La poufiasse à face de cheval Charlotte Signoroni harcèle les mâles blancs qui ne veulent pas sortir avec des putes à nègres

Captain Harlock
Démocratie Participative
22 Janvier 2020

 

Addentum :

Lol

Cette pute ouvrait plus sa gueule hier.

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C’est une très jolie histoire.

L’histoire d’une pétasse au faciès arméno-tunisoïde qui décide de brancher des hommes blancs  qui ne lui demandent rien pour exiger qu’ils acceptent sa passion pour les mâles marron.

« Cyril, bonjour, on se connaît pas. Tu n’as pas fait ton lit pour que j’aille me faire fourrer par des métèques dedans. Tu n’as pas honte ? »

Ce brave mec met d’emblée une punchline pour filtrer ce type précis de pétasse.

Evidemment, s’il le fait, c’est pour la bloquer d’entrée ou se payer sa tête.

Mais une femme ne réfléchit pas, elle délègue à ses ovaires. Et les ovaires de cette pute sont formels : elle doit gendarmer les mâles blancs afin qu’ils la remercient de préférer écarter les cuisses pour des nègres ou des arabes.

Chez cette poufiasse, le niveau de narcissisme morbide est effrayant.

Elle veut « dégager » un mec qui ne lui demande rien et qui lui explique sans détour qu’elle est le genre de traînée à métèques moralisatrice qu’il fuit.

C’est comme si cette folle vous stoppait en pleine rue pour vous dire : « Hey, toi, tu me suis pas, dégage de ma rue. »

Le niveau d’obscénité de ce truc.

Elle est tendue, elle a agressé un mec.

Mais attendez, elle explique pourquoi Cyril n’est pas un mâle digne de son attention :

« Pour t’éduquer ».

Là déjà, j’ai les deux mains prêtes.

« à coups de gifles dans la tête »

PFOUHHHH

En Algérie, cette pétasse aurait déjà été défenestrée depuis plusieurs années déjà.

D’ailleurs, le thème de l’Algérie est raccord.

« Chakinthewood », de son vrai nom Charlotte Signoroni, a une tête d’algérienne.

Regardez ce faciès totalement difforme, allongé comme par permis.

Et ce tarin de bédouine.

Et ces tatouages merdiques.

On dirait qu’ils sont faits au stylo bille.

D’ailleurs, ce sac d’os à face de mule tatoué parle comme une algérienne.

« Frère »

Imaginez qu’elle fume en plus et le compte est bon.

Cette traînée est aussi une habituée des restaurants juifs. Comme celui de (((David Soussan))), UNO dans le quartier du Louvre.

On évolue donc entre la Judée, la Tunisie et le négristan.

Je pense que vous pouvez trouver cette pute huileuse dans ce coin-là, un soir.

En tout cas, ce Cyril offre une subtile leçon de virilité aryenne : il signale aux pétasses à métèques qu’il leur est ostensiblement fermé sexuellement et socialement, trahison raciale et biologique oblige.

Et il le fait avec humour, ce qui démontre qu’il reste le maître du jeu.

Le sujet, ce n’est pas de discourir politiquement, c’est de sélectionner. D’imposer ses standards.

Avec ces standards-là, ce type de grognasses n’a aucune chance.

Et ça les rend hystériques.

Ce que dit ce brave gars, c’est tout simplement : « Désolé, mais je passe pas après Moktar et Fofana, t’as aucune chance. Continue à zoner avec ton dealer avant de déféquer un Kirikou avec ton videur congolais préféré. »

Ce que disait cette trainée, à l’inverse, c’était : « Salut, déjà, tu baisses les yeux, ensuite tu acceptes que je me fasse sauter par des basanés quand j’en ai envie. En attendant, tu me payes mes sorties. »

Un mâle blanc qui assume son prestige racial ira toujours plus loin qu’un pauvre loser qui rampe devant une chatte au point d’avaler toutes les conneries qu’elle peut déballer et dont elle ne comprend pas le dixième du millième.

Les femmes ne comprennent jamais rien à ce qu’elles disent.

De toute façon, le phénotype de cette 4/10 sous-entendait l’appel de l’Afrique via Alger. L’air ambiant révèle ce qui est latent chez ce genre de pétasses de 14ème main.

Tip : ce type de pute est génial à faire criser en soirée. 

Les conseils du chef :

Après avoir ferré la grosse conne « tolérante » ultra-sectaire et obsédée par le racisme (la bite des nègres, c’est-à-dire) en soirée (bondée, avec du brouhaha pour que personne n’entende), vous commencez en la complimentant sur son physique. Soft, du genre, « tu es très charmante, pourquoi tu perds ton temps à parler de politique ».

Laissez dérouler, poser des questions de nature à la faire bien monter en confiance et déballer encore plus d’insanités.

En général, le nom de Marine Le Pen arrive assez tôt dans la discussion. Feignez l’hésitation, « ah oui, y’a pourtant deux ou trois choses qu’elle dit qui sont justes. »

Là, elle boue, dites que vous pensez à la « laïcité ». Elle va s’étouffer en disant que Le Pen est une catholique d’extrême-droite anti-IVG.

Une fois à température, allez-y franchement en expliquant qu’Adolf Hitler était un héros et que les juifs méritent le port de l’étoile jaune et que sur la question des femmes, les musulmans en raison.

Appréciez le spectacle d’une fusion nucléaire, le sourire aux lèvres.

Quand finalement quelqu’un arrive, vous dites, très posé, « elle a l’air d’avoir un peu trop bu ».

C’est le clou final.