La Chine et l’Iran signent un partenariat stratégique de 25 ans pour 400 milliards de dollars

Captain Harlock
Démocratie Participative
28 mars 2021

Un monde libéré des juifs est en train de naître

Il n’y a pas encore si longtemps, les démocraties pouvaient décréter quel état avait le droit d’exister et quel état devait être détruit par la famine et la guerre.

L’Iran faisait partie de ces états. Non pas parce que l’Iran est une république islamique – l’Arabie Saoudite est un état djihadiste beaucoup plus radical que l’Iran auquel sont alliées les démocraties – mais parce que l’Iran a toujours refusé de devenir ce que nous sommes nous-mêmes : les esclaves des juifs.

Les juifs ont consacré énormément de temps et d’énergie pour détruire l’Iran et le transformer en démocratie LGBT avec le mythe de la chambre à gaz pour religion d’état, sans succès.

L’Iran est effectivement le seul état du monde qui enseigne la version historiquement exacte de ce que l’on appelle « l’holocauste », à savoir que les chambres à gaz sont un mythe fabriqué par les juifs pour criminaliser l’Allemagne nationale-socialiste et interdire à toutes les nations de chercher à se libérer des griffes de la juiverie financière.

Bien que la juiverie américaine prétende que l’Iran est isolé, ce pays sera bientôt la principale puissance du Moyen-Orient grâce à l’alliance stratégique qu’il a noué avec la Chine.

France 24 :

C’est l’aboutissement de plusieurs années de discussion. L’Iran et la Chine ont conclu samedi 27 mars à Téhéran un accord de coopération stratégique et commerciale sur vingt-cinq ans.

Ce « pacte de coopération stratégique de vingt-cinq ans », dont les détails comme les grandes lignes doivent encore être dévoilés, a été signé par le ministre des Affaires étrangères iranien, Mohammad Javad Zarif, et son homologue chinois, Wang Yi, en visite à Téhéran, a constaté un journaliste de l’AFP.

La signature de ce pacte illustre la priorité donnée aux relations avec « l’Est » – c’est-à-dire pour l’Iran des États comme la Chine, les deux Corées, l’Inde, le Japon ou la Russie – conformément à l’inflexion donnée par Ali Khamenei en 2018 en rupture avec l’un des slogans les plus populaires de la révolution iranienne de 1979 : « Ni Ouest, ni Est, République islamique. »

La Chine est le premier partenaire commercial de la République islamique d’Iran et était l’un des principaux acheteurs de brut iranien avant le rétablissement, en 2018, des sanctions américaines contre le secteur énergétique iranien, qui a fait chuter les exportations pétrolières de Téhéran.

Selon les Affaires étrangères iraniennes, l’accord signé samedi est une « feuille de route complète », comportant des « clauses politiques, stratégiques et économiques » pour « vingt-cinq ans de coopération » entre l’Iran et la Chine. Pour Pékin, il s’inscrit dans son vaste projet d’infrastructures lancé avec plus de 130 pays.

La genèse du pacte irano-chinois remonte à la visite du président chinois Xi Jinping à Téhéran en janvier 2016. Téhéran et Pékin s’étaient alors engagées dans un communiqué commun « à mener des négociations pour la signature d’un accord de coopération élargie sur vingt-cinq ans » et « de coopérer et avoir des investissements réciproques dans les différents domaines, notamment les transports, les ports, l’énergie, l’industrie et les services ».

« Le gouvernement et le peuple iraniens cherchent, comme ils l’ont toujours fait, à élargir leurs relations avec des pays indépendants et fiables tels que la Chine », avait déclaré à l’occasion Ali Khamenei, jugeant « tout à fait correct et sage » le projet sino-iranien, également présenté comme un « partenariat stratégique global ».

Le rapprochement de Téhéran avec Pékin survient dans un climat de défiance renforcée de la République islamique vis-à-vis de l’Occident et en période de tensions entre Washington d’un côté, et Téhéran et Pékin de l’autre.

