La négresse dévoreuse de taxis Laetitia Avia propose de purger totalement les réseaux sociaux grâce à l’application créée par un petit youtre

Captain Harlock
Démocratie Participative
05 mai 2019

 

Observer les nègres découvrir la technologie est réellement une expérience fascinante.

La dévoreuse de taxis Laetitia Avia nous en a offert l’opportunité.

Ces créations sont pour eux un continent à jamais interdit qui les laisse interrogatifs.

Les quelques reflets de la technologie qui leur parviennent mettent confusément en ébullition leur cerveau primitif. « Comment ces produits magiques peuvent être utilisés pour détruire la vie des Blancs ? » se demandent-ils d’instinct.

Tombant sur cette petite invention, cette négresse macroniste s’empresse d’appeler toutes les tribus d’Afrique à la réjouissance et exige de Twitter et de Facebook qu’ils l’adoptent rapidement pour que plus jamais les cafres ne soient l’objet de critiques en ligne.

« ça y’en a magie, lui ça y’en a so’cier puissan »

Ceci dit, Avia n’a pas déniché seul ce « miracle ».

Non.

Jéhovah y a pourvu. C’est ce qui rend la chose encore plus miraculeuse.

L’entreprise Bodyguard qui tariffe ces services de censure a été fondée par (((Charles Cohen))), un Auvergnat de Nice.

Un Auvergnat identitaire.

Overdose d’Auvergne.

Après, ce n’est pas comme si Avia n’était pas l’esclave de la juiverie au parlement.

L’invention en elle-même n’est pas moins intéressante.

Si vous regardez les mots et les phrases que cette « invention » se propose d’interdire automatiquement, vous comprenez que 95% de ceux qui seront censurés sur les réseaux sociaux seront des nègres et des arabes de banlieues qui s’excitent quotidiennement sur Facebook, Twitter et Instagram à coups de « sale tepu », « salope, je vais t’niquer » et de « FDP ». Plus quelques gauchistes dégénérés.

Cet algorithme, s’il était jamais adopté un jour, rendrait effectivement les plateformes respirables car il aboutirait à leur nettoyage ethnique complet par la simple interdiction des injures et des références à caractère sexuel. En plus, bien évidemment, des appels au meurtre.

Les messages racistes ou antisémites, en comparaison, ne représenteraient que 1% du total.

Si vous me proposez d’interdire de critiquer les juifs ou de dire le mot nègre en échange de la disparition complète des boucaques de Facebook, Twitter et Instagram, je signe tout de suite.

L’aryanisation de ces plateformes nous ferait replonger dans la France d’avant la catastrophe quand des Blancs civilisés échangeaient entre eux. Cela aurait un impact psychologique énorme sur les Blancs.

Espérons que Lippoutou fasse passer ce truc.

Commenter l’article sur /dempart/