La pute à nègre Amandine Cognard du journal « Charente Libre » prend fait et cause pour 3 négresses hurlant au racisme des autochtones

Captain Harlock
Démocratie participative
10 août 2018

« Nou ça y’en a chez nou’, ça racism’, toi excuses, nou parlez jou’nal »

La traînée Amandine Cognard du journal « La Charente Libre » s’est livrée à une attaque sauvage des populations blanches de Charente suite à leur refus de subir davantage la barbarie nègre.

La Charente Libre :

Une famille noire raconte avoir subi plusieurs réflexions à caractère raciste dimanche à la baignade de Vindelle.

Des regards en coin, des ricanements, des réflexions à caractère raciste prononcées à voix haute sur leur passage, des gens qui changent de place en les voyant… Voilà à quoi a été confrontée une famille noire, dimanche, alors qu’elle venait simplement passer un moment agréable et rafraîchissant à la baignade de Vindelle.

Souvent, Nmahawa Sakho, Lalaissa Sacko et Assanatou Diaby laissent passer ces comportements. Mais cette fois-ci, c’était trop. Trop intolérable pour se taire. Elles ont donc décidé d’en faire part à Charente Libre en espérant créer une prise de conscience et en pensant avant tout à leurs enfants.

«Étant donné la chaleur, on avait décidé d’aller en famille pique-niquer et se baigner, raconte Nmahawa Sakho, 26 ans, étudiante infirmière, qui habite Soyaux. Nous sommes arrivés là-bas vers 17 heures. On était une vingtaine: une dizaine d’adultes et une dizaine d’enfants. Dès notre arrivée, on a senti tous les regards braqués sur nous. Des gens parlaient entre eux en nous dévisageant, on s’est sentis mal à l’aise.»

Le petit groupe essaie de ne pas trop s’en préoccuper et s’installe sur l’une des tables de pique-nique disponibles. «Et là, un groupe d’adultes qui étaient allongés à côté, sous un arbre, avait installé des serviettes et une slackline [une sangle pour jouer les équilibristes, NDLR], s’est levé, a tout rangé et est parti s’installer plus loin en disant: “Restons pas là, on va se faire voler”», décrit Lalaissa Sacko, 22 ans, employé de l’hôtel Mercure à Angoulême.

«On ne se sentait vraiment pas à notre place. Je n’ai même pas osé descendre me baigner», témoigne Assanatou Diaby, 30 ans, secrétaire, qui vit à Angoulême qui était venue avec ses enfants.

«Moi, j’y suis allée avec mon fils, qui a échangé ses jouets avec d’autres enfants dans l’eau, ça se passait bien. Mais c’est quand je suis remontée vers la table, que j’ai entendu une personne dire tout fort à ses amis: “Même dans un coin si perdu, y a autant de noir. Rentrez chez vous”.»

La jeune femme a eu envie de répondre, «de “contre-attaquer”». «Mais j’ai préféré ne rien dire. J’avais peur d’envenimer la situation. Que ce soit l’escalade et que ça finisse par nous retomber dessus.»

«Ils ont même trouvé quelque chose à dire quand on a sorti des melons de la voiture pour manger… “Ils sont bizarres leurs melons”. Alors qu’on les a achetés au supermarché tout comme eux», ajoute Assanatou Sakho.

Si ces frères, sœurs, neveux et nièces ont passé un agréable moment ensemble jusqu’à 21 heures en bord de Charente, ils sont encore choqués par tous ces regards insistants et ces réflexions et comportements racistes qui ont ponctué l’après-midi.

«D’habitude, on va au plan d’eau de Saint-Yrieix et on n’a jamais eu aucun souci là-bas. Mais comme il y avait un problème de pollution de l’eau, on a décidé de changer pour Vindelle. Mais maintenant, on se dit qu’on n’y retournera pas et c’est dommage que de telles choses arrivent encore», dénoncent les trois jeunes femmes qui veulent surtout que leurs enfants, qui cette fois-ci ne se sont pas vraiment rendu compte de ce qui se passait, «ne grandissent pas avec l’idée qu’ils ne sont pas à leur place quelque part à cause de la couleur de leur peau».

En effet, plus un ruisseau de France ne doit pouvoir échapper à la sueur de ces grosses Fatoumata haineuses et insolentes. Et nous devons bien sûr nous enthousiasmer à la vue de ces tribus cafres entières qui viennent luire au soleil en rotant leur mafé tandis que leurs négrillons sèment le chaos alentour.

Oui, c’est l’évidence.

Mais ce fabuleux projet ne serait pas possible sans l’aide des Blanches de gauche soucieuses de signaler leur vertu morale en se faisant les avocates de la négraille face à l’homme blanc.

C’est d’ailleurs une passion particulièrement développée chez celles qui sont enkystées dans les rédactions de journaux régionaux. Ces traînées narcissiques n’aiment rien tant que de terroriser les autochtones à la moindre manifestation de refus de la négrification de leurs campagnes.

C’est donc l’occasion de féliciter la pigiste responsable de longue tranche d’apologie de la créolitude : la gigantesque pute à nègre arrogante Amandine Cognard.

a.cognard@charentelibre.fr

05 45 94 17 23

 

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