La traînée à juifs sans enfants Eugénie Bastié soutient formellement la censure de Démocratie Participative

Démocratie Participative
19 octobre 2018

Juste parmi les youtrons

Et bien, oui, évidemment.

Quoi d’autre ?

« Je me bats pour la liberté d’expression ».

Wah… elle se bat ? Comment ? En faisant des gâteaux pour les soldats ?

Son seul combat concret, c’est celui de la censure dûment (((validée))).

Jusqu’à présent, elle préfère applaudir ses maîtres juifs dès qu’ils activent leur réseau gouvernemental pour censurer ceux qui ne veulent pas se noyer dans un vaste océan marron.

D’ailleurs, un océan marron cacatholique semble parfaitement convenir à cette pute.

Cela n’a rien d’étonnant.

Bastié est la démonstration par l’absurde de ce qu’une fille de la petite bourgeoisie catholique explicitement enjuivée ne sera jamais que l’éponge à foutre homologuée du grand rabbinat.

La brave ménagère de Monsieur Lévy.

La shiksa que Monsieur Goldman encule entre deux plateaux télés où elle déconne tout ce qu’elle peut sur la bonne vieille France catholique archi-vaincue, pourrie, annexée aux juifs, fouettée et bien salope à yid.

« Oui, aloreuh moi, hein, j’ai une opinion. »

Moi-ma-chatte-veut-se-montrer-Bastié.

La gueule même de la soumission acquise.

L’aryenne bien déconnante, bien chapeautée.

Le cierge à la main, la bite circoncise dans la bouche.

« Youpin, beau youpin, dis-moi qui est la plus salope ? »

Bastié débarque, une fois le terrain sûr, une fois la LICRA et le CRIF tonitruants, le procureur rugissant, les médias intégralement unanimes à la mise à mort, l’évidence apparemment acquise, au plus haut niveau. Précautions. La pâquerette à l’oreille, l’air bien en biais, la garce à moitié prix faisant luire sa culotte de cheval devant toute la foutue bande de youpins noirâtres, cheveux et yeux frits, maquereaux jaugeant la graisse à connerie de presbytère. « Moi aussi, attendez-moi, beau Levantin, n’oubliez pas de bien m’enculer ! »

Le violon femelle de la Pologne ashkénaze. Celui sur lequel les doigts crochus glissent le mieux leurs accords assassins, cruels, découpeurs asiates.

Bastié-Glucksmann, photo rare

Universellement, ces femmes, plus obscènes encore que les traînées revendiquées lesbiennes et baisées de la détraque, veulent se montrer absolument disponibles à toute la pouillerie hébraïque dominante. Clitoris ville ouverte.

Ce cancer féminin estampillé Yiddishland, remboursé totalement par la Sécurité Sociale, les juifs s’en amusent follement. Les petites chanteuses à croix de bois de la Victoire.

Encore, partout, tout le temps, sous tous les cieux, on ne trouvera que deux frontières : racisme et combat contre les juifs. Les plus coûteux, les plus dangereux, les plus urgents.

Bastié-boutique, Bastié traînée Paris, Bastié phénoménalement suceuse, chienne de tous les ghettos coalisés à 30 euros la passe.

« Papa, j’ai pleuré en regardant la liste de Schindler »

Moi aussi.

Le film finissait mal.