La ministre de la justice Belloubet dénonce « l’insulte à la religion » de Mila la LGBT contre l’islam

Captain Harlock
Démocratie Participative
29 janvier 2020

 

Belloubet, ministre de la (((Justice))) a déclaré  à propos de l’affaire Mila : « l’insulte à la religion [était] évidemment une atteinte à la liberté de conscience ».

On a peine à croire que tout le régime célébrait encore la liquidation de la rédaction de Charlie Hebdo il y a quelques semaines.

Sans parler de « l’hydre islamiste » de Macron après que le nègre de la Préfecture de Police a assassiné des flics du renseignement.

Belloubet n’est pas idiote au point de ne pas comprendre ce qu’elle dit, quand elle le dit et pourquoi elle le dit.

Ce n’est pas non plus par accident que le parquet poursuit cette lesbienne aux cheveux bleus.

Le gouvernement essaie tout simplement de se démarquer de ce qu’elle a dit pour éviter un embrasement.

L’avocat juif Richard Malka, habituellement chargé de contenir les salafistes un peu trop anti-israéliens, admet qu’il rame. La nana est menacée de mort partout et plus aucun lycée de l’Isère ne peut l’accepter en raison des appels à assassiner l’infidèle.

Il n’y a aucun « principe » qui tienne en dehors de la loi du plus fort, donc du plus violent.

Prenez note. Cela ne se passe pas dans un couloir obscur mais à la télévision, au vu et au su de tous : cette gonzesse ne peut plus foutre les pieds dans un seul établissement scolaire puisqu’ils sont tous saturés d’afro-maghrébins prêts à violer et égorger la blasphématrice.

Voilà qui donne la mesure de la situation.

L’Etat Français a déjà perdu le contrôle de ce département et en fait, de dizaines d’autres. S’il n’y a pas de heurts majeurs, c’est parce que les Blancs filent doux sous la pression policière et judiciaire.

Si Mila veut survivre, elle n’a plus qu’à partir dans un département rural et désert pour s’y enterrer. Cela ne lui ferait d’ailleurs que du bien.

D’ici quelques temps, blasphémer recouvrira des infractions beaucoup moins évidentes. Comme manger une saucisse dans la rue ou boire de l’eau pendant le ramadan des baiseurs de chèvres.

Ou refuser de donner sa fille à un imam. Après tout, le coran prévoit explicitement que les moudjahidines puissent réduire en esclavage les femmes des ennemis vaincus.

Les Bédouins sont imaginatifs, ils sauront établir une jurisprudence adaptée au cadre français.