La mise à mort de Lola aura au moins permis de parler du sujet crucial : arrêter la récupération du génocide des Blancs par l’extrême-droite

La rédaction
Démocratie Participative
19 octobre 2022

 

Donc, après avoir appris que Lola a été torturée, violée et assassinée par une sorcière algérienne qui devait être virée depuis des mois, personne n’a exigé la démission de principe de Moussa Darmanin.

Ce n’est même pas devenu un sujet.

Le seul sujet qui a émergé, c’est la meute médiatique juive qui a intimé l’ordre aux goyim de laisser leurs enfants se faire exécuter en silence – ce que les goyim ont globalement accepté après avoir présenté leurs excuses.

De tous les médias, BFM, la chaîne juive du milliardaire israélien Drahi, s’est particulièrement illustrée.

Interdiction de demander des comptes aux macronistes.

Les clandestins doivent pouvoir déambuler librement en France et exécuter des petites Blanches sans que les goyim ne mouftent.

C’est une question de « morale », disent les chiens des juifs.

Je dirais volontiers que le discours des plumitifs à la botte des juifs comme celui du porc homosexuel de Croissandeau mérite une révolution, mais les goyim sont globalement d’accord : ils ne veulent pas déranger le confort de la bourgeoisie enjuivée avec leurs sanglots.

Quelques émojis et gifs de bougie suffisent amplement.

La juive Bornstein a recadré tout le monde : les goyim doivent avoir la décence élémentaire de fermer leurs gueules quand leurs gamines sont assassinées par les maghrébins que les juifs importent.

Les juifs sont des ordures et des criminels – c’est entendu.

Mais les plus abjects du lot sont encore les représentants de la bourgeoisie française, excédée que l’on puisse remettre en cause sa politique d’importation de livreurs Uber Eats.

À ce stade, demander à l’armée russe de tirer un missile balistique sur le QG de BFMTV a davantage de chances de réussir que de voir les veaux de souche réagir à leur propre mise à mort.

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