La dénonciation unilatérale par Washington en 2018 de l’accord international sur le nucléaire iranien et l’incapacité des Européens à aider la République islamique à contourner les sanctions américaines rétablies cette année-là ont achevé de convaincre les autorités iraniennes que l’Occident n’est pas un partenaire « digne de confiance », selon l’expression de Ali Khamenei.

Le volume des investissements chinois en Iran sera de 400 milliards de dollars sur les 25 prochaines années.

The New York Times :

Ce projet détaillait 400 milliards de dollars d’investissements chinois à réaliser dans des dizaines de domaines, dont les banques, les télécommunications, les ports, les chemins de fer, les soins de santé et les technologies de l’information, au cours des 25 prochaines années. En échange, la Chine recevra un approvisionnement régulier – et, selon un fonctionnaire iranien et un négociant en pétrole, à très bas prix – en pétrole iranien.

Le projet appelle également à l’approfondissement de la coopération militaire, y compris la formation et les exercices conjoints, la recherche conjointe et le développement d’armes et le partage de renseignements.

Les démocraties occidentales n’ont rien à offrir au reste du monde. Elles ne sont plus qu’une sorte de gang armé menaçant l’humanité entière de bombardements et d’embargo si elle refuse d’instaurer des parades d’homosexuels ou le culte devant être rendu au nègre, le Surhomme des démocraties.

La Chine ne cherche pas à modifier la culture des nations du monde contrairement aux terroristes de la démocratie juive. Elle investit auprès d’états clients avec pour seul objectif d’étendre son influence économique et diplomatique.

Le seul avantage dont dispose encore l’empire judéo-américain est le contrôle qu’il exerce sur la circulation des capitaux. D’ici dix ans, la Chine aura finalisé son propre système de financement international qui ne pourra pas être contrôlé par la juiverie new-yorkaise.

Ce sera la fin de l’ère juive.

Je comprends d’autant mieux la situation de l’Iran que nous sommes nous-mêmes victimes de cette tyrannie judéo-démocratique. Nous sommes censurés, jetés en prison par des tribunaux sémitiques et pillés par la finance internationale qui importe des millions de sauvages d’Afrique pour terroriser nos familles. Tout cela tandis que la presse juive nous insulte quotidiennement.

Mais ce n’est pas parce que la France ou l’Europe tolèrent cette situation qu’il en est de même ailleurs.

L’écrasante majorité des nations du monde ont une haute conception de leur dignité nationale et ont désormais un bloc de puissances pour soutenir leur émancipation face au péril judéo-démocratique.

La France est d’ailleurs régulièrement citée comme exemple d’une grande nation qui, rongée par la démocratie juive, finit dans le caniveau, piétinée par des envahisseurs.

L’Iran est indubitablement la nation la plus diffamée par les juifs. On ne peut comparer cette campagne de haine et de mensonge qu’à celle qu’a eu à affronter l’Allemagne libre d’Adolf Hitler.

Les gens qui visitent l’Iran découvrent un pays qui n’a rien de commun avec les descriptions des médias démocratiques.

L’Iran est un pays beaucoup plus libre que la France où les Français sont internés chez eux et surveillés en permanence par la DILCRAH, la police politique juive.

Le pays devrait être beaucoup plus prospère qu’actuellement si les juifs n’essayaient pas d’affamer cette nation parce qu’elle refuse de croire aux chambres à insecticide d’Adolf Hitler.

Grâce au partenariat chinois, tout cela changera rapidement.

Comme je le disais, la Chine ne veut pas transformer votre pays en champ de ruines et assassiner vos enfants sous les bombes parce que vous ne croyez pas à cette histoire bizarre de millions de juifs gazés avec des granulés anti-poux dans une pièce, quelque part en Pologne.

Un jour l’Europe sera libérée de ces juifs et elle redeviendra ce qu’elle a été.

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