La nymphomane Marlène Schiappa annonce que les Français voulant vivre à la française en France seront ciblés pour « séparatisme »

Captain Harlock
Démocratie Participative
14 septembre 2020

Dans la France juive, les Français sont l’anti-France

J’ai alerté ces derniers temps à propos de l’ébullition gouvernementale au sujet du « séparatisme », une catégorie politique indéfinie dans laquelle le régime entend jeter indistinctement tous les opposants.

La nymphomane Marlène Schiappa a reconnu que les Blancs qui refusent de vivre au milieu des envahisseurs du tiers-monde seraient également visés en tant que « séparatistes ».

Le Point :

Les contours de la future loi sur le séparatisme ne sont pas encore totalement définis. Mais Marlène Schiappa tient à ce qu’il n’y ait pas d’ambiguïté. La ministre déléguée à la Citoyenneté a assuré que ce projet de loi ne concernait pas uniquement « l’islam radical », incluant également le « suprémacisme blanc » et les « dérives sectaires ». Elle reconnaît néanmoins que l’islam radical représente la « principale menace » en France.

Pour que nous entendions sur les termes de la discussion, convenons de ce dont il est question ici d’après le gouvernement.

Le mot « suprématie » signifie, d’après le dictionnaire Larousse, une « situation dominante conférant une autorité incontestée ». Le suprémacisme blanc consiste donc à rechercher ou maintenir au profit des populations de race blanche une « situation dominante » leur « conférant une autorité incontestée ». Je crois pouvoir dire, sans craindre de me tromper, que jusqu’à une date très récente, la France était un pays peuplé de Français, un peuple de race blanche, et que les Français considéraient comme normal, en tant que Français, de jouir d’une « situation dominante » en France qui leur confère « une autorité incontestée » sur leur propre pays. On appelait même « souveraineté nationale » le fait pour un peuple de dominer son propre pays avec une autorité incontestée, si je ne m’abuse.

D’après le gouvernement, il semble que pendant le dernier millénaire nous ayons fait fausse route, collectivement. Les Français de souche qui nourriraient l’idée d’exercer « une autorité incontestée » sur leur propre pays sont désormais désignés, d’après ce que déclare Marlène Schiappa pour le ministère de l’Intérieur, comme des ennemis d’état que la langue du Parti désigne sous le terme de « séparatistes ».

Selon le dictionnaire Larousse, le séparatisme est une « attitude, tendance à sortir d’un ensemble national et à former une entité politique distincte de l’État d’origine. ».

Si on résume, pour le gouvernement en place, les Français qui veulent vivre souverainement en France comme leurs ancêtres français « sortent » de la France. Je dois dire que ce concept de France sans Français est vraiment bizarre. Un certain nombre de gens doivent aussi le trouver bizarre, notamment les habitants des autres pays du monde pour qui la France était un pays dont la première caractéristique était d’être peuplé de Français.

Je ne vois qu’une seule explication logique à cette nouveauté : l’Etat qui administre la France n’est pas français et ceux qui le contrôlent ont un problème existentiel avec l’idée qu’il y ait des Français en France. Un problème qu’ils comptent résoudre. Comme visiblement Français autochtones et nouveaux venus musulmans sont renvoyés dos à dos par le gouvernement, ceux qui contrôlent l’Etat n’appartiennent à l’évidence à aucune de ces deux catégories.

Ce qui n’en laisse qu’une seule.

Les Allemands.

Avec cette nouvelle loi, si voulez être un Français libre en France, vous serez proscrit comme peut l’être un indépendantiste corse. En fait, puisque décrété « suprémaciste blanc » par l’Etat, vous êtes d’office un Nazi comme je l’expliquais récemment. Ce n’est plus de l’ordre de la polémique, c’est désormais une politique d’état.

Dans un pays contrôlé par les juifs, être décrété Nazi par le ministère de l’Intérieur n’est pas la position la plus confortable. Mais c’est ce que font les juifs, traditionnellement. Ils s’emparent d’un pays avant d’insulter le peuple qui l’a fondé et organise d’effroyables persécutions contre les autochtones qui se rebellent contre lui.

Le « séparatisme », terme forgé par le président Emmanuel Macron, « ce n’est pas que l’islam radical, mais c’est aussi et principalement l’islam radical parce que c’est la principale menace à l’heure actuelle en France », a-t-elle déclaré sur France Info. Plus largement, ce terme désigne « la manière de s’organiser de façon hostile et violente vis-à-vis de la République », a-t-elle détaillé.

Macron n’a pas forgé ce terme. Ni la gauche. Il fallait toute l’épaisseur de la connerie de la droite réactionnaire pour accoucher d’un tel machin.

C’est au Vicomte de Villiers que nous devons ce nouveau concept de décret d’accusation qu’il a refilé clef en main à Macron, membre comme lui de l’énarchie républicaine. La clique macroniste, largement sémitisée, n’a pas tardé à parfaire le bidule pour y inclure les indigènes blancs à pacifier. Les « suprémacistes blancs » donc. Les « Nazis », si vous préférez.

Et nous voilà là où nous en sommes : les Français voulant vivre en France sont placés au même niveau que les djihadistes par le ministère de l’Intérieur. C’est la raison pour laquelle, idéalement, vous devez toujours éviter de laisser les juifs s’emparer de votre pays sinon, vous finissez à la rue avec la police au cul.

À titre d’exemples, Marlène Schiappa a cité le « suprémacisme blanc » – plusieurs projets d’attentats déjoués récemment en France émanaient de l’ultradroiteou « les dérives sectaires », contre lesquelles des mesures doivent être prises dans le projet de loi. « On ne va pas faire une loi qui a pour vocation de faire une définition exhaustive de ce qu’est le séparatisme », a ajouté la ministre.

Ah, oui.

Ce truc « séparatiste » pourra aussi comporter les Témoins de Jéhovah, l’Eglise de Scientologie ou les purs fidèles du culte de l’oignon, histoire de convaincre l’opinion que les Français voulant vivre en France comme des Français sont de dangereux illuminés dignes des disciples du Mandarom.

Le cynisme de ces gens n’a aucune borne.

« Les Français comprennent très bien de quoi il retourne et ils comprennent très bien nos mesures », qui vont de l’interdiction « du certificat de virginité, au contrat d’engagement sur la laïcité [imposé pour le financement public d’une association, NDLR], en passant par la fermeture des lieux dans lesquels quelqu’un prêche une idéologie de haine », a-t-elle poursuivi.

Selon un sondage de l’institut Odoxa-Dentsu Consulting publié mercredi, 76 % des Français sont favorables à ce projet de loi. Marlène Schiappa a par ailleurs reconnu qu’il était « très difficile » d’avoir des statistiques sur les certificats de virginité, exigés par certaines familles. « Il y a de véritables remontées, mais je ne veux pas vous donner un chiffre parce qu’il serait vraiment au doigt mouillé », a-t-elle déclaré, estimant « important que ce soit une pratique interdite » par la loi.

Tout cela n’a ni queue ni tête et est conçu pour n’avoir aucune cohérence idéologique. Après avoir privatisé la France à leur profit, les juifs mélangent djihadistes, Français de souche et coupeurs de clitoris nègres dans une salade dont la synagogue a le secret pour faire passer les Français comme des ennemis de la France et justifier ainsi les pires mesures de police contre les descendants de ceux qui ont bâti ce pays.

Finir en paria dans son pays, voilà ce que les juifs font aux goyim depuis des millénaires.

Comment ne pas haïr les juifs ?

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