La LICRA juive s’en prend perfidement à un honorable gentleman arabe du RN qui dénonce l’empoisonnement des goyim

Captain Harlock
Démocratie Participative
06 août 2021

 

Alors que la situation est de plus en plus explosive, les juifs ont décidé de s’en prendre à un gentleman arabe dénonçant avec héroïsme les rivières de poison que déverse le peuple élu dans les veines des goyim.

Le RN ne mérite par un gentilhomme comme Sami Hamadouche.

C’est digne de la glorieuse époque de la Carlingue.

Les arabes n’ont pas besoin de lire très longtemps pour savoir ce qu’est un juif.

Ils les calculent racialement d’un seul regard.

Les Blancs par comparaison restent désespérément stupides quand il s’agit de la question juive. Ils peuvent être gouvernés d’une poigne de fer par la race juive le plus officiellement du monde, lire d’affilée 20 ouvrages accablants sur le rôle des juifs à travers l’histoire – sans parler des crimes atroces dont ils se sont rendus coupables en Europe – et avoir tout oublié deux semaines plus tard après une énième diffusion de la Liste de Spielberg, se lamentant de la cruauté des victimes des juifs pour avoir osé se défendre.

Voilà au moins quelque chose dont ne souffrent pas les arabes.

Un arabe ne se subordonne jamais vraiment à un juif. C’est quand il est le plus soumis à un juif que l’arabe est intérieurement le plus convaincu de la nécessité de renverser le juif. D’autant que l’arabe comprend la mentalité sémitique du juif faite de ruse et de mensonges.

S’ils n’étaient pas aussi bordéliques, les arabes auraient déjà infligé de sérieux dommages à cette race maudite.

Si ce n’était cette question absurde d’immigration de masse et d’islamisation de nos rues, nous n’aurions pour ainsi dire aucun contentieux avec le monde arabo-musulman. Bien au contraire, ce bloc de peuplement s’enthousiasmerait d’une féroce résistance aryenne à la juiverie génocidaire.

Les juifs ont su là aussi diviser pour mieux régner.

Quoi qu’il en soit, nous devrions apprendre de la haine implacable des arabes pour leurs ennemis, plutôt que de nous engourdir avec cette mentalité humanitaire féminine impraticable qui tient lieu de « culture » à l’Occident démocratique. Avec une telle haine, la race blanche serait la maîtresse du monde.

Et par pitié, ne venez pas me parler de chevalerie au moment où nous avons besoin de révolutionnaires.

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