La presse juive promeut maintenant les gosses transexuels de moins de dix ans

Captain Harlock
Démocratie Participative
19 mai 2019

 

Quand on disait, il n’y a pas si longtemps, que la promotion gouvernementale du sexe anal entre hommes finirait par la légalisation de la pédophilie, on se voyait répondre que nous étions totalement paranoïaques. Des cerveaux détraqués rendus fous par une homosexualité refoulée.

Et puis ce que nous avons annoncé, comme sur l’immigration, a eu lieu.

Je ne sais pas ce que ces gens vont nous dire maintenant que le principe des gamins de 10 ans transexuels est globalement validé par les médias judéo-marxistes. Probablement quelque chose du genre, « ah ouais, en effet, lol, osef. »

Cette « Lucile » est une branleuse fraîchement sortie d’une « école de journalisme ». Si vous ne savez pas ce qu’est une école de journalisme, c’est là que sont formés les fonctionnaires chargés de désinformer le peuple pour le compte du système judéo-globaliste.

Vous pouvez trouver le profil de cette traînée sur Linkedin.

Elles sont choisies très tôt par le système. Cette garce a été préselectionnée au lycée par le Parti Socialiste au pouvoir à la Région Bretagne. Elle a ensuite été formée dans un IUT à la con avant d’être affectée à diverses rédactions de médias financés par l’Etat sous couvert de « subventions ».

Ces pigistes se livrent une guerre à mort pour pouvoir être finalement recrutées par un journal. Cette rareté de la demande aggravée par l’arrivée en masse d’idiotes sur le marché du journalisme institutionnel juif garantit qu’aucun contestataire ne perce jamais dans une rédaction.

En France, il y a environ 35,000 fonctionnaires de ce type dotés d’une « carte de presse ». Une carte de presse est un statut garanti par le régime pour ceux qui sont en charge de sa propagande.

Légalement, un journaliste est à l’origine quelqu’un qui vit en informant les gens.

Article 2, loi du 29 juillet 1881 :

Est considérée comme journaliste au sens du premier alinéa toute personne qui, exerçant sa profession dans une ou plusieurs entreprises de presse, de communication au public en ligne, de communication audiovisuelle ou une ou plusieurs agences de presse, y pratique, à titre régulier et rétribué, le recueil d’informations et leur diffusion au public.

La nature de l’activité et le revenu sont les deux seuls critères constitutionnels qui définissent un journaliste.

C’est pourquoi le système a créé cette « carte de presse » dans sa forme actuelle lors de l’épuration judéo-bolchevique de 1944-1945 : pour donner un statut privilégié à ceux qui servent, quotidiennement, la propagande juive.

Peu importe que vous viviez où non de votre travail d’information, ce n’est pas le critère d’éligibilité : le critère d’éligibilité, c’est de servir politiquement les juifs en désinformant le peuple.

Ne vous étonnez pas de l’état terrifiant de la France après 75 ans de propagande judéo-bolchevique. C’est le résultat planifié par les juifs. Les pétasses et les fiottes qui prolifèrent dans les rédactions les plus obscures de province sont prêtes à tout pour se faire remarquer par leurs maîtres et être sélectionnées par un média à Paris.

Ce qui vous donne des rédactions d’un blanc immaculé fanatiquement pro-migrants.

Sauf que ces traînées vont devoir faire de plus en plus la place à des femmes marrons.

Car quiconque servira les juifs sera dévoré par les juifs. Cet axiome est éternel.

Donc, seuls les gens qui servent les juifs sont officiellement présentés comme des « journalistes ». C’est le statut que leur donne la caste juive au pouvoir. Outre le fait que ces « journalistes » se prennent pour des êtres d’exception censés guider la société sous la supervision des hébreux, ils bénéficient de toute une série d’avantages : resquillage fiscal, etc..

En plus, bien sûr, de constituer un pouvoir occulte afin d’attaquer tout homme qui tenterait de libérer le peuple de l’empire de cette presse juive comme des partis juifs qui se répartissent le pouvoir.

En réalité, les partis au pouvoir sont bien moins dangereux que la presse terroriste juive.

Ces journalistes sont la cible prioritaire pour quiconque veut libérer la population de l’occupation juive.

C’est ce qu’a compris d’instinct la population qui s’est révoltée ces derniers mois.

Et ces prostituées se savent en sursis.

Les juifs ne sont pas fous.

Ils recrutent prioritairement des pétasses de 20 ans conformistes comme une pétasse de 20 ans peut l’être qu’ils dégagent après 30 ans, une fois périmées sur le marché sexuel.

Les critères de qualification sont simples : être une gourde pro-migrants, pro-fiottes et islamo-misérabiliste.

Et bien sûr, croyant dur comme fer aux 6 trilliards de juifs transformés en savon.

Ces éponges gavées d’oestrogènes avalent tel quel ce que le système juif leur dit d’avaler et le régurgite ensuite sur commande.

Mais avec l’émergence d’internet, des réseaux sociaux et, demain, de la technologie BlockChain, la redistribution du pouvoir est en marche.

C’est ce que ces gens-là appellent « le populisme ».

Ce n’est pas pour rien que tous ces plumitifs à la solde des juifs soutiennent à fond la censure des réseaux sociaux et la destruction de tous les médias alternatifs.

Jusqu’à présent, tous les camarades de nos milieux se sont focalisés sur les partis politiques ou le gouvernement. Ces structures sont presque inoffensives si on les compare à cette 5ème colonne répartie sur tout le territoire français.

Chaque rédaction de sous-préfecture est un QG terroriste d’où opèrent quotidiennement l’ennemi le plus dangereux.

Si nous avons une cible prioritaire, ce sont ces prostituées de journalistes, ces conspirateurs payés par le gouvernement d’occupation pour terroriser la population.

Nous devons aller voir ces gens dans leurs rédactions. Les partis, les syndicats, tout ça n’a aucun intérêt et encore moins d’influence.

L’influence de l’ennemi repose d’abord et avant tout sur ces 35,000 terroristes que l’on appelle les « journalistes ».

Je suppose que vous n’êtes pas particulièrement partant pour avoir vos gosses transformés en travelos séropostifs dès 8 ans sur ordre de l’Education Nationale.

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