La Pologne se prépare à accueillir ses premiers migrants d’Ethiopie sur décision du patronat catholique

Captain Harlock
Démocratie Participative
17 décembre 2019

Si ton pays ne vient à Israël, Israël viendra à ton pays

Il est temps de changer la Pologne et de l’ouvrir à un sang nouveau pour qu’il irrigue de mélanine ce pays encore trop blanc.

Dlahandlu.pl :

Éthiopie : de nombreux mythes se sont développés en Europe au fil des ans autour de cette nation, ce qui décourage effectivement les employeurs polonais de commencer une coopération commerciale. Cezary Maciołek, vice-président du groupe Progrès, parle du potentiel de la coopération commerciale avec l’Éthiopie :

En 2019, 34 décisions positives ont été rendues pour la résidence temporaire de citoyens éthiopiens en Pologne, comme en 2018 (32 décisions positives pour la résidence temporaire). Malgré le petit nombre d’Éthiopiens qui ont obtenu un permis de séjour temporaire dans notre pays, ce nombre augmente d’année en année – en 2017, seulement 11 personnes originaires d’Éthiopie sont restées en Pologne pour une période temporaire.

Dans un proche avenir, le premier groupe d’Éthiopiens pour travailler temporairement dans notre pays arrivera en Pologne. Il s’agira d’un groupe test et il sera alors possible de voir si le projet a une chance de se poursuivre dans la pratique.

Le choix de l’Ethiopie est tout trouvé pour les culs bénis qui dirigent la Pologne : elle est « chrétienne ».

Ce qui change tout.

Jésus, Marie, etc..

Je vois d’ici les campagnes de presse de la presse polonaise pour vanter la piété de ces sauvages.

Il y a certainement de la curiosité de la part des employeurs polonais, et c’est la première étape vers le succès. Notre premier contact officiel avec le gouvernement éthiopien a eu lieu en juin dernier. Au cours des mois qui ont suivi, nous avons étudié très attentivement les possibilités d’établir une coopération avec ce pays, nous nous sommes rendus en Éthiopie et nous nous sommes personnellement impliqués dans la présentation de la Pologne et de notre offre. Nous avons également invité une délégation du gouvernement éthiopien à Gdańsk, où nous avons récemment eu des rencontres très importantes avec le vice-président de la ville et le président de Pomeranian Employers « , dit Cezary Maciołek.

Cependant, le projet que nous avons entrepris ne sera pas l’un des plus faciles, car le processus même de l’emploi légal des citoyens éthiopiens dans notre pays est très complexe. Dans ce cas, le permis est délivré par l’Office provincial et non, comme dans le cas des travailleurs ukrainiens, par l’Office du travail, par exemple, et c’est ici que commencent les formalités qui doivent être accomplies pour employer légalement une personne d’Éthiopie. Une route cahoteuse se dresse également devant un employé potentiel – il doit obtenir un visa, rencontrer le consul et donner les raisons de son départ pour la Pologne. Ce n’est pas sans importance non plus la distance énorme qui sépare nos deux pays, de sorte que le plus important dans l’ensemble du processus, outre l’aspect formel, est la motivation du candidat éthiopien à travailler en Pologne.

La motivation des candidats est connue.

Violer des Blanches.

Mais le grand patronat est à l’aise avec cette idée.

Les objections de part et d’autre sont également soulevées par les barrières linguistiques et les problèmes de communication potentiels, car toutes les entreprises ne préparent pas d’instructions en anglais pour leurs employés. Une autre question, probablement la plus importante à laquelle nous devons faire face est l’attitude des employeurs polonais à l’égard de ce projet, car tout ce qui est inconnu suscite des réserves et des inquiétudes. C’est une réaction compréhensible, il est donc de notre devoir de faire prendre conscience aux entrepreneurs de ce qu’ils peuvent attendre des employés éthiopiens – explique Cezary Maciołek.

Ce patronat catholique polonais est aussi avare que les autres.

J’ai déjà dit ici que si se priver d’immigration aboutissait à perdre 50% de son PIB, c’était encore bien peu en comparaison de ce que l’on économisait par ailleurs : l’ espace vital nécessaire au développement de sa culture.

Nous connaissons ce schéma mieux que quiconque.

En 20 ans, Varsovie deviendrait un bouge aussi repoussant que n’importe ville française d’importance.

Mais ce n’est même pas le cas.

Si le patronat privatise les bénéfices de ce genre d’immigration sur le très court terme, c’est le peuple qui doit assumer financièrement l’opération sur le long terme.

Sans parler du désastre culturel que sont la libanisation, progression massive du crime, la destruction du foyer national.

Les Polonais, tout « nationalistes » qu’ils se disent, ne sont que des gaullistes français des années 60 qui se retrouveront d’ici 20 ans avec leur propre François Mitterrand. Quand on est annexé par l’empire judéo-américain, on a pas le choix de son modèle social et économique : c’est le financier juif qui dicte les règles.

La première règle consiste à détruire le socle racial du pays par l’immigration extra-européenne, la dénatalité blanche et l’abâtardissement racial agressivement promu par les médias juifs.

Les gens devront bien finir par comprendre qu’Adolf Hitler avait raison sur tout.