La DILCRAH judéo-maçonnique tente désespérément de censurer Démocratie Participative

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
10 janvier 2018

La liberté d’expression s’arrête là où commence la tyrannie juive.

Les juifs et les pédales de la DILCRAH, une des antennes de la police politique gouvernementale, ont désespérement appelé à la répression contre DP.

Je dois dire que ce hashtag en carton avec cette pauvre copie A4 de la plainte sentent l’effet de com’ à destination de ses employeurs. Avec un tel côté tata premier de la classe, je soupçonne Potier, un de ces préfets commis aux basses oeuvres, d’être homosexuel.

Quoiqu’il en soit, cette volonté de nous censurer démontre que nous disons la vérité. On ne censure pas le mensonge.

La DILCRAH est une structure gouvernementale intégralement contrôlée par les juifs du CRIJF et de Bernard Henri-Lévy. C’est une simple extension de la LICRA financée par les contribuables blancs pour lancer la chasse à ceux que les juifs désignent comme ennemis.

La définition de la « haine » de cette organisation se résume à ceux que les juifs veulent abattre pour conserver le contrôle du gouvernement. Djihadistes ou simples blogueurs, c’est du pareil au même.

Ils sont aussi un relais de ce qu’il reste du PS.

L’idée est de transformer l’intégralité de l’appareil d’état en une gigantesque machine judéo-trotskiste dont le but final est d’abâtardir racialement la France. Bref, de s’assurer de la dégénérescence définitive du pays et de la société.

Notre stratégie fonctionne parfaitement. Pour tenter de détruire l’opposition digitale, ces singes déploient des moyens toujours plus importants et font des dégâts collatéraux toujours plus énormes. C’est-à-dire ces millions de Français qui subissent des restrictions croîssant exponentiellement au plan légal comme au plan technique, sur le net.

Nous allons contraindre ces juifs à une escalade dans la censure générale jusqu’à ce que la population en son entier souffre de leur tyrannie. Ils n’arrêteront pas car ces gens là, lorsqu’ils arrivent au pouvoir, ne souffrent plus la moindre marque de défiance ou d’irrévérence. C’est la soumission à l’oppression sémitique ou la liquidation pour le rebelle.

C’est ce que les gens vont comprendre : ce n’est pas une question de « racisme » ou « d’homophobie », le but n’a rien à voir avec ça. Le but est de les détruire, eux, et qu’ils acceptent leur sort sans protester.

Mais comme d’habitude, ce projet grandiose se trouvera stoppé.

Et après, le dénouement traditionnel.