La grosse pute à nègre Marjorie Le Noan se lamente de ne pas avoir de sang de métèque

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
08 décembre 2017

L’ignoble pute à nègre bretonne – pléonasme – Marjorie Le Noan a réalisé il y a un petit moment une vidéo sur ses origines génétiques.

La vidéo est agrémentée d’un disclaimer épuisant de conformisme :

Chers nationalistes, auto-proclamés « défenseurs de la race blanche », extrémistes droites et autres néo-nazis… Il est inutile de publier vos commentaires pleins de haine et de bêtise sous cette vidéo, ils seront supprimés. A tous ceux qui s’insurgent que je puisse avoir « honte de mes origines » : Premièrement, vous êtes largement dépourvus de second degré, votre vie sociale doit déborder de malentendus. Deuxièmement, je ne suis ni honteuse ni fière de mes origines. Je m’en bats les steaks. Les origines ne définissent pas la qualité d’un être humain et elles se valent toutes. Troisièmement, allez vous niquer.

ps: merci aux autres pour leurs commentaires positifs ou négatifs, leurs avis et leurs connaissances sur le sujet <3

C’est toujours révélateur lorsqu’une femme utilise le mot « niquer ». On sait déjà qu’on a pas à faire au haut du panier.

La vidéo en question :

Sans surprise, cette vidéo est rythmée par d’insupportables private jokes de poufiasse urbaine satisfaite d’elle-même. L’attitude générale de cette traînée en manque d’attention de niveau strastophérique rend le visionnage particulièrement pénible. J’ai l’impression d’avoir à faire à un boudin 4/10 qui s’acharne à être au centre des discussions lors d’une soirée étudiante, parlant fort et riant de ses propres blagues.

Tu ne veux vraiment pas rire de tes blagues, jamais, sauf à montrer ton état de désespoir affectif absolu.

Sur le fond.

Evidemment, puisque c’est une Bretonne, elle vient de Grande-Bretagne. Jusque là, aucun scoop.

Non, le truc c’est qu’elle est déçue.

Logiquement, ce type de petite-bourgeoise n’est rien de plus qu’une éponge qui absorbe ce que le courant dominant proclame. Elle espérait donc être passablement mélangée avec on ne sait quelle sous race puisque c’est un des axes de l’idéologie officielle. Tout bon snob se doit d’exhiber son intégration sociale en régurgitant les poncifs moraux et culturels de sa classe d’appartenance.

D’ailleurs, s’exprime ici un gros penchant pour le chibre oriental, plus encore que pour Bamboulaland. Dans l’inconscient collectif post-chrétien de cette bourgeoisie dégénérée, s’inscrire dans le matérialisme biologique cosmopolite suppose d’appartenir à une espèce basanée quelconque. Et on ne rechigne pas devant quelques litres d’huile de friture.

C’est d’ailleurs la contradiction même du propos, derrière l’indifférence de bon ton affichée sur la question raciale. Contrairement au daltonisme prôné pour cette grosse pute à métèques de Marjorie Le Noan, il y a bien une guerre raciale en cours contre les Blancs et ce genre de pétasses entend miser sur le camp qu’elles jugent voué à la victoire. C’est-à-dire les bronzés.

Mais c’est un raisonnement de femelle rudimentaire qui est sans rapport avec la réalité.

Ma théorie là-dessus diverge absolument de ce que l’on entend habituellement chez nous.

Répulsion naturelle mise à part, je suis absolument favorable au métissage « passif » des putes à nègres, précisément parce que les réalités raciales placent l’homme blanc au dessus des races de boue en termes de potentiel. Un phénomène très connu des sociétés racialement balkanisées se produit sur la longue durée : le métissage, loin d’abolir les races et la conscience raciale, les renforce au fil des siècles.

C’est précisément pour ça que les USA ou le Brésil sont des sociétés ultraracialisées, même quand l’antiracisme est le principe d’organisation politique de l’état.

Les femelles qui décident de bousiller leur patrimoine génétique en se mélangeant avec des nègres rendent un énorme service à la race blanche en éliminant progressivement de leur groupe les tendances centripètes. Comme un filtre naturel, ces traînées quittent le monde blanc pour se diluer définitivement dans l’abîme nègre d’où rien ne ressort jamais plus. Cette tendance s’efface à mesure que les putes à nègres se raréfient, ayant emmené avec elles leur défaillance raciale.

Conformément à la loi de la gravité, les éléments les plus faibles d’un corps sont aimantés vers un corps voisin, renforçant relativement la densité du corps d’origine.

La caste des mulâtres  s’enkyste progressivement et stagne entre les Blancs et les nègres, détestés des deux groupes comme le démontrent les cas du Brésil, des Antilles ou de l’Afrique du Sud. Il devient particulièrement désastreux socialement de se mélanger.

Pour l’heure, ces réalités sont encore maquillées par le socialisme d’état qui limite les conséquences les plus spectaculaires de cette permanence des lois raciales. Une pute à nègre avec son négrillon peut encore compter sur les travailleurs blancs pour financer sa mésalliance.

A terme, toutes les Blanches le sauront et, sauf quelques exceptions, elles s’écarteront des métèques comme le Diable l’eau bénite pour ne pas se condamner socialement.

Cet anéantissement biologique des putes à nègres, paradoxalement, nous renforce. Donc, quand on voit un de ces sacs à foutre africain s’agiter hystériquement en nous expliquant leur excitation à l’idée de sombrer dans le néant congolais, nous devons en rire de soulagement.

On ne sous-estime jamais le danger que représente une pute à nègre frustrée qui s’acharne ensuite à détruire l’homme blanc de l’intérieur. Quand elle s’est commise irrémédiablement avec un nègre, l’affaire est soldée dès la génération suivante.

Cette poubelle génétique de Marjorie Le Noan nous rend un fier service en participant de l’accélération de ce processus auprès des éléments défaillants de notre groupe. Une purge des plus salutaires.

 

Sur ces considérations, un poème pour le cul tombant de Marjorie, la Marie-couche-toi-là de Montreuil.