien du pillage des Blancs et de la neutralisation de la police qui serait déchaînée si Bolsonaro gagnait.

Le problème, c’est que cet Haddad est, d’après les sondages, le seul type que Bolsonara bat effectivement au second tour.

Même si je me méfie des sondages, le fait est que c’est le seul candidat que Bolsonaro bat : le successeur du communiste Lula Da Silva.

Maintenant que Bolsonaro a été grièvement blessé en luttant politiquement, son héroïsme va devenir sa meilleure carte politique.

Vous allez avoir de nombreux électeurs du centre ou du centre-droit qui vont se dire, « ces rouges sont vraiment déterminés à mettre en place une tyrannie communiste ». Leur meilleure garantie contre ce péril, c’est un ancien militaire qui a versé son sang en s’opposant au monstre négro-marxiste.

Bolsonaro.

Le Brésil négro-communiste : l’idéal français

Il va sans dire que l’axe homo-globaliste veut garder le Brésil fermement entre ses mains pour éviter que Trump et les autres leaders forts ne trouvent là un allié de circonstance dans les forums internationaux.

Le Brésil est vraiment, pour le judéo-gauchisme international, le foyer idéal du tiers-mondisme antiblanc brandi comme finalité de l’histoire.

Tout spécialement pour les élites françaises pour qui le Brésil représente l’idéal social à atteindre à tout prix.

Si vous demandez à n’importe quel journaliste français quel est le modèle de société qu’il veut mettre en place, il répondra le Brésil. Non pas comme solution, mais précisément comme impasse : un endroit tropical, avec des plages, où des dizaines de millions de crépus mâtinés de sang méditerranéen font tourner indéfiniment la roue de la guerre raciale antiblanche sous un vernis de lutte des classes juive.

Bref, un endroit où la psychopathie gauchiste est la norme, le soleil en plus.

La seule différence au sujet de ce projet entre les juifs et la gauche blanche, c’est que les juifs y aspirent par cynisme là où ces Blancs y adhèrent par dégénérescence et pulsion de mort.

Il est donc important que Bolsonaro gagne car le Brésil est la source de toute la merde promue par l’établissement français : des indiens à plumes qui geignent sur le capitalisme qui transforme des minerais en civilisation, aux flics qui osent s’en prendre au pauvre dealer de dope marron, archétype du demi-dieu vénéré par les gauchistes.

Car bien sûr, depuis Paris, les seuls machins qui peuvent légitimement défendre leur identité ethnique sont les plus improbables tribus d’Amazonie. Uniquement dans la mesure où ils permettent de diaboliser ce qu’ils désignent du nom de « capitalisme » – c’est-à-dire les Blancs qui travaillent – et tout ce qui peut émaner culturellement, directement ou indirectement, d’Europe.

A terme, le véritable projet, c’est un océan marron.

L’axe globaliste voit dans ces histoires de réchauffement climatique bidon le moyen de renforcer encore plus son étreinte sur le monde blanc en le rackettant.

Si vous lisez la presse britannique, vous découvrez que Bolsonaro est considéré comme l’homme à abattre en raison de son intention d’écraser la pourriture du MI6 déguisée en ONG environnementalistes pour s’ingérer dans le contrôle des ressources. En plus des Chinois qui sont effectivement en train d’acheter tout ce qu’ils peuvent pour contrôler le pays.

Le Brésil tenu par les marxistes et leurs millions d’auxiliaires nègres était un allié stratégique. Le paradis négro-communiste à mettre en place à l’échelle de l’Occident.

Bolsonaro doit gagner

Et Bolsonaro veut stopper ça. Ou tenter de stopper ça. Du moins pour ce qui concerne l’imposture réchauffiste derrière laquelle se dissimule le racket (((international))) des Blancs ou le mythe du dealer nègre persécuté que les gauches agitent dès qu’il s’agit d’empêcher l’homme blanc de dresser la négraille.

Si Bolsonaro devait gagner, le Brésil deviendrait, en 24 heures, un des pays les honnis de la planète aux yeux de la presse française. Du paradis à pépitos rigolos en bord de mer dépeint à longueur de colonnes, on passerait à l’état policier ultra-violent et corrompu savamment édifié par des Nazis ayant fui l’Allemagne en 1945.

Une conspiration nazie pilotée depuis des U-boot cachés dans des bases secrètes.

Bolsonaro a déjà dit, explicitement, que si cela ne tenait qu’à lui, il abolirait la démocratie.

Quand vous dites, quelque part, que vous allez abolir la démocratie qui permet aux nègres contrôlés par les juifs de neutraliser un état, vous vous mettez définitivement à dos la finance internationale et les états qu’elle contrôle.

On peut être désormais sûr que les troupes de la finance juive internationale vont lancer dans la rue leurs auxiliaires nègres encadrés par les communistes pour déclencher la guerre civile si Bolsonaro est élu.