Je voulais vous parler du nouveau livre de Stella Kamnga

Captain Harlock
Démocratie Participative
14 novembre 2021

 

Je suis tombé sur ce tweet aujourd’hui et mes lecteurs savent que c’est un de mes sujets de discussion favoris.

Avant de revenir ce que dit Nicolas Faure, je vous propose de méditer sur cette image car c’est l’image d’un livre qui existe vraiment dans la réalité.

C’est réel.

Il ne faut jamais sous-estimer la capacité de la France à être une caricature d’elle-même, sinon on risque de se faire mal. J’entends par là qu’il ne faut jamais prendre au sérieux la France, se laisser aller à de très dangereuses ivresses romantiques dès qu’il s’agit de la France. Car il y a immédiatement péril de mort. Tous ceux qui le font sous l’emprise d’une funeste sincérité finissent dépossédés, ruinés, roulés dans la merde, arnaqués au triple, raide morts, pissés dessus une fois claqués. Ce n’est pas une théorie très fumeuse, c’est l’enseignement des siècles.

La France ne remercie et n’honore que ceux qui lui défèquent dans la bouche, la larde de coups de surin, lui crachent très cordialement au fond de la glotte.

C’est pas un malentendu, c’est un rapport à la vie.

Prenez ces 1,4 millions de Français, la moitié de paysans celtes, transformés en viande froide en 14-18 dont on célébrait la charcuterie en pâté avant-hier : ils ont pris au sérieux la France. Ils seraient très déniaisés, stupéfaits, s’ils voyaient leurs arrière-petites-filles se faire salement remplir le cul par l’Afrique en guirlande, croyez-moi bien. C’était pas prévu dans les manuels de Jules Ferry, ces vis de nègres limant en tribus les fions des plus fraîches Gauloises enamourées… C’est pas des choses que racontait Monsieur l’Instituteur (socialiste)… Si par je ne sais quelle façon de faire tourner les tables on leur avait fait voir l’avenir, ils en auraient fait de drôles de mines, les braves dévoués, rapport au salaire de leurs tripes en boudin, ruisselantes de sang et de chiasse, tout écrabouillées dans les tranchées ! Ils en auraient étiré des faces tordues par la contrariété, parmi les régiments, devant la millénaire conclusion française !

Ce n’est qu’après coup que les plus lucides on comprit l’horreur, absolument fumière, que représente le « patriotisme français » une fois qu’on le découpe post-mortem sous le microscope. C’est pas plaisant ni exaltant pour ses illusions et sa naïveté, j’en conviens, quand on a été dindon, que de sentir l’arrière-goût de filassure de chiasse après une copieuse bouchée qu’on croyait être de la fraise en gelée maculée d’une fraîche rosée de champagne. On a sa fierté. Mais il faut bien s’essayer à l’épreuve, sous peine de finir cadavérique. Sous ses airs ingénus et bien inoffensifs se cache derrière le « patriotisme français » le charnier aux proportions démentielles de la pire machine anti-aryenne d’Europe, pas même égalée par l’Angleterre.

L’Angleterre c’est le cynisme, la France c’est le fanatisme guillotineur dans sa haine catégorique de la viande blanche. Cherchez pas ailleurs, ce ne sera jamais que des tentatives mal emmanchées, mal fichues, boulot d’amateurs ou de bicots, vite commencées, vite abandonnées. Dans la haine de la race blanche, la France a la patience des siècles et la main sûre du sage.

Ultima ratio regum dit le rabbin quand il mobilise la France contre l’aryanité.

Citons Louis-Ferdinand, il faut toujours citer Céline, revenir à Céline, notre maître et grand éclaireur dans la nuit, celui qui tient à bout de bras la précieuse et très frêle lanterne qui mène au chemin. Le seul type qui a jamais compris la France dans son état exact, sans garnitures louches de Turquie à la Maurras.

Tout le reste est lilliputien dérisoire.

La religion judaïque est une religion raciste, ou pour mieux dire un fanatisme méticuleux, méthodique, anti-aryen, pseudo-raciste. Dès que le racisme ne fonctionne plus à sens unique, c’est-à-dire dans le sens juif, au bénéfice des Juifs, toute la juiverie instantanément se dresse, monte au pétard, jette feux et flammes, déclare le truc abominable, exorbitant, très criminel.

Le racisme n’est plus alors qu’un effroyable dégueulasse subterfuge crapuleux pour détrousser les Juifs, un charabia de préjugés rétrogrades, puants, le vestiaire, l’affreuse friperie du capitalisme aux abois, le refuge des anti-humains qu’il convient de pétroler immédiatement, de réduire en cendres tout de suite. Une diablerie sinistre. Le sort, l’avenir, la sauvegarde du monde dépendent de la célérité de cette opération. Par la foi des anti-racistes !

Le bûcher ! Raciste égale Sorcier !

Le racisme aryen ? Pouah ! Quel scandale ! Qui avait jamais entendu parler d’une si extravagante pitrerie ? Quelle régression ! Quelle négation de tous nos progrès moraux, sociaux, si douloureusement acquis par l’élite si maçonnique de nos philosophes à travers les siècles ! Et les Droits de l’Homme piétinés ? Et tous les usages agréés ? (Juifs bouffent Aryens). Et les cinquante siècles d’enculeries éperdues d’indigènes ? Et les cent mille traditions convenables ? Quelle peste à nos portes ! Brune ! Jaune ! Verte ! Violette ! Spumeuse ! Pfoui ! Les obscènes déments ! Qu’on les enferme ! Qu’on les fricasse ! Qu’on les branche ! Qu’on les fouette tous jusqu’à l’os ! Que ça gicle ! Que ça éclabousse ! Ah ! vous allez me la respecter l’Apostellerie judaïque ! Merde ! La plus tendre des entreprises de rénovation des humains par exhortations persuasives ! Saloperies râleuses ! Vous les adorer pas encore vos philosophes ? vos juifs ? vos anges ? Il est temps ! Il est moins cinq ! Vous allez pas tout de suite les plaindre, Nom de Dieu ! vos bourreaux chéris ! Foutre racaille ! Avant qu’ils vous fassent crever ? Ah ! Que voilà des bonnes paroles ! bien claires, bien simples, bien émouvantes ! Qui vous vont directes droit au cœur !

Ne pas divaguer si possible, très bien retenir l’essentiel et puis vociférer, à s’en faire péter toutes les cordes, sur tous les tons. Racisme d’abord ! Racisme avant tout ! Dix fois ! Mille fois Racisