La Hongrie veut poser son veto contre tout embargo de l’UE sur le pétrole et le gaz russes

Captain Harlock
Démocratie Participative
02 mai 2022

Le juif Glucksmann risque de ne pas s’en remettre.

Ses efforts pour plonger l’Europe dans la dépression économique sont pour l’heure stoppés par la Hongrie.

Lecho.be :

L’UE cherche une position commune sur la question des livraisons et des payements de l’énergie russe. Mais la Hongrie de Viktor Orbán menace déjà d’y opposer son veto.

Les ministres de l’Union européenne en charge de l’énergie se réunissent ce lundi pour discuter notamment de l’arrêt des livraisons de gaz russe à la Pologne et à la Bulgarie. Il s’agit de trouver une position commune face à la demande de la Russie d’être payée en roubles pour ses livraisons de gaz sous peine de les interrompre.

Pour rappel, Gazprom a stoppé la semaine dernière les livraisons de gaz vers la Bulgarie et la Pologne après que les deux pays européens ont refusé d’effectuer des paiements selon les modalités réclamées par Moscou. Cette décision du géant énergétique russe a été vue par beaucoup comme une mise en garde du Kremlin, qui menacerait ainsi ses autres clients d’un arrêt des livraisons.

L’Allemagne, très dépendante du gaz russe, serait particulièrement visée. Ce pays est en train d’opérer un tournant majeur dans son attitude dans la guerre en Ukraine qui ne plaît guère au président Poutine. En effet, le gouvernement allemand s’engage désormais dans une stratégie de livraison d’armes lourdes à l’Ukraine pour aider celle-ci à résister à l’invasion russe. Il prend de plus en plus ses distances vis-à-vis de Moscou.

La dépendance de l’Allemagne au pétrole russe serait déjà descendue, ces dernières semaines, à 12%, contre 35% auparavant. Celle au charbon serait passée de 50% à 8%. Reste la dépendance à l’égard du gaz russe, qui resterait à 35%.

Il ne suffit pas de changer de sources d’approvisionnement.

Les prix pratiqués ne sont pas du tout les mêmes que ceux négociés avec la Russie.

L’Allemagne sous occupation de ZOG est en train de commettre un suicide économique en achetant du charbon et du pétrole hors de prix sur le marché mondial.

Les prix s’envolent dans le pays.

En cas d’embargo sur le pétrole et le gaz russes, l’industrie allemande sera mise à genoux par l’industrie asiatique.

Il est urgent que les Vingt-Sept adoptent une position commune. De nombreuses compagnies européennes doivent rapidement effectuer des paiements pour du gaz russe. Mais les discussions seront difficiles, la Hongrie de Viktor Orbán ayant déjà annoncé que toute proposition visant à restreindre les importations de pétrole et de gaz russes déclenchera un veto de sa part. Dans ces conditions, pas d’unanimité possible…

Et le gouvernement d’Orbán a déjà convenu avec la Russie de désormais payer le gaz en roubles, une décision qui défie la politique de sanctions de l’UE.

La Hongrie et la Slovaquie dépendent actuellement des oléoducs russes, n’ayant pas de ports et n’étant reliées à aucun pipeline européen.

L’Union européenne est aussi en train de préparer un arrêt progressif de ses achats de pétrole et de produits pétroliers à la Russie pour sanctionner la guerre en Ukraine. Cette mesure fait face à de grandes réticences de la Hongrie à nouveau, mais aussi d’autres États qui craignent une hausse des prix. Il s’agit de l’Autriche, la Slovaquie, l’Espagne, l’Italie et la Grèce.

Le problème est d’ordre technique pour certains. La Hongrie et la Slovaquie dépendent actuellement des oléoducs russes, n’ayant pas de ports et n’étant reliées à aucun pipeline européen. Il faudrait construire des infrastructures ou trouver des alternatives.

Ces sales antisémites de Hongrie défient Yahvé.

Nous allons voir comment Orban va négocier cette affaire.

Je suis modérément optimiste.

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