La tarée lesbienne des steppes de Mongolie continue de polluer le net francophone (vidéo)

Captain Harlock
Démocratie Participative
30 août 2018

 

La tarée lesbienne des steppes de Mongolie poursuit sa longue descente dans la psychopathie sémitique.

Il est notoire que les asiates n’ont pas d’âme et sont absolument incapables de manifester des formes sophistiquées d’empathie ou d’authentique sensibilité. Leur culture en est marquée par un caractère répétitif, stéréotypé et uniforme.

Ne pouvant se démarquer radicalement du groupe, les rapports sociaux des asiates sont régis par un mimétisme grégaire, le collectif produisant un ersatz de personnalité aisément reproductible par les individus.

Quand des asiates sont projetés dans une société aryenne, leur faiblesse individuelle et leur manque d’âme associés au besoin de se fondre dans un tout, les place d’emblée en position de masse docile et invisible.

Les asiates sont situés entre les Aryens et les nègres en termes spirituels et c’est pourquoi la culture aryenne est la source moderne d’inspiration des sociétés asiatiques qui, sans cette source, stagnent dans la répétition. C’est d’ailleurs pourquoi même si un jour la Chine devient dominante économiquement, elle n’offrira jamais rien culturellement au monde.

Pour en venir à cette tarée des steppes, elle n’est donc pas dégénérée en elle-même : elle n’a pas de personnalité propre susceptible d’être déficiente au point de « dégénérer ». Non, cette asiate se contente de reproduire ce qui lui paraît être culturellement dominant chez les Blancs et l’adopte sans aucune espèce de distance.

Et ce qu’elle adopte, c’est la dégénérescence promue agressivement par les juifs.

S’il est une chose de malaisant avec des asiates de ce genre, c’est lorsqu’ils s’essaient à l’individuation : cela ressemble à du plastique. Peu importe le genre, qu’ils miment les rappeurs nègres ou des chanteurs blancs.

Même cette dégénérée égocentrique d’Antastesia, par comparaison, témoigne d’une profondeur émotionnelle nettement plus grande que cette dévoreuse de foie mongole.

Hélas pour nous, nous devons pour le moment subir cette pollution raciale avec ces robots qui deviennent les meilleures éponges de la culture sémitique dominante.