La maghrébine à face de camélidé Camélia Jordana assure se sentir en danger face aux flics à cause de sa tignasse crépue

Captain Harlock
Démocratie Participative
24 mai 2020

 

La maghrébine Camélia Jordana se sent en danger en France. Les flics seraient trop racistes.

Sud Ouest :

Dans l’émission « On n’est pas couché », la chanteuse et comédienne a dénoncé les violences policières. “Quand j’ai les cheveux frisés, je ne me sens pas en sécurité face à un flic en France.” a-t-elle déclaré sur France 2.

Notamment lors du confinement de nombreux habitants en banlieue ont déploré des contrôles de police trop musclés. Des plaintes ont même été déposées. Vidéos à l’appui, des personnes ont ainsi dénoncé « des contrôles ciblés et violents », alors que les forces de l’ordre martèlent de leur côté la difficulté à faire respecter les mesures dans certains quartiers.

Un climat dénoncé samedi soir sur France 2 par la chanteuse et comédienne Camélia Jordana, dans l’émission où un débat sur les violences policières avait été lancé en présence de l’écrivain Philippe Besson. Quand j’ai les cheveux frisés, je ne me sens pas en sécurité face à un flic en France, a-t-elle lancé, “Ils sont censés nous protéger, mais il y a des milliers de personnes qui ne se sentent pas en sécurité face à un flic, et j’en fais partie”.

Et lorsque l’écrivain Philippe Besson avance de son côté que « 95% des flics font bien leur travail », Camélia Jordana enfonce le clou, « Peut-être que si certaines mesures étaient prises, plutôt que d’avoir des non-lieux en permanence à chaque fois qu’un homme ou une femme, généralement ce sont les hommes qui se font tuer, noir ou arabe ou simplement pas blanc… s’il y avait autre chose que des non-lieux en permanence, s’il y avait autre chose qu’une Assa Traoré qui se fait mettre en examen… Assa Traoré est mise en examen, elle a d’autres frères en prison aujourd’hui ! Si on avait autre chose que ça comme image, peut être que les flics ne seraient pas détestés. »

Les frères Traoré sont en taule parce qu’ils sont à la tête d’un gang noir ultra-violent qui avait notamment tiré à l’arme à feu sur les gendarmes venus restaurer le calme à Beaumont-sur-Oise. Bilan : 96 gendarmes blessés dont 13 par balles.

Mais c’est un détail.

Les flics en France sont condamnés à devenir les victimes expiatoire de la rage raciale afro-maghrébine dûment excitée par la presse rouge.

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