La Pologne proclame la supériorité de la loi polonaise sur les oukases homosexuels de l’UE

Captain Harlock
Démocratie Participative
08 octobre 2021

L’AFP, l’agence de désinformation gouvernementale française, est folle de rage.

La Pologne vient d’en finir avec les tentatives de mise au pas anale voulue par l’Union Européenne.

Le Figaro :

La plus haute juridiction polonaise a décidé jeudi 7 octobre que certains articles des traités de l’UE étaient «incompatibles» avec la Constitution de la Pologne, dans une décision historique qui pourrait menacer le financement européen prévu pour ce pays et même remettre en question sa présence dans l’UE.

Cette décision est le dernier rebondissement en date d’un long affrontement entre la Pologne et l’UE au sujet de réformes judiciaires controversées introduites par le parti conservateur nationaliste au pouvoir Droit et Justice (PiS).

Dans son arrêt, la présidente de la Cour constitutionnelle, Julia Przylebska, a énuméré plusieurs articles du traité de l’UE qui, selon elle, sont incompatibles avec la loi suprême polonaise, déclarant en outre que les institutions européennes «agissent au-delà du champ de leurs compétences».

«Honte !», «Traîtres !» et «Bienvenue en Biélorussie !» a crié un groupe d’une trentaine de manifestants réunis devant le tribunal après avoir entendu la décision. «C’est un scandale (…) Ils nous sortent de l’Union européenne !», a regretté Anna Labus, une retraitée, fondant en larmes.

L’AFP n’a rien à envier aux médias soviétiques.

Si cette agence de désinformation en fait des tonnes sur 20 manifestants pro-UE payés par Soros, elle n’a pas parlé de ceux qui s’opposaient à l’UE devant son siège à Varsovie quelques jours plus tôt.

Les Polonais étaient bien dans les rues, mais pour appeler à briser l’impérialisme homo-sidaïque bruxellois.

Les golems français ne douteront pas un seul instant des mensonges que répand l’AFP, bien au contraire.

Mais le porte-parole du gouvernement, Piotr Muller, a salué l’arrêt de la Cour, soulignant qu’il confirmait «la primauté du droit constitutionnel sur les autres sources de droit». Il considère toutefois que cette décision «n’affecte pas les domaines dans lesquels l’UE a des compétences déléguées dans les traités», tels que les règles de concurrence, le commerce et la protection des consommateurs.

La Commission européenne a réagi, en se disant «préoccupée» par cette décision et «utilisera tous les outils» à sa disposition pour protéger la primauté du droit européen, a déclaré jeudi le commissaire européen Didier Reynders. Le responsable belge, précisant qu’il attendait encore de lire en détail la décision, a souligné que les principes de la primauté du droit européen sur le droit national et le caractère contraignant des décisions de la justice européenne étaient «au cœur de l’Union».

Toutes ces arguties juridiques relèvent du pilpoul.

Il faut bien comprendre que le but de l’UE est d’anéantir la Pologne en tant que peuple afin de transformer ce pays en une simple région du supermarché global fémo-LGBT.

Le féminisme et le pédo-LGBTisme d’état sont centraux dans la dissolution des sociétés blanches. La grande finance internationale ne peut pas mouvoir capitaux, biens et migrants avec la même facilité si une société aryenne est toujours protégée et dirigée par ses hommes.

C’est pour cela que Soros finance les traînées pro-avortement dans ce pays et que l’UE tente d’imposer les parades anales en affirmant que la constitution polonaise n’a aucune espèce de valeur en Pologne.

Dans une vaginocratie LGBT, les hommes ne sont plus que des auxiliaires chargés de travailler pour rembourser les dettes. Ce sont les femmes qui sont au centre du processus social grâce à la libération totale de leur hypergamie garantie par la législation. Les hommes n’ayant plus la maîtrise de leurs familles et de leur descendance sous l’effet du féminisme légal et culturel, leur implication dans l’avenir du pays s’effondre. Ils deviennent des mâles beta apathiques, ce qui renforce encore la haine des femmes à leur encontre.

Toutes les démocraties féministes sont des états en voie de grand-remplacement et ce n’est pas un hasard : l’homme n’est plus le propriétaire des femmes ni du territoire, l’envahisseur peut donc y entrer sans résistance sur invitation des ultra-capitalistes et de leurs traînées.

Les Polonais ont encore un état patriarcal parce que les hommes du pays refusent pour le moment de céder les clefs du pays aux femmes et aux fiottes, proxys des juifs. Certains diront que c’est dû à leur catholicisme réactionnaire, ce qui est vrai. Mais attention : le Vatican mène une guerre souterraine pour subvertir le clergé polonais et en faire un relais du programme de Soros.

Ce suceur de doigts de pied de nègre de Bergoglio ne rêve que d’une chose : repeupler la Pologne d’égorgeurs mahométans.

Je ne sais pourquoi les Polonais acceptent de jouer à ce simulacre avec cette église judéo-LGBT.

J’imagine qu’ils n’ont pas de plan B sous la main.

