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La rédaction
Démocratie Participative
24 novembre 2022
L’île musulmane de Mayotte, dans l’Océan indien, est à feu et à sang !
Ce département français, au même titre que le Loiret ou le Vaucluse, attend que les contribuables français prennent leurs responsabilités.
Les médias de droite sont catégoriques sur ce point.
L’édito de Gauthier Le Bret : «Mayotte au bord de la guerre civile» pic.twitter.com/d6JJZs00Db
— CNEWS (@CNEWS) November 24, 2022
« Nos compatriotes » mahorais attendent que nous les délivrions de leurs compatriotes mahorais.
Mayotte : « Des mineurs, des jeunes adultes, la plupart en situation irrégulière, que nous appelons terroristes […] mettent notre île à feu et à sang », rapporte @EYoussouffa. « Quels actes de barbarie supplémentaires faut-il pour que la République réagisse ? »#DirectAN #QAG pic.twitter.com/eEGB1mkIgN
— LCP (@LCP) November 22, 2022
La république (le portefeuille des Blancs) doit réagir !
Marine Le Pen, passablement réveillée depuis avant-hier avec la perspective de voir la loi Veil sur l’éradication des bébés blancs entrer dans la constitution, est totalement revigorée.
Rien n’a plus d’effet sur elle que la perspective de faire pleuvoir du fric sur un caillou peuplé de noirs des DOM.
L’Or Bleu !
La situation sécuritaire à Mayotte est hors de contrôle. Prise en otage par des criminels, très souvent d’origine étrangère, l’île de Mayotte doit subir en plus de cela, l’abandon de l’État et le désintérêt de ceux qui nous gouvernent. Il est temps de remettre Mayotte en ordre ! https://t.co/pLapKjcPii
— Marine Le Pen (@MLP_officiel) November 21, 2022
Je vous explique la chose, c’est vraiment simple.
À chaque fois que vous entendrez le mot « Mayotte » dans les médias à propos de quoi que ce soit, cela veut dire que vous allez verser de l’argent à ces peuplades. Rassurez-vous, vous n’avez rien à faire, si ce n’est remplir correctement votre déclaration d’impôts et laisser les hauts-fonctionnaires et les politiciens se charger des dépenses.
C’est simple, non ?
Voilà.
Il n’y a rien d’autre à savoir.
Sauf, peut-être, que cet argent sert à multiplier les problèmes, c’est-à-dire les mahorais.
Pour information :
Plus les Français déversent de fric sur cette île, plus il y a de crépus sur cette île. Plus il y a de crépus sur cette île, plus il y a de problèmes. Plus il y a de problèmes, plus les Français déversent du fric sur cette île, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’une des deux entités, la France ou Mayotte, défaille.
Mayotte est certes très solide quant à sa capacité à produire des négrillons en quantités industrielles, mais la capacité de la France à vouloir incinérer son fric emprunté aux banques juives dans la natalité africaine est bien supérieure. La lutte va donc durer.
Remarquez que cela vaut aussi pour l’immigration non-blanche en France. C’est la même logique, avec le même résultat.
D’après les prévisions, cette île, qui a la superficie de 5% d’un département français de métropole, verra sa population tripler d’ici 2050, à 750,000 unités de noirs musulmans contre 250,000 actuellement.
Les gens marron sur place, pleinement informés de cette réalité, ont des tas d’idées et de demandes qu’ils veulent faire à Paris pour accompagner cette démographie dynamique du plus avant-gardiste des départements français :
Je fais confiance à la république.
Nous allons mettre les moyens.
Hors de question de céder un seul pouce de terrain de l’empire.
La solution la plus évidente, pour atténuer les difficultés de nos compatriotes de Mayotte, sera de soulager l’île en important quelques centaines de milliers de mahorais en métropole. C’est déjà marginalement le cas, mais il faut intensifier les efforts.
Le peuplement de la Gaule sera vivifié par ce sang neuf.
Sans même parler du financement des retraites des boomers, qui en a grandement besoin.
Comme je dis toujours : « Mayotte avant Villenavotte ! »
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