La Chine interdit la musique de nègre

Capitaine Harlock
Démocratie Participative
23 janvier 2018

Il est une chose largement sous-estimée, y compris au sein des cercles les plus conscients de la question raciale, c’est la négrification mentale qu’a induit la victoire des Américains en 1945 en Europe de l’Ouest.

Ce phénomène, puissamment amplifié par le vecteur de l’immigration nègre et créole en France, a été habilement utilisé par les juifs dans l’industrie de la culture de masse – cinéma, musique – pour détruire l’âme des populations françaises.

Par mimétisme, singer le nègre est devenu un des piliers de la dégénérescence culturelle occidentale.

La Chine semble l’avoir parfaitement compris et, en tant qu’empire autoritaire décidé à dominer le monde, elle n’entend pas laisser la juiverie agiter des nègres pour ruiner sa jeunesse.

Swiss Info :

Les amateurs de hip-hop chinois redoutent que leur musique favorite ne soit mise au ban par les autorités, irritées par la vulgarité ou l’agressivité de certaines paroles. Ils craignent notamment une nouvelle directive gouvernementale restrictive.

Vendredi, les réseaux sociaux ont spéculé sur une directive gouvernementale apparemment destinée aux télévisions chinoises. Le texte leur interdirait de donner l’antenne à « des artistes avec des tatouages, à la musique hip-hop » et aux musiciens « en conflit avec les valeurs essentielles et la morale du parti ».

Aucune nouvelle réglementation n’a encore été rendue publique. Mais un rappeur connu sous le nom de GAI, suivi par près de quatre millions d’abonnés sur Weibo, l’équivalent chinois de Twitter, a soudainement disparu vendredi d’un show télévisé regardé par de nombreux téléspectateurs, « Singer ». Les spéculations se sont multipliées alors sur les réseaux sociaux pour savoir s’il était victime des nouvelles règles.

« C’est un signe montrant que le hip-hop va être interdit », estimait ainsi un commentateur sur Weibo. Tout en soulignant « l’esprit positif » du hip-hop malgré certaines paroles ordurières, il s’interrogeait: « le hip-hop vient d’émerger et maintenant le voilà brutalement interdit. N’est-ce pas de la régression culturelle? ».

D’autres commentateurs tournaient en ridicule sur les réseaux sociaux l’agence gouvernementale de supervision des médias. La qualifiant de « stupide », l’un d’eux s’est dit « honteux » de son attitude.

Contenus patriotiques favorisés

Le hip-hop chinois était apparu au grand jour l’an dernier avec la première saison sur internet d’une compétition très populaire, « Le rap de Chine ». Celle-ci s’est achevée en septembre après avoir enregistré près de trois milliards de vues.

Mais l’émergence du hip-hop semble devoir se heurter au renforcement de l’emprise sur la liberté d’expression du Parti communiste, soucieux de favoriser des contenus patriotiques et harmonieux – qualificatif désignant la propagande du parti – dans les médias et les arts.

« Patriotisme » et « harmonie » ne passent pas pour des valeurs que les juifs aiment voir de développer chez leurs proies. En lieu et place, des nègres camés avec des flingues appelant à la guerre raciale et à l’émeute, accoutumant la victime à désirer son sort, ont leur préférence.

Louis Farrakhan a eu l’honnêteté de le reconnaître à plusieurs reprises.

La juiverie américaine guette avec le plus grand intérêt l’essor de la Chine, un colosse qui, s’il tombait sous son emprise, lui garantirait une main-mise absolue sur la finance du 21ème siècle.

C’est pourquoi Hollywood et toute l’armada du disque constituent, comme la verroterie et l’alcool jadis avec les nègres d’Afrique, le meilleur moyen de percer.

Quand la juiverie entreprend de chasser une proie, elle commence par se présenter comme un innocent groupe religieux qui ne demande qu’une chose : la liberté religieuse.