Le mois dernier, le commissaire européen chargé de l’Economie, Paolo Gentiloni, a prévenu que l’affaire judiciaire polonaise pourrait avoir des «conséquences» sur le versement des fonds de relance à la Pologne. L’Union européenne n’a pas encore approuvé les 23 milliards d’euros de subventions et les 34 milliards d’euros de prêts bon marché prévus pour ce pays. Le gouvernement polonais a qualifié les propos de Paolo Gentiloni de «chantage».

Depuis, des responsables européens ont expliqué que l’argent pourrait être déboursé le mois prochain, mais que des conditions strictes seraient posées en échange en matière du respect de l’État de droit. Le mois dernier, la Commission européenne a demandé à la Cour de justice de l’Union européenne d’infliger des amendes quotidiennes à la Pologne jusqu’à ce qu’elle suspende les réformes judiciaires. Le différend avec Bruxelles a porté en particulier sur un nouveau système disciplinaire pour les juges qui, selon l’UE, menace gravement l’indépendance du pouvoir judiciaire en Pologne.

En fait, ce nouveau système disciplinaire est explicitement conçu par le gouvernement polonais pour purger les agents communistes de l’ère pro-soviétique qui agissent désormais pour le compte de ces forces subversives internationales.

C’est pour cela que l’UE est entrée dans la danse : pour protéger les espions rouges de Soros inflitrés dans l’appareil judiciaire.

Les mêmes juges rouges qui nous font la guerre chez nous pour le compte des juifs, des féministes et de l’invasion afro-islamique.

Mais il existe d’autres pommes de discorde, notamment la nomination des juges et leur transfert sans leur consentement entre différents tribunaux ou divisions d’un même tribunal. La Pologne a déclaré que les réformes étaient nécessaires pour éradiquer la corruption au sein du système judiciaire et a ignoré une ordonnance provisoire de la Cour de justice de l’Union européenne visant à suspendre l’application de ce système disciplinaire.

Ce conflit a fait craindre que la Pologne ne finisse par quitter l’Union européenne, ce qui pourrait affecter la stabilité de cette communauté d’Etats. Le mois dernier, Jaroslaw Kaczynski, le chef du PiS, a rejeté cette idée, déclarant que la Pologne voulait seulement mettre fin à l’«ingérence» de l’UE. «Il n’y aura pas de Polexit (…) Nous voyons sans équivoque l’avenir de la Pologne dans l’Union européenne», a déclaré Kaczynski.

Les Polonais sont majoritairement enthousiastes à l’égard de l’Union européenne, plus de 80% d’entre eux soutenant l’appartenance à l’UE qui a accordé à leur pays des milliards d’euros de subventions et tout son acquis, stimulant ainsi son développement depuis son adhésion en 2004. Mais les relations entre Varsovie et Bruxelles sont devenues tendues depuis la prise du pouvoir par le PiS en 2015.

Ryszard Terlecki, le vice-président du Parlement, a récemment appelé à des «solutions drastiques» dans le conflit qui oppose la Pologne à l’UE. «Les Britanniques ont montré que la dictature de la bureaucratie bruxelloise ne leur convenait pas. Ils ont fait demi-tour et sont partis», a-t-il déclaré.

Le portrait n’est pas si rose, les affairistes polonais rôdent et font pression pour céder à l’UE en échange d’énormes valises de cash de la part de Bruxelles. Récemment, un tiers des zones anti-LGBT ont été abolies dans l’espoir de récupérer des subventions européennes.

Les Polonais n’ont qu’une conception économique de l’UE. Pour eux, ce n’est qu’une zone de libre-échange. Les apparatchiks néo-communistes de Bruxelles ont conception jacobine, d’inspiration française, qui vise à broyer culturellement les peuples grâce au dissolvant du globalisme anal pour imposer leur autorité sur le pays.

La réaction des homosexuels de Bruxelles va décider de la suite. Je privilégie une escalade à laquelle le lobby anal va férocement appeler. Les fiottes sont totalement irrationnelles et sont incapables du moindre sang-froid dès lors qu’on refuse de les laisser toucher le sexe des enfants à l’école.

C’est exactement ce dont nous avons besoin pour déclencher une spirale action/réaction qui se terminerait par le départ de la Pologne de l’UE. Si la Pologne quittait l’UE, la Hongrie suivrait car si elle restait, elle deviendrait archi-minoritaire au sein du bloc fémo-anal.

Vous voudriez, vous, siéger seul dans le même parlement que Manon Aubry ?

De toute façon, l’UE est déjà condamnée car le fossé culturel est de plus en plus béant entre une Europe occidentale fémo-LGBT pré-musulmane et une Europe de l’Est slave et encore relativement patriarcale. Pour que l’UE ait eu une chance de fonctionner, il aurait fallu qu’elle soit racialement homogène et qu’elle ne soit pas fondée sur l’idéologie castratrice des droits-de-l’homme avec le mythe de l’holocauste pour religion.

Cette UE est irréversiblement dégénérée. Elle ne peut pas être chose qu’une caricature de marxisme anal avec le génocide des Blancs pour idée fixe.

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