La fresque en l’honneur d’Adama Traoré et du Messie George Floyd effacée sur ordre de la police

Captain Harlock
Démocratie Participative
26 septembre 2020

 

La vengeance du Wakanda va être terrible.

Valeurs Actuelles :

C’est un revers cuisant pour le Comité Vérité et justice pour Adama. Le 3 juillet 2020, la municipalité de Stains avait été mise en demeure d’effacer le mot « policières » de la fresque qui rendait hommage à Adama Traoré et George Floyd sur l’un des murs de la ville. C’est désormais chose faite : selon une information rapportée par actu.fr, cette dernière a été recouverte de peinture dans son intégralité.

Selon un tweet du syndicat policier Alliance 93, le « rassemblement sur le parvis de la préfecture de Bobigny avec la présence des collègues des autres départements franciliens et [leur] audience auprès du préfet de la Seine-Saint-Denis » auraient permis d’accéder à la demande des policiers. Ils estiment ainsi avoir « obtenu justice pour les policiers ». « Alliance 93 ne cédera jamais à la stigmatisation et à la haine anti-flics », ajoutent-ils sur l’image de leur tweet. Le syndicat policier se réjouit, photo de la fresque disparue à l’appui dans un post Facebook, que « le maire de la commune » ait enfin entendu « l’injonction du préfet de la Seine-Saint-Denis ».

C’est une victoire des policiers dans la bataille que livraient le syndicat Alliance 93 et le Comité Vérité et justice pour Adama. Pour rappel, la fresque, qui avait été inaugurée en présence du maire communiste de la ville, Azzédine Taïbi, et de la sœur d’Adama Traoré, Assa. Depuis, cette fresque anti-policiers avait provoqué l’ire des premiers concernés : au-dessus des visages d’Adama Traoré et de George Floyd était écrit : « contre le racisme et les violences policières ». A leur demande et après avoir été reçus à la suite d’une manifestation devant la préfecture de Bobigny, les policiers de la délégation avaient alors annoncé le 22 juin dernier que la Ville de Stains était mise en demeure d’effacer le mot « policières » de la fresque. Toujours selon actu.fr, le même jour, à Stains, Assa Traoré avait affirmé avec force, lors d’un rassemblement, qu’elle ferait « tout pour qu’aucun mot ne soit effacé de la fresque » quitte à ce qu’ils reviennent « tous les jours défendre cette fresque s’il le faut ».

Je ne vois pas comment on peut être déconnecté de la réalité au point de présenter une histoire de mur repeint en « victoire » majeure contre une organisation négro-terroriste qui est en mesure d’assiéger les tribunaux avec des dizaines de milliers de partisans, de déclencher des insurrections armées et d’appeler à la guerre raciale totale en France.

Ce mur sera repeint d’ici peu.

Souvenirs…

Un fait vaut la peine d’être souligné, c’est que cette fresque, outre qu’elle rendait gloire à l’Eternègre, affichait la tête de George Fentanyl Floyd, l’acteur porno mort d’overdose alors qu’il résistait à son arrestation alors qu’il trafiquait de la fausse monnaie.

Cette mort avait convaincu le parti présidentiel, La République En Marche, de demander aux Français de faire allégeance à la race noire en se prosternant pendant 8 minutes et 46 secondes exactement. Des scènes d’adoration du pénis africain eurent lieu un peu partout, comme en Normandie où des étudiantes blanches jurèrent de consacrer leurs culs à l’homme noir. Des scènes qui se déroulèrent également dans toute l’Europe, comme aux Pays-Bas où des dizaines de milliers de Blanches défilèrent pour supplier les noirs de les réduire en esclavage sexuel.

Tout ceci pour dire que la police française vient de se livrer à ce que l’on appelle communément une profanation contre le Messie des noirs et des femmes blanches d’Occident.

Vous pouvez trouver ça drôle, mais pour les noirs et les femmes blanches de moins de 30 ans, c’est beaucoup plus grave que les tags d’Oradour-sur-Glane. Dans 30 ans, Oradour aura été oublié et remplacé par cette fresque. L’Assemblée Nationale de 2050 sera composée de députés à l’image de la Nation qui auront fait de la fresque de Stains un lieu de pèlerinage républicain.

Celui qui osera taguer cette fresque sacrée devra affronter toute la colère de l’Etat comme c’est le cas aujourd’hui pour Oradour.

Dans le même esprit, les cendres d’Adama Traoré auront été placées au Panthéon à côté de celles de Djamel Debbouze et Joey Starr. Celles de Napoléon Bonaparte auront été foutues à la Seine pour lui faire expier ses crimes colonialistes et son tombeau des Invalides transformé en mémorial de l’esclavage.

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