La statue de l’auteur de l’hymne américain pulvérisée à San Francisco, Atlanta livrée à l’anarchie négroïde

Captain Harlock
Démocratie Participative
20 Juin 2020

 

La révolution culturelle négro-communiste soutenue par les médias juifs continue aux Etats-Unis. J’ai du mal à suivre toutes les attaques perpétrées par les terroristes car elles sont tout bonnement devenues trop nombreuses à travers le pays. Tous les états ne sont pas affectés de la même façon, ce sont surtout les états ancrés à gauche, urbains et très multiraciaux qui sont le théâtre de ces destructions révolutionnaires.

Ceci dit, certaines valent la peine d’être citées en raison de leur portée symbolique. Après la statue de George Washington, c’est celle de Francis Scott Key, le rédacteur de l’hymne national américain, qui a été démantelé à San Francisco.

San Francisco est sûrement un cas extrême compte tenu du fait que c’est la capitale mondiale du mouvement fondamentaliste LGBT. Mais tout de même.

Les insurgés ont aussi détruit la statue d’un missionnaire catholique.

Je ne sais pas si les chicanos sont enthousiastes ou pas. Toujours est-il qu’elle a été détruite.

Celle de Cervantès – l’auteur de Don Quichotte – a aussi été vandalisée. Pourquoi, je n’en ai aucune idée. Probablement parce que c’est un Blanc.

Une statue d’Ulysses Grant a aussi été détruite.

Si vous ne le savez pas, Grant était le général en chef des forces nordistes (anti-esclavagistes) lors de la guerre de sécession. Apparemment, même les nordistes sont désormais des racistes. Parce qu’ils sont blancs.

Sinon, à Atlanta, la police a déserté la ville. Les nègres ont le feu vert pour faire à peu près ce qu’ils veulent. Quand des nègres ont l’autorisation de faire ce qu’ils veulent, généralement ils se flinguent entre eux. Il y a des vidéos très drôles là dessus. Une activiste Black Lives Matter s’est fait plomber en règle par des nègres. Allez savoir pourquoi.

Génial.

Les nègres sont vraiment pire qu’un hiver nucléaire. Un pays a plus de chances de se relever après un Tchernobyl au carré que d’une prolifération de nègres. L’anarchie post-apocalyptique est sur nous tous.

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