La femme alpha Marine Le Pen investit un transfuge de chez Zemmour pour liquider Philippe Vardon à Nice !

Captain Harlock
Démocratie Participative
05 mai 2022

 

C’est officialisé, Philippe Vardon, à la tête de l’opposition RN au conseil municipal de Nice, affrontera un candidat RN aux élections législatives.

Il s’agit de Benoît Kandel, un opportuniste venu de chez Estrosi.

Rallié à Zemmour lorsque les sondages étaient prometteurs, Kandel a finalement quitté le séfarade parce que son parti, Reconquête de la Judée !, refusait d’excommunier formellement Vardon à la veille du premier tour pour cause de « radicalité » dont, d’après Kandel, le Kahal était fort ému dans ce département si quadrillé par les fils d’Abraham.

Par un retournement de situation dont seule l’alcoolo-tabagique de Montretout a le secret, c’est donc l’ancien pro-Zemmour anti-RN qui est désormais le candidat RN dans les Alpes-Maritimes, tandis que Vardon est devenu un marginal qui sera prochainement traité de neon-Nazi par le Michel Boujenah de Perpignan, Louis Aliot.

Dans le flipper juif, la boule aryenne cogne d’un juif dans un autre.

Vardon tente une candidature, mais c’est en vain. Il sera prochainement limogé et ne pèsera rien électoralement.

La mère Le Pen se fout énormément des législatives. Cette rombière horrible a sauvé la boutique familiale pour les 5 prochaines années, lui permettant d’être candidate en 2027 – car elle sera candidate en 2027. Et en 2032, jusqu’à ce que ses points retraite soient totalisés.

L’affreuse Marine Le Pen a été transparente à l’Assemblée pendant 5 ans, tandis que Mélenchon et sa vingtaine d’enragés occupaient médiatiquement l’espace de 150 députés. Quoi qu’on pense de Mélenchon, il a l’énergie de celui qui veut se venger. C’est un esprit politique qui travaille, ferraille, réfléchit, négocie, dramatise, revient à l’assaut, se replie, provoque, fait mine de pas comprendre, tonitrue. Il déambule, hilare et colérique, sur sa mince corde d’acier tendue vers le champ de ruines qu’il prépare pour la France. Il est le chef de l’avant-garde de l’immense cohorte nègre qui s’apprête à s’effondrer sur la France – 4 milliards de nègres d’ici 80 ans, prêts à bondir sur l’Europe féministe avec son demi gosse par femme en âge de procréer.

Face à lui, le gros poulpe mou Le Pen qui affiche l’énergie d’une fonctionnaire d’un centre de documentation qui va en vacances à la Réunion.

Sur le papier, la droite nationaliste française pèse 30% du corps électoral. En pratique, elle ne pèse rien politiquement, car elle n’a aucune force organisationnelle, aucune puissance de pénétration organisée, aucune conception fixe, hormis l’austère vénération du juif.

Le racisme lui est inconnu, seul l’islam, dans ses formes urticantes, lui tient lieu de viagra. Qu’un bougnoule savant surgisse enrobé dans un drapeau tricolore et la résistance à l’envahisseur s’évapore, jure que le malentendu est dissipé.

Les désespérés, en chapelets de pénitents, s’en vont chez le juif Zemmour protester, lequel répond par l’invocation de la grandeur éternels des rois de France qui étaient, vous l’apprendrez de sa bouche assurée, tout de même un peu juifs, en passant. Un peu d’eau bénite suffisant pour réaliser le tour de passe-passe.

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