« Jean Victor », cambodgien adopté par des Blancs, veut assassiner ses parents privilégiés pour leur faire payer leur mentalité coloniale

Captain Harlock
Démocratie Participative
30 août 2019

 

C’est un fait solidement établi qu’il n’y a pas plus Boomer qu’un Boomer ayant adopté un négrillon ou acheté un coréen dans un marché aux chiens de Séoul, dans les années 80.

C’est un signe extérieur d’affirmation pour l’über Boomer mitterrandien. Un signe de pleine réussite sociale.

Des choses intéressantes commencent à se passer dans la post-France tiers-mondisée où le soleil se couche sur Boomerland. Notamment la soif génocidaire naissante des gens marron adoptés par des Boomers socialistes.

Un khmer cambodgien dénommé Jean-Victor – oui, oui – a entrepris de faire le procès politique public de ses parents blancs. Des colons qui ont apparemment vocation à être Pol-Potisés.

Ce khmer homosexuel reprend le verbiage judéo-trotskiste en usage pour dissimuler l’essence du bordel psychologique dans lequel patauge sa cervelle : à savoir qu’au milieu des Blancs, il est un jaune, il sera toujours un jaune, il a tout fait pour ressembler à un Blanc, il a même, à un moment donné, pensé qu’il était blanc, pour finir par admettre, avec haine, qu’il est un jaune.

La réalité lui revient à la tête : il a une face de pamplemousse et sa place est à Siem Reap, pas quelque part dans une ville française.

Du coup, l’âme du khmer éternel reprend le dessus, chez Jean-Victor niakwé.

En tant que premier admirateur revendiqué de Pol Pot, je peux dire avec confiance que ce khmer veut assassiner ses parents adoptifs après les avoir très longuement torturé pour leur faire payer de l’avoir fait sortir de sa rizière.

Les khmers ne sont pas méchants, c’est juste que de temps en temps ils ont besoin d’éventrer quelqu’un pour manger sa vésicule biliaire.

Au Cambodge, vous avez des fosses communes un peu partout. N’importe quel champ d’entrée de village a son lot de macchabées qui mijotent là depuis 40 ans.

Ils ont aussi fait des piles de crânes de leurs voisins.

Quand vous entendez parler du « génocide khmer rouge », c’est en fait l’histoire de la moitié d’un village qui a assassiné l’autre moitié pendant cinq ans avant de retourner boire son alcool de riz.

Ce Jean-Victor se venge donc de ses parents dégénérés en essayant de les doubler dans la dégénérescence tout en voulant nous génocider, nous les Blancs.

J’ai une vraie solution pour ce type de cas : le rapatriement.

Quant aux parents adoptifs, le traitement Pol Pot me semble tout à fait indiqué.