La pute à bougne finit comme une pute à bougne : lardée de coups de surin

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
15 janvier 2018

Tu fais ta pute à bougne, tu passes à la caisse.

Le Parisien :

Le procès du meurtrier présumé de Cassandra, 18 ans, poignardée à Epinay-sur-Seine en 2015, se poursuit ce lundi aux assises de Seine-Saint-Denis, à Bobigny. Les proches de la victime décrivent une jeune femme influençable. Le verdict est attendu le 16 janvier.

C’est sans doute la dernière photo de Cassandra. «Elle nous envoyait toujours des photos», explique Kevin, 27 ans, le frère de cette jeune femme poignardée à mort en avril 2015 à Epinay-sur-Seine. Depuis jeudi, Khalil J., 27 ans, est jugé pour meurtre devant la cour d’assises de Seine-Saint-Denis à Bobigny. Le verdict est attendu mardi. Pour ses proches, Cassandra, 18 ans et qui avait grandi à Limoges (Haute-Vienne), était influençable, en quête affective.

Pour tous, Eddy, mécanicien de 25 ans chez qui elle a été tuée, était «son grand amour». «On s’était rencontrés sur Facebook, deux ans avant. On s’est vu huit fois, peut-être. Elle faisait sa vie sur Limoges, moi sur Paris, dit-il. C’était une bonne amie, une fille tranquille. Tu la poses dans un endroit, elle parle pas, elle est avec son téléphone.»

Le 14 avril, de retour chez lui avec Cassandra, il découvre Khalil, son cousin, assis sur le canapé, un joint à la main. «Je lui ai dit que c’était ma meuf», relate Eddy. Avant de repartir travailler, il dit s’être assuré que Cassandra n’était pas gênée par la présence du cousin. Mais à sa pause déjeuner, il a un pressentiment : «Mon cœur sentait un truc, j’arrivais pas à manger». Alors il tente d’appeler Cassandra, à 14h07, plusieurs fois. Sans réponse. Il finit par demander à un autre cousin de 15 ans d’aller voir. C’est lui qui découvre le petit corps de 1m56, dans la cuisine, poignardé.

Eddy rapplique en trombe. «Elle était bleue. Je me suis mis à pleurer, je suis devenu ouf», a-t-il témoigné jeudi, convaincu que Khalil était alors coupable. Il s’est mis à sa recherche, l’a trouvé au Chiquito, leur café habituel. «A son visage j’ai compris qu’il était coupable», répète-t-il. Malgré le sang sur ses vêtements et les aveux rapportés par plusieurs proches, Khalil n’a jamais reconnu.

Il n’y a pas que l’accusé qui semble souffrir de trous de mémoire. La famille de Khalil J., jugé depuis jeudi devant la cour d’assises de Seine-Saint-Denis pour le meurtre de Cassandra à Epinay en 2015, a aussi la mémoire chancelante.

Plusieurs d’entre eux avaient pourtant assuré être convaincus de sa culpabilité, certains évoquant même des aveux de sa part. Mais à la barre, deux ans et demi plus tard, c’est différent. «Dans cette affaire, on n’a pas de chance, tous les témoins perdent la mémoire !», lâche la présidente Xavière Simeoni. «Il n’y en a pas un de vous qui va dire la vérité ?», enjoint Me Juliette Magne-Gandois, avocate de la famille de Cassandra.

Je ne vois aucune raison de pleurer sur le sort de cette idiote. Ni d’ailleurs sur aucune de ces traînées à crouilles qui se mettent à la colle avec des arabes en toute connaissance de cause.

La nature a fait son oeuvre. Elle fera toujours son oeuvre.