Grande-Bretagne : la musicienne Alison Chabloz finalement jetée en prison pour avoir « moqué des personnalités juives » sur son blog

Captain Harlock
Démocratie Participative
27 septembre 2019

Regardez bien ce visage : c’est le visage du génocide de 6 millions de juifs innocents

Interdite du territoire français jusqu’en 2059 pour avoir déclamé une chansonnette sur l’holocauste, la Britannique Alison Chabloz a été jetée en prison pour avoir brutalement utilisé un réseau social, provoquant 6 millions de larmes chez les victimes de l’Indicible.

The Jewish Chronicle :

Une chanteuse et négatrice de l’Holocauste condamnée pour avoir diffusé des chansons « grossièrement offensantes » sur les Juifs a été emprisonnée après avoir violé sa peine en publiant sur son blog.

Alison Chabloz, 55 ans, a publié « au moins 50 » messages distincts sur son site Web, ce qui a été jugé contraire aux conditions de sa condamnation avec sursis qu’elle a reçue en mai 2018 pour ses chansons.

Je suis sans voix.

Ce monstre a écrit au moins 50 messages sur son blog, pas un de moins. Et qui plus est sans demander l’autorisation du rabbinat.

Face à une telle débauche de barbarie et d’injustice, il fallait une réponse ferme de la part de l’état démocratique anglais.

C’est le cas.

Chabloz, de Charlesworth dans le Derbyshire, a été condamné l’année dernière pour avoir écrit, interprété et publié des chansons qui se moquaient des Juifs et de l’Holocauste.

Les accusations portaient sur des chansons intitulées Nemo’s Antisemitic Universe, I Like It How It Is, interprétées au Forum de Londres de droite en 2016, et une troisième, intitulée (((survivors))).

Dans ce dernier cas, Chabloz se moquait de personnalités juives, dont Elie Wiesel, prix Nobel de la paix, ainsi que Anne et Otto Frank, sur l’air de Hava Nagila.

Et dire que les antisémites osent affirmer que les juifs contrôlent les gouvernements occidentaux.

Elle a été condamnée à 20 semaines d’emprisonnement avec sursis pendant deux ans et à s’abstenir d’afficher sur les médias sociaux pendant 12 mois.

Lundi, le tribunal d’instance de Chesterfield a appris que la chanteuse avait enfreint l’ordonnance en publiant du matériel sur son blog – contre l’avis des agents de probation.

Chabloz, représentée par Adrian Davies, a admis avoir posté sur le site « au moins 50 fois », bien qu’elle ait affirmé sa conviction que son blog ne comptait pas comme un média social, rapporte le Daily Mail.

Elle aurait été accompagnée de ses parents et d’un certain nombre de sympathisants d’extrême droite.

Le juge de district Jonathan Taaffe a condamné Chabloz à huit semaines d’emprisonnement et à payer 170 £ de frais de justice.

M. Davies a déclaré aux journalistes qu’il ferait appel de cette décision.

La Campagne Contre l’Antisémitisme, qui a entamé des poursuites privées contre Chabloz pour ses chansons que le ministère public a reprises par la suite, a déclaré que l’affaire de son blog avait été portée par ses avocats devant le Service national de probation.

Stephen Silverman de la CAA a dit : « Nous sommes ravis que la justice ait suivi son cours. »

Je rejoins le rabbi Silverman : je suis ravi que la justice rabbinique suive son cours également.

La beauté du peuple élu

C’est le signe de l’infinie bonté du peuple juif : il accorde un procès aux barbares anglais qui osent défier son autorité en Angleterre.

Rien n’oblige le peuple juif à une telle magnanimité et pourtant, il y consent.

Sans eux, toute notion de justice et de moralité disparaîtrait d’Europe.

« Le procès fait suite à un contact entre les avocats de Campaign Against Antisemitism et le Service national de probation, et nous leur sommes reconnaissants pour leur coopération.

« Nous espérons que cette sentence enverra le message que l’antisémitisme est inacceptable et que les tribunaux n’hésiteront pas à utiliser les pouvoirs dont ils disposent pour traduire les délinquants en justice.

Effectivement, rabbi, c’est ce que j’en retiens aussi.

La barbarie à guitare doit savoir qu’elle ne gagnera pas et ces goyim cruels doivent apprendre à respecter et aimer leurs bienfaiteurs et maîtres.