#JewishPrivilege : le privilège juif en tendance sur le Twitter mondial !

Captain Harlock
Démocratie Participative
13 Juillet 2020

 

Voilà près de deux mois que les médias juifs sont saturés de ce concept hébraïque bizarre de « privilège blanc ». Grâce à ce concept, les juifs ont déclenché la plus grande insurrection raciale de l’histoire suite à la mort d’un acteur porno noir, George Floyd.

Il se trouve que les facultés américaines où ce concept antiblanc a été élaboré sont verrouillées par les juifs.

Selon cette théorie complotiste d’origine juive, les pays blancs seraient dirigés par des Blancs et, pour une raison inexpliquée, ces mêmes Blancs devraient donner leurs pays aux populations marron de la planète entière afin d’abolir la « suprématie blanche ».

Il est pourtant bien connu que les pays blancs sont contrôlés par les juifs et que les juifs bénéficient de privilèges absolument exorbitants qui reposent sur un concept encore plus bizarre que les juifs appellent « l’holocauste ». C’est une théorie qui affirme qu’Adolf Hitler, un homme politique allemand, aurait gazé avec de l’insecticide en pastilles quelques 6 millions de juifs dans une sorte de pièce au fond d’une prison en Pologne.

D’après les juifs cette théorie qui remonte à la moitié du siècle dernier suffit à interdire les habitants de nombreux pays d’Europe de parler de différents sujets au risque d’être jetés en prison pour avoir déplu à ces mêmes juifs. A commencer par le fait de vouloir discuter paisiblement de cette théorie qu’ils appellent « l’holocauste » et que très peu de gens parviennent à comprendre parce qu’elle souffre de nombreuses incohérences.

La liste des pays européens où il est interdit de contredire les juifs est considérable.

Il est un fait indiscutable que les juifs décident de qui peut ou non s’exprimer en Occident.

L’actualité est pleine de déclarations d’organisations juives sur le sujet.

En plus de ces lois, l’internet occidental est également soumise à une censure de la part des grandes entreprises de l’internet. Ceci s’explique principalement par le fait que la Silicon Valley – où se concentrent les grandes plateformes digitales occidentales – est contrôlée par les juifs. Qu’il s’agisse de Facebook avec Mark Zuckerberg, de YouTube avec Susan Wojcicki et de Google avec Larry Page et Sergueï Brin.

Tous les autres secteurs sont également concernés par le privilège juif.

Hollywood est totalement contrôlé par les producteurs juifs.

Tout comme le secteur financier new yorkais qui est sous la coupe de la banque juive Goldman Sachs.

Les grands médias américains sont également contrôlés par les juifs.

Près de 40% des 400 plus grosses fortunes américaines sont juives d’après Forbes.

Comme le déclarait le maire juif de Chicago, Emmanuel Rahm, les juifs sont dans une « position unique » en Amérique au regard du pouvoir sans limite qu’ils y exercent.

D’ailleurs, ils tiennent tout l’établissement politico-médiatique américain par un système de proxénétisme à caractère pédophile comme le démontre l’affaire Epstein.

Chez nous aussi, les juifs contrôlent tous les médias. Les exemples sont trop nombreux pour être cités ici en intégralité.

Il est admis qu’en France aucun ministre de l’Intérieur ne peut prendre ses fonctions sans se rendre à la synagogue pour demander l’approbation des juifs.

D’une manière générale, les gouvernements occidentaux doivent explicitement faire savoir que leur pouvoir dépend des juifs. Ce qu’ils font notamment en se rendant en pélerinage en Israël pour se prosterner devant l’idole de l’holocauste.

Tout ceci pour dire qu’au moment où émerge ce concept bancal de « privilège blanc » dans les médias occidentaux sous contrôle juif, jamais le privilège juif n’a été aussi spectaculaire et total, tant au plan politique que financier mais aussi territorial avec le droit accordé aux juifs d’établir un état raciste et ségrégationniste en Palestine.

Car les juifs, qui dénoncent avec virulence le fait que des Blancs vivent dans des pays blancs, bénéficient du privilège unique de pouvoir posséder le seul état raciste du monde qui est légalement engagé dans une agressive politique d’expansion territoriale au détriment de populations de couleur.

Il n’est pas possible de contester ce privilège racial juif à cause de cette théorie de « l’holocauste ». D’ailleurs, les juifs font voter dans tous les états occidentaux des lois pour interdire « l’antisionisme », c’est-à-dire l’opposition au privilège juif de disposer d’un état raciste.

Aussi, quand le hashtag #JewishPriviledge (« Privilège juif ») a gagné en popularité sur Twitter hier, les juifs ultra privilégiés se sont mis à pleurnicher en assurant qu’ils étaient une minorité persécutée et marginalisée. Comme les roms qui font la manche.

« Je vois que #JewishPrivilege est à la mode parce que les gens sont convaincus que c’est un vrai truc. J’aurais aimé que quelqu’un fasse savoir à mon grand-père qu’il se trouvait dans un wagon à bestiaux en direction d’Auschwitz. »

Ce joker éternel qu’est l’holocauste est censé permettre aux juifs de clore n’importe quelle conversation à leur avantage sans que les goyim ne puissent y redire.

Personnellement, comme je n’ai jamais cru à ce concept étrange, je compte bien continuer à parler du #privilègejuif et à inviter les gens à une analyse critique de la situation pour abolir la suprématie juive.

Il faut que nous en parlions parce que c’est autrement plus réel que la théorie conspirationniste du Privilège Blanc.

Commentez l’article sur EELB