La négrerie soutenue par Bernard-Henri Lévy se déchaîne suite au constat objectif de Louis Aliot sur la négrification de la France

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
20 mars 2017

Un nègre a encore fait le singe, mais cette fois-ci sur un sujet d’intérêt, révélant ce qui se joue actuellement. Comme par hasard, cela se passe sur le site du grand rabbin socialiste Bernard-Henri Lévy, « La Règle du Jeu ». Pour ceux qui l’ignorent, c’est un repaire d’intellectuels juifs socialistes où officie également l’ancien négationniste et ami de Soral, Yann Moix.

Car Bernard Henri Lévy a ses propres nègres à lunettes à demi-fous, chargés de livrer la guerre raciale aux Blancs de l’Hexagone.

Cet idiot utile s’appelle « David Gakunzi ». Et si vous pensez que je caricature :

J’ai pu voir les mêmes vendre des grigris sur les marchés.

Et ce nègre a littéralement fondu un plomb. Il se répand dans une longue plainte parue sur le site susmentionné en raison d’une déclaration de Louis Aliot (FN) sur BFMTV. Ce dernier a en effet correctement assuré :

Si demain vous importez vingt millions d’Africains en France, je pense que la France ne ressemblera pas tout à fait à ce qu’elle a été pendant des siècles.

Le nègre se lamente parce qu’on Louis Aliot aurait laissé entendre que les nègres sont davantage du mobilier que des êtres humains.

Prenez votre respiration :

«Si vous importez vingt millions d’Africains…». L’abjecte phrase de Louis Aliot, le vice-président du Front National, entendue le mardi 13 mars sur BFM.

Une phrase. Une phrase qui dit crûment toute la laideur de la vision du monde d’un regroupement politique trouble qui se dit parti pas comme les autres partis ; un parti en réalité en mission permanente de propagation, d’agglutination, de coagulation, de transformation des flots d’angoisses, d’impuissances, de difficultés décontenancés par le quotidien en haines raides, en haines remuées resurgissant métalliques et solidifiées.

Une phrase. Mardi 13 mars, matinale de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC. Invité : Louis Aliot, vice-président du Front national. L’interview est lancée : discours identitaire, confusionniste, du déjà-entendu réchauffé, discours plus que désagréable à l’écoute mais langage uniformément rodé, ronronnant, rond. Au Front, la façade ravalée, la langue tenue, les têtes rasées et cagoulées, voilées, on ne parle plus comme dans Le Petit Journal du colonel de La Rocque, ni comme dans L’Action Française de Mauras ; on ne brandit plus publiquement en drapeau public La révolution nationale du Maréchal Pétain» et «L’Algérie française» ; on ne dit plus, la langue brute, mal tenue : «Haro sur les sales Juifs!», «Les bougnouls et les Negros dehors !» ;  on dit préférence nationale.

Je vous épargne la suite du tunnel. Les plus curieux pourront le lire ici.

Les nègres se comportent avec les langues européennes comme avec l’alcool ou les armes à feu. Ils n’ont pas la moindre idée de la façon de s’en servir : pour eux, c’est un simple tamtam supplémentaire propice à l’expression de leur sauvagerie.

Et surtout, tous ces cris de singe couvrent la réalité des faits : oui, les ploutocraties occidentales importent des millions de nègres. Elles vont directement les chercher sur les côtes libyennes. Tout le monde le sait.

Plus crucial encore, le sujet abordé par Louis Aliot : le remplacement racial qui est en cours en Europe et la négrification terrifiante de la France.

Mais les médias ont préféré ouvrir un débat philosophique digne de la controverse de Valladolid plutôt que de se focaliser sur l’essentiel.

Évidemment.