La guerre civile chinoise éclate dans les universités australiennes

Captain Harlock
Démocratie Participative
31 juillet 2019

 

Le multiculturalisme est réellement une bénédiction. Sans lui, l’Australie ne pourrait pas avoir de guerre civile chinoise dans ses universités.

On voit nettement la différence entre la clique hétéroclite démocratique, avec ses hippies blancs et ses punaises progressistes, et les partisans de la Chine autoritaire.

A Hong Kong, les troubles sont toujours aussi vifs.

France 24 :

Hong Kong toujours sous tension. Huit semaines après le début du mouvement de protestation, des heurts ont de nouveau éclaté entre la police et des centaines de manifestants, mardi 30 juillet. Ces affrontements font suite à l’arrestation, le même jour, de 44 manifestants après les violences qui ont émaillé les récentes manifestations pro-démocratie. Ces derniers ont été mis en examen, puis libérés sous caution, pour avoir participé aux émeutes. Ils risquent jusqu’à dix ans de prison, selon un responsable de la police.

Je suis toujours admiratif quand la presse juive parle d’émeutes d’opposants dans un pays qui a le tort de déplaire à la finance internationale.

Chez nous, curieusement, quiconque défie l’ordre en place est assimilé à un terroriste.

Haut lieu de la finance internationale, Hong Kong est le théâtre depuis huit semaines de gigantesques manifestations antigouvernementales, majoritairement pacifiques, marquées néanmoins par des mouvements sporadiques opposant contestataires radicaux et policiers.

Le mouvement est parti du rejet d’un projet de loi, désormais suspendu, qui visait à autoriser les extraditions vers la Chine. Les manifestations se sont depuis élargies à des revendications plus larges de réformes démocratiques.

Les manifestants se sont engagés à poursuivre leur mouvement jusqu’à ce que leurs revendications soient satisfaites. Ces derniers demandent notamment la démission de la cheffe de l’exécutif hongkongais Carrie Lam, mais aussi une enquête indépendante sur les agissements de la police, l’amnistie des personnes arrêtées, le retrait définitif du projet de loi sur les extraditions vers la Chine et le droit d’élire leurs propres dirigeants.

Leurs propres dirigeants qui seront, comme en Ukraine, savamment choisis par ceux qui les financent.

Les Chinois ne sont pas dupes.

Xinhua :

BEIJING, 29 juillet (Xinhua) — Certains Européens et Américains appliquent le principe du deux poids deux mesures en défendant les émeutiers de la Région administrative spéciale de Hong Kong (RASHK) et en ignorant leur actes violents et illégaux, a déclaré lundi la porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, Hua Chunying.

Mme Hua a fait ces remarques en réponse à des propos d’Eliot L. Engel, président de la commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants des États-Unis, qui s’est déclaré « profondément préoccupé par les informations faisant état de brutalités policières contre des manifestations pacifiques à Hong Kong » et a indiqué que « les allégations de violences policières ces dernières semaines ont terni la réputation internationale de Hong Kong en matière de bonne gouvernance et de bonne administration de la justice ».

Mme Hua a exprimé ses doutes sur les commentaires de M. Engel et a dit qu’il avait « pris le blanc pour le noir » et « confondu le bien et le mal ».

« Comment certains Américains peuvent-ils utiliser les mots ‘manifestations pacifiques’ lorsqu’ils voient des manifestants violents prendre d’assaut le complexe du Conseil législatif et assiéger le Bureau de liaison du gouvernement populaire central dans la RASHK, sans parler de l’agression organisée contre la police avec des armes pouvant tuer », s’interroge Mme Hua.

Mme Hua a rappelé une résolution adoptée par le Parlement européen au début de l’année qui soulignait que les manifestations et la liberté d’expression n’étaient pas sans limites et devaient être exercées dans le cadre de la loi et soumises à des restrictions policières.

En notant que la police américaine a mentionné à plusieurs reprises que la force devait être utilisée quand il y avait une menace pour la vie des agents, Mme Hua se demande si les agents à Washington D.C. et à New York ont été agressés de la même manière que ceux de la RASHK, ce que la police américaine aurait fait.

Toutes les personnes ayant le sens de la justice et tous les citoyens qui aiment vraiment Hong Kong devraient faire des efforts conjoints pour la paix et la stabilité à long terme de Hong Kong, a ajouté Mme Hua.

La répression n’est démocratique que lorsqu’elle sert à garantir la main mise juive sur un pays. S’il s’agit de réprimer des factieux soutenus par les juifs, il s’agit alors « d’atteinte aux droits de l’homme ».

C’est aussi simple que ça.

D’ailleurs, les leaders de l’agitation ne cachent même pas leur collusion avec les USA.

Des robots Twitter ont commencé à apparaître avec des hashtags pro-révolution de couleur.

J’espère vraiment que l’armée chinoise va remettre de l’ordre.

Il est temps que la vermine démocratique reçoive une leçon.

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