La moukère radicalisée Mennel supplie les juifs de lui redonner une carrière après s’être repackagée en beurette libérée

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 Mars 2020

Avant les juifs : groupie d’Erdogan

Après les juifs : beurette libérée 100% vivre ensemble

Après avoir fait son numéro de mahométane racisée, la musulmane radicale Mennel Ibtissem, hybride d’un père syro-turc et d’une mère algéro-marocaine, a finalement préféré jouer à la pute du show-biz.

Elle était hier chez Hanouna pour faire techouva et mendier une deuxième chance auprès des juifs qui sont par ailleurs très occupés à sauver la mise de Polanski.

D’ailleurs Hanouna est autrement plus sévère avec cette moukère qu’avec son congénère de Pologne, impartialité tribale oblige.

Ce nez relève du banditisme de grand chemin.

Remisé le voile islamique, désormais c’est en pétasse qui s’assume que cette créature orientale veut vendre ses mélopées de souk.

Les juifs ne goûtaient pas particulièrement sa proximité avec les islamistes sceptiques quant au droit d’Israël à régner sur les arabes.

En contrôlant les médias, les juifs déterminent non seulement la narration mais aussi les carrières. C’est peu dire que toutes ces « banlieues » métèques regorgent d’opportunistes et de dalleux en manque de reconnaissance.

Si tous ces « rappeurs » et « acteurs » afro-maghrébins dégueulent en permanence sur les Blancs ou la France, ils sont d’une docilité exemplaire face aux juifs.

Jamais un mot plus haut que l’autre.

La déférence la plus obséquieuse.

Il faut dire qu’il y a la jurisprudence Dieudonné. Ces bougnoules et ces nègres n’ont pas envie de terminer à se produire dans un bus, encerclés par trois cars de CRS.

Plus un état est démocratique, plus la tyrannie juive s’y déploie avec férocité et la faune diversitaire sait quand l’ouvrir et quand la boucler.

Il n’y a guère que des demeurés à 80 de QI pour acheter le virilisme en plastique des neuneus de cité avec leurs trois pelés qui bougent devant une Lamborghini. Dès que le Tsahal médiatique montre les crocs, tout ce beau monde retourne à la niche.