La femme blanche à la tête de Besançon dénonce « le blanchissement » de la statue de l’homme blanc Victor Hugo ; une nouvelle statue corrigée par les autochtones !

La rédaction
Démocratie Participative
24 novembre 2022

 

Quand la municipalité écolo-gauchiste de Besançon noircit les statues pour exalter le remplacement des Blancs, c’est progressiste et tolérant.

Quand les autochtones agressés se défendent, c’est criminel.

Le héros, qui a ignoré la présence des caméras de vidéosurveillance, a été retrouvé par la police du régime.

L’Est républicain :

Un homme d’une vingtaine d’années a été interpellé ce jeudi 24 novembre matin à Besançon, suspecté d’être l’auteur du « white facing » de la statue de Victor Hugo. Une information confirmée par le procureur de la République, Etienne Manteaux, et le directeur de la sécurité publique, Yves Cellier.

Les autorités n’ont pas voulu s’étendre sur le profil du suspect. Ils nous ont confirmé que l’individu avait été placé en garde à vue et que l’enquête se poursuivait afin de savoir s’il a agi seul, ou en groupe. Connaître aussi ses motivations et déterminer s’il a agi par simple bêtise ou pour revendiquer une idéologie identitaire.

Le lundi 21 novembre, les passants et les services de la Ville avaient découvert que la statue de Victor Hugo à peine restaurée, située sur l’esplanade des Droits de l’Homme face à l’Hôtel de ville de Besançon, avait été peinte en blanc durant la nuit. Plus précisément son visage. Une plainte avait été déposée par la maire, Anne Vignot. Et une polémique qui a pris une ampleur nationale est alors née.

Il ne s’agit pas d’une « restauration », la statue n’était pas originellement marron. C’était un bronze classique.

C’est du black facing remplaciste.

C’est la première fois que je vois une municipalité « peindre » une statue de bronze.

C’est aussi la première fois que je ne vois aucune réaction du ministère de la culture devant ce qui relève d’une dégradation objective.

L’explication est simple, Macron a mis une créature arabe du Liban à la tête de ce ministère et sa ligne est qu’il y a le bon vandalisme (antiblanc) et le mauvais vandalisme (corriger le vandalisme antiblanc). Après qu’une autre statue a été corrigée par les autochtones, elle a réagi en ce sens.

Les phénotypes de ces colons orientaux insolents sont atroces.

Ce sénégalais Ousmane Sow est à n’en pas douter un sculpteur médiocre.

Sa seule qualité, c’est la sincérité raciale qu’il exprime, comme en témoigne la sauvagerie lourde et brutale de ses créations. Comme toujours avec le nègre, ça dégringole vers le bas.

Il y a 25 siècles, Athènes, avec ses 50,000 habitants, produisaient déjà des oeuvres immortelles qui éclipsent encore aujourd’hui tout ce qui peut venir de ce continent aussi vide de génie qu’il est plein de nègres.

Aussi médiocre que soit cet Ousmane Sow, aucune municipalité n’a normalement carte blanche pour s’amuser à « repeindre » une oeuvre.

Sinon, n’importe quel maire pourrait s’amuser à « corriger » des Rembrandt ou des Poussin parce qu’il se sent une âme de peintre.

Si vous connaissez les méthodes des bureaucrates des FRAC, ou même de l’urbanisme, vous savez qu’on ne peut rien faire de ce genre sans s’exposer à des retombées, y compris légales.

Pas ici.

Ce vandalisme woke est revendiqué par la municipalité, plus exactement par la femme blanche qui fait semblant de diriger la municipalité, Anne Vignot.

C’est du bolchevisme culturel, ni plus ni moins.

L’écolo-marxiste Anne Vignot

Il y a une concertation entre la succube libanaise du ministère et le réseau néo-communiste woke représenté par les femmes blanches et les homosexuels de l’écolo-gauchisme.

La preuve en est apportée par la féroce répression fomentée par la vandale Vignot.

Elle a enflé ce mercredi 23 novembre quand une autre œuvre du sculpteur sénégalais Ousmane Sow a été vandalisée. La statue L’homme et l’enfant, installée non loin de la gare Viotte de Besançon, avait été blanchie. Les malfaiteurs ont peint en blanc le visage et les mains du corps de l’œuvre. Comme pour les actes malveillants déplorés sur la représentation de l’auteur des Misérables, la thèse d’un acte accompli par des individus issus de la mouvance d’extrême droite est privilégiée.

« Les blanchissements de ces œuvres sont des actes graves et alarmants qui relèvent d’un racisme profond et décomplexé que certains responsables politiques encouragent et alimentent », a affirmé la municipalité. La majorité municipale, menée par Anne Vignot, maire Europe-Ecologie Les Verts, souhaite aussi l’ouverture d’une « enquête sur l’ultra droite bisontine pour incitation à la haine raciale ».

Bordel.

Victor Hugo est un homme blanc et cette dinde de Vignot hurle au « blanchissement » après l’avoir négrifié unilatéralement.

On peut dire avec une absolue certitude qu’une ville française qui tombe aux mains des écolo-marxistes d’EELV est une ville finie.

Villiers a été bien inspiré, cette fois-ci.

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