La juiverie crée un média identitaire antiraciste pour sauver la France de l’islam et des Blancs

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
01 février 2018

 

Ainsi donc, la même vieille ficelle hébraïque est à l’oeuvre. Celle de 1939 et de « l’Appel du 18 juin ».

Goldnadel nous en dit plus :

Il s’agit de l’éternel « patriotisme » manipulé par les juifs et dont la frontière est strictement délimitée par leurs soins. Et cette frontière, la seule qui importe à ce parasite, est celle du racisme. Le racisme qui garantit la force du peuple qui boit à sa source mais qui condamne à la ruine le parasite nomade qui voit son entreprise disqualifiée du même coup.

Le juif, partout et tout le temps, veut garantir sa domination sans partage. C’est lui, encore et toujours lui, qui proclame qui peut parler et agir et qui ne peut pas. C’est lui le chef.

Ils ont bien sûr saisi que la guerre raciale et religieuse allait advenir face à l’invasion arabo-musulmane, mais qu’il fallait, comme en Espagne durant l’invasion islamique, rééquilibrer leur diplomatie une fois l’affaire commençant à tourner mal. Ils entendent donc s’assurer que la résistance à l’invasion soit inoffensive pour la juiverie.

Il faut un bloc anti-musulman qui soit aussi rigoureusement coupé du réflexe de défense raciale des Blancs de France.

Une coalition de tirailleurs sénégalais et maghrébins sous commandement juif qui soit en mesure de circonvenir l’opposition blanche.

Cette entreprise s’adresse donc tout autant aux musulmans qu’aux Blancs en constituant un bloc mulâtre auxquels les Français de souche devront se subordonner, du moins à ce qu’en pensent les juifs.

Du patriotisme cosmopolite toléré par la juiverie.

Un patriotisme composé de bougnoules, d’homosexuels et de nègres dont l’objectif est de servir de service de sécurité aux juifs.

On ne trouve pas une once de sang gaulois dans ce caniveau puant.

Et c’est, par anticipation et extension, le projet de la fameuse « union des droites ».

Voilà à quoi mène toute entreprise de « dédiabolisation » : à permettre aux juifs de désorienter les masses pour leur propre compte. L’immonde capitulation de Marine Le Pen devant le Kahal est la cause directe de cet empoisonnement.

Ce fatras sémitique doit être stoppé et la seule manière d’y réussir tient en un mot : le racisme.