Bien sûr, la juiverie n’a pas en tête la sécurisation d’un quelconque cours de talmud, mais bien l’idée d’établir un quartier-général avec l’aval des autorités. Une fois « reconnue » par l’état, la juiverie hurle à la persécution jusqu’à obtenir tout un arsenal répressif qui lui permet de persécuter la population autochtone parallèlement à l’extorsion à outrance qu’elle opère dans le pays, au plan financier.

Les juifs n’arrivent d’ailleurs jamais les mains vides : ils vont voir le monarque, lui font contempler les possibilités illimitées qu’offrent leur art de la manipulation financière, assurant au souverain que ses coffres seront remplis au delà de toutes ses espérances. Pour faire bonne mesure, les juifs offrent de larges sommes d’argent à celui qui dirige l’état comme à ses courtisans, sans oublier de le couvrir de flatteries.

Le juif ne demande « qu’une maigre concession dans le domaine des finances et du commerce » en échange de ses dons. Avant que le monarque n’ait décuvé, il est la créature de ses nouveaux hôtes.

Les juifs ne redoutent pas tant la réaction d’un chef d’état à leurs déprédations qu’une réaction populaire qui contraigne le gouvernement à agir sans que l’or ne puisse rien y faire.

C’est pourquoi, pour cette race d’escrocs, détruire la santé morale du peuple ciblé est essentiel tout en essayant d’ailleurs d’en retirer un substantiel bénéfice. Elle guette tous les vices latents chez la nation qu’elle observe pour exploiter la moindre opportunité d’en multiplier par mille les manifestations.

Le scénario se déroule tout simplement.

Steve Lanski, producteur chez Disney, téléphone à Mike Benchettrit, producteur chez Universal. Mike téléphone ensuite à Tyrone qui arrive dans son bureau.

Mike Benchettrit

Tyrone Big Zone A alias « Black Spade »

Quelque part à Los Angeles.

-Hey Tyrone, comment ça va ? Je suis content de te voir.

-Yo Mike, wesh, ça roule, wesh ?

-Bien, bien. Dis, je viens de parler à quelqu’un de très important, on a un projet pour toi. Ce serait pour la Chine.

-Ouai yo, chez les Ching Chong ? Ch’sais pas yo, ils mangent avec des guettes-ba mec, ils sont trop che-lous, yo.

-Ouai, je sais Tyrone, je suis bien d’accord, mais tu sais ce que c’est, le business.

-Ouai, ch’sais bien, mec, ouai, t’as vu.

-Donc, en gros, on règle tout en amont, toi tu prends l’avion une fois tous les trois mois avec ton équipe. Tout est réglé. Tu baises des petites bridées, etc. Tout est prévu.

-Ouai, yo, combien de cachet, man ?

-On verra les détails, mais du gros gros pognon Tyrone.

– Wesh, je vais en parler au crew, man, je vais en parler, man. C’est des tournées de combien man ?

-Des grosses tournées, des centaines de milliers de petites jaunes rien que pour toi Tyrone. En plus des couvertures, etc. On te briefe sur la com’, les messages à envoyer, tu vois.

-Wesh, ça sonne frais, Mike, c’est sûr, ça sonne.

Le nom de l’album s’intitule « New way », avec déjà des photo shootings sympa.

Ouai.

Et puis intervient le Jaune en chef. Un type avec un niveau d’empathie légèrement inférieur à celui d’une amibe.

S’il est une chose que l’essor de la Chine a démontré et va rendre encore plus limpide aux yeux du monde, c’est le poison mortel que constitue la démocratie, le masque de l’anarchisme et de ses souteneurs sémitiques.

Plus la Chine s’affirme et plus les « démocraties » s’enfoncent dans leur propre fumier, donnant une confiance encore plus accrue en elle-même à ce bloc d’un milliard d’hommes.

C’est à peu près là que s’arrête le « modèle chinois » mais c’est largement suffisant. Que pourront nous dire les laquais démocrates qui nous persécutent quand, dans le même temps, ils se mettront en scène en train de cirer les pompes de cet état autoritaire ?

Nous devons en finir avec la démocratie et en finir vite.