Démocratie Participative 卐 Le site le plus censuré d'Europe 卐
Captain Harlock
Démocratie Participative
28 Février 2020
En théorie, je serais très favorable au fichage racial par l’Etat.
Si cet état n’était pas contrôlé par des juifs qui veulent génocider les Blancs.
La Gendarmerie nationale peut maintenant utiliser une application de prise de notes pour enregistrer des informations relatives à l’origine raciale ou ethnique, ainsi qu’aux opinions politiques, à l’appartenance syndicale, à la santé et à la vie sexuelle des Français.
Evidemment, là encore, ce ne sera pas pour repérer les pédophiles en puissance que sont travelos et pédés-qui-s’enculent. Ni les goudous qui veulent élargir les trottoirs.
Ces gens-là sont surprotégés par le régime.
C’est la vie privée des hommes blancs hétérosexuels que le régime veut connaître. Il semble que ce soit devenu un critère crucial pour la sécurité des juifs et des fiottes.
Un décret récemment publié au Journal officiel autorise la Gendarmerie nationale à se doter d’une application numérique de prise de notes dénommée GendNotes. L’initiative, destinée à «faciliter le recueil et la conservation d’informations», ainsi que «la transmission de comptes rendus aux autorités judiciaires», suscite des inquiétudes quant à la perspective de voir la création de «fichiers de police politique» pour l’ensemble de la population.
Selon Checknews, l’application sera utilisée pour enregistrer des informations dites «sensibles», donc relatives «à la prétendue origine raciale ou ethnique, aux opinions politiques, philosophiques ou religieuses, à l’appartenance syndicale, à la santé ou à la vie sexuelle ou l’orientation sexuelle».
Ce n’est pas un ajout de Checknews : le décret évoque bien la notion de « prétendue » origine raciale ou ethnique.
Bienvenue dans la quatrième dimension où le gouvernement juif, après avoir retiré le mot race de la Constitution au motif que les « races n’existent pas », va ficher l’origine de quelque chose dont il nie l’existence.
Dissonance cognitive maximale.
Les données récoltées pourront être mises à disposition des autorités judiciaires, du préfet, du sous-préfet, du haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie et en Polynésie française, et le maire de la commune concernée pourra lui aussi y avoir accès.
Sachez que l’état judéo-LGBT veut connaître le nom de votre maîtresse et tout ce que vous lui dites.
Je suppose que le KGB français contrôlé par le CRIF et Macron se réserve le privilège de faire chanter X ou Y en cas de déviationnisme idéologique.
Le décret précise que la collecte et le traitement de ces données sensibles «ne sont possibles qu’en cas de nécessité absolue pour les seules fins et dans le strict respect des conditions définies au présent décret, dans les limites des nécessités de la mission au titre de laquelle elles sont collectées». Le texte souligne également qu’il est «interdit de sélectionner une catégorie particulière de personnes à partir de ces seules informations».
Lol.
« Nécessité absolue ».
C’est le nom de code pour dire « fichage gratuit à grande échelle ».
Un porte-parole de la Gendarmerie nationale contacté par CheckNews affirme pour sa part que les informations portant sur la prétendue origine raciale, les opinions politiques, religieuses ou syndicales, la santé et la vie sexuelle «ne sont transférées dans aucun autre fichier» et «ne peuvent être automatiquement transposées ailleurs».
La police ne tardera pas à demander le sien.
C’est d’ailleurs probablement en cours.
Plus je pense à ce truc, plus il m’apparaît que l’affaire Griveaux a précipité les choses. Nous sommes dans un pays où l’Etat ne sait même pas combien il y a d’habitants en Seine-Saint-Denis ni qui franchit ses frontières. S’il s’agissait de renforcer la sécurité publique, il y aurait une cinquantaine de mesures autrement plus urgentes à adopter.
Ces gens doivent se dire qu’il n’y a pas de raison que cette république soit la dernière à disposer de vidéos pornos de personnes gênantes.
La seule façon de parer ce truc est probablement de s’affilier à 10 applications de rencontre LGBT et de se déguiser en femme.
Il suffira ensuite de crier au retour du triangle rose pour que les flics se calment.
