Julia, la fiotte déguisée en femme, une nouvelle fois insulté par des mâles marrons agressifs Place de la République

Captain Harlock
Démocratie Participative
10 avril 2019

 

Il y a une chose que cette dystopie juive va nous fournir au fil des années, c’est une source inépuisable de rire sarcastique.

Cette fiotte déguisée en femme dénommée « Julia » – Charles Bronson selon la terminologie générique – a une nouvelle fois été assignée à résidence sexuelle par des oppresseurs islamo-fascistes de banlieues, Place de la République.

Bien.

Intersectionnalité de droite

Le temps est venu de développer ce que j’appelle l’intersectionnalité de droite contre cette tyrannie judéo-égalitariste.

Cela consiste à déclencher ou à exacerber les tensions raciales, ethniques, religieuses, sexuelles, partout et tout le temps et rendre ainsi cette société dégénérée totalement ingouvernable par les juifs et, plus généralement, tous les ennemis de l’homme blanc hétérosexuel.

Cette approche nouvelle offre des possibilités presque illimitées.

Exciter les tenants du hijab contre les fiottes et les féministes, les mâles maghrébins contre les beurettes à khel, les esclavagistes arabes contre les nègres, les évangélistes nègres contre les afro-féministes, les gauchistes blancs contre les mâles marrons du Califat, les laïcards contre les voilées, etc..

Le but est d’abord de renforcer l’inégalitarisme comme fondement social en alimentant le racisme, l’antisémitisme, la suprématie masculine et toute forme de hiérarchisation organique.

Toute hiérarchie repose sur le rapport de force pur, c’est-à-dire la capacité d’exercer sa domination par la coercition de ses ennemis. Le potentiel racial des hommes blancs étant par définition supérieur à celui de nos ennemis, tout changement de paradigme reposant sur l’exercice de la force brute et la soif de domination joue en notre faveur.

La mentalité égalitariste, qui est en réalité une soif de subordination du fort par le faible, doit être détruite pour libérer le potentiel aryen. Soumettre l’ennemi est non seulement essentiel mais doit être recherché consciemment.

Ensuite, il s’agit de neutraliser stratégiquement les ennemis en excitant la haine entre le plus de composantes sociologiques ennemies possible en jouant sur toutes leurs divergences et leurs déterminismes.

Enfin, il s’agit de forcer, en réaction, les masses blanches à se replier sur elles-mêmes en adoptant défensivement des réflexes anti-égalitaristes, anti-universalistes et ethno-différencialistes dans leur vie quotidienne. Bref, à les extirper de leur individualisme égalitariste qui les empêche de se penser en groupe racial uni.

Ce cocktail permettra de faire s’effondrer la démocratie judéo-individualiste en participant activement à la destruction de la société au profit de sous-entités socio-biologiques irréductibles.

L’intérêt de l’intersectionnalité de droite, c’est qu’elle se nourrit de l’intersectionnalité de gauche qui repose sur le tribalisme allogène et le communautarisme sexuel instrumentalisés par les juifs mais pour mieux rendre impossible toute constitution d’un front antiblanc unifié sous direction juive.

C’est une arme prometteuse dans l’arsenal du racisme blanc.

Cette approche rompt radicalement avec l’approche réactionnaire qui consiste à défendre coûte que coûte le système actuel en prétextant qu’il est au moins le produit culturel des Occidentaux au détriment des allogènes.

C’est une illusion : ce système ne se maintient qu’en dévitalisant l’homme blanc. Il est voué à la destruction.

Plus la balkanisation sera ouverte, plus vite la confrontation avec nos ennemis raciaux aura lieu. Et le temps, pour nous, est essentiel compte tenu de l’impératif démographique.

Maintenir cette république juive sous respiration artificielle au motif que des vieux boomers veulent pouvoir toucher leur retraite avant le cataclysme racial n’est pas un argument recevable. Vouloir sauver la dégénérescence d’hier pour essayer de délégitimer celle qui est déjà en place aujourd’hui non plus.

Ceux qui ont peur de la confrontation sont ceux qui ont quelque chose à y perdre. Seuls nos ennemis ont effectivement à y perdre.

La race blanche, dont la jeunesse est éternelle prise collectivement, a tout à y gagner.

Ô mes frères, suis-je donc cruel ? Mais je vous dis : ce qui tombe il faut encore le pousser !

Tout ce qui est d’aujourd’hui — tombe et se décompose ; qui donc voudrait le retenir ? Mais moi — moi je veux encore le pousser !

Connaissez-vous la volupté qui précipite les roches dans les profondeurs à pic ! — Ces hommes d’aujourd’hui : regardez donc comme il roulent dans mes profondeurs !

Je suis un prélude pour de meilleurs joueurs, ô mes frères ! un exemple ! Faites selon mon exemple !

Et s’il y a quelqu’un à qui vous n’appreniez pas à voler, apprenez-lui du moins — à tomber plus vite ! — 

Ainsi parlait Zarathoustra

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