La crise vaginale contre l’Afghanistan hétérosexuel s’intenfie

La Rédaction
Démocratie Participative
16 octobre 2024

 

Les féministes blanches sont occupées à fomenter une nouvelle catastrophe. Après qu’un bureau obscur a décrété que 20 millions d’Afghanes avaient un droit inaliénable à vivre en France, décision rejointe quelques semaines plus tard par l’Union Européenne, la rage vaginale continue de monter contre ce pays.

En état d’alerte maximal, nous parlons de cette fièvre depuis plus d’un an déjà.

Comme ici :

La femme alpha Solène Chalvon-Fioriti présente son projet de repeuplement de la France par des féministes afghanes

Comme je vous l’annonçais ici même le 25 septembre dernier, le sujet est désormais de monter une seconde croisade ovarienne contre l’Afghanistan.

Hier, sur le plateau du juif Cohen, nous apprenions que nous avons une « dette » vis-à-vis des Afghans qui, au demeurant, nous envahissent pour trafiquer de la drogue dans nos rues.

Cette dette doit être apurée.

Il va falloir sauver une deuxième fois l’Afghanistan des Afghans.

L’idée d’être enfin disciplinée dépasse tout ce que peut concevoir le cerveau d’une traînée. Imaginez que cette folle – probablement lesbienne – est tellement obsédée par le clitoris des Afghanes qu’elle explique harceler les Talibans jusqu’au pied du ministère de la vertu et de la répression du vice pour exiger des explications.

Et ils ne la fouettent même pas.

Personne ne prend au sérieux ces vociférations ovariennes, mais c’est une erreur. Les juifs, les homosexuels et les femmes blanches gouvernent les démocraties occidentales et toute crise d’hystérie de l’un de ces groupes se convertira fatalement en politique d’état.

Au vu du degré d’hystérie permanente qui règne désormais dans les démocraties, ces reportages à répétition contre l’émirat d’Afghanistan ne resteront pas lettre morte ad vitam aeternam.

Quand vous y ajoutez le juif, vous savez que quelque chose se trame.

L’islam sunnite a toujours interdit la représentation d’êtres vivants.

Et quand bien même.

Ces femmes et ces juifs veulent encore répandre le sang de l’homme pour agresser ce pays. Comment, c’est trop tôt pour le dire.

Que Cohen et ses garces viennent à Kaboul.

Ce sera différent des plateaux climatisés parisiens.

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