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Captain Harlock
Démocratie Participative
02 mai 2019
Avant que j’en vienne aux événements récents au Venezuela, une sombre feuillée tropicale gorgée de moustiques porteurs du paludisme, certains de nos lecteurs se demandent en quoi, de près ou de loin, ce qui peut se passer dans ce trou à rats nous concerne.
Très brièvement : les juifs veulent détruire l’Iran, le dernier état qui les empêche de plonger le Moyen-Orient dans le chaos total. Pour y parvenir, ces mêmes juifs ont donné l’ordre à leur golem américain d’étranger l’Iran économiquement. Principalement en réduisant à zéro ses exportations de pétrole brut.
Le président #iranien Hassan #Rohani a déclaré mardi que l’#Iran continuerait à exporter du #pétrole malgré l’interdiction totale que les #EtatsUnis s’apprêtent à décréter, a rapporté Press TV. pic.twitter.com/ZJpIr9hrOJ
— CGTN Français (@CGTNFrancais) 1 mai 2019
Le problème que rencontrent les juifs de Washington, c’est qu’il faut remplacer les quelques 2 millions de barils journaliers que les Iraniens vendent sur le marché mondial afin d’éviter une envolée des prix aux conséquences économiques imprévisibles.
Accessoirement, toute envolée trop significative des prix a pour effet immédiat de remplir les coffres de la Russie qui peut ensuite produire tout un tas d’armement ultra-modernes dont Poutine se sert pour aider freiner les USA dans sa sphère d’influence.
Les bougnoules du Golfe ne peuvent pas combler cette production. En s’emparant du Venezuela, les juifs escomptent se débarrasser d’un état hostile à la colonie juive de Palestine mais aussi alimenter le marché mondial en pétrole vénézuélien pour rendre vraiment efficace l’embargo en question.
Maintenant que nos lecteurs comprennent les grandes de ligne de ce qui se passe, je rappellerai que si les juifs détruisent l’Iran, plus rien n’empêchera les djihadistes de s’emparer du Liban, de la Syrie, de l’Irak.
L’Iran sera une Libye à une échelle dix fois supérieure, ouvrant la voie à une immigration marron colossale en direction de l’Europe.
Il n’y aura plus rien entre le fin fond du Pakistan ou de l’Afghanistan et la Turquie. Il va sans dire qu’Erdogan pourra à tout moment laisser passer ces millions de baiseurs de chèvres pour atteindre l’Europe.
Si l’Iran tombe, le flanc sud de la Russie sera ouvert et les républiques ex-soviétiques d’Asie Centrale deviendront le terrain de chasse du Mossad, de la CIA, du MI6 qui y expédieront des centaines de milliers d’égorgeurs d’allah dans l’espoir de semer la guerre civile en Russie même.
Le monde européen sera sans défense face à la sauvagerie islamique pendant que les juifs se déchaîneront chez nous pour importer un maximum de ces créatures hirsutes en provenance de Dar-al-Islam. Au nom des droits de l’homme.
Voilà le projet.
Et juste pour que vous compreniez que dans cet enfer judéo-globaliste où nous vivons, tout est cohérent, de Caracas à Téhéran en passant par Paris :
La @CFDT exprime son soutien aux Vénézuéliens qui marcheront ce #1ermai pour le rétablissement des libertés et de la démocratie
— CFDT (@CFDT) 1 mai 2019
Laurent Berger (CFDT), « condamnant tous les violents » et déplorant le « syndicalisme bashing »: « Quand on voit les choix de certains leaders Gilets Jaunes pour les européennes, nous avions raison d’évoquer l’existence dans le mouvement d’un soubassement d’extrême-droite ».
— D. de Montvalon (@demontvalon1) 1 mai 2019
Comme je suppose que le scénario syrien et libyen réédité à l’échelle de l’Eurasie ne vous inspire rien de bon, ce qui se passe au Venezuela nous concerne.
Maintenant que vous savez ce qui se joue, on peut en venir à ce fameux putsch foiré d’avant-hier.
Le Vif :
Après une tentative de soulèvement ratée contre le président vénézuélien Nicolas Maduro, les Etats-Unis ont brandi la menace d’une intervention militaire, mais l’éventail des options de Washington se resserre face à une situation qui risque de s’enliser.
Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a affirmé mercredi que le président Donald Trump se tenait prêt, si nécessaire, à faire intervenir l’armée américaine au Venezuela, où de violents heurts ont suivi le soulèvement la veille d’un groupe de soldats partisans de l’opposant Juan Guaido, reconnu comme président par intérim par une cinquantaine de pays, dont les Etats-Unis. « Une intervention militaire est possible. Si c’est nécessaire, c’est ce que feront les Etats-Unis« , a dit le secrétaire d’Etat.
« Nous préférerions une transition pacifique (…), avec le départ de Maduro et la tenue d’une nouvelle élection, mais le président (Trump) a clairement fait savoir qu’à un certain moment il faut savoir prendre des décisions », a poursuivi M. Pompeo. « Il est prêt à faire ce qui s’impose ».Le chef du Pentagone, Patrick Shanahan, a d’ailleurs annulé mercredi à la dernière minute un voyage prévu en Europe, invoquant les développements au Venezuela.
Mais pour Michael Shifter, président de l’Inter-American Dialogue, qui défend la démocratie en Amérique Latine, les derniers événements rappellent la tentative ratée de M. Guaido de faire entrer l’aide internationale au Venezuela en février. « Il est clair que les forces de l’opposition ont sous-estimé l’aptitude de Maduro à conserver le pouvoiret sa capacité à résister à la pression de la rue », indique M. Shifter, pour qui les menaces de M. Trump de faire usage de la force sont « inefficaces et souvent contreproductives ».
Le Département d’Etat a choisi cette pédale de Guaido parce qu’il ressemble à Obama est que c’est le meilleur moyen de le vendre à l’opinion publique américaine qui ne comprend rien à ces histoires.
Quelle sale gueule de mulâtre dégueulasse.
Ce nez vient du Ghana, au moins du Ghana
Apparemment, sur place, le gouvernement vénézuélien peut compter sur des conseillers iraniens, cubains et russes mais aussi sur des gens du Hezbollah libanais.
Pour que les juifs commencent à parler d’intervention militaire directe, c’est que cette tanche de Guaido a prouvé qu’il était incapable de quoique ce soit. L’armée vénézuélienne ne cède pas.
Personnellement, je ne pense pas que Trump soutienne une intervention armée mais bon, on verra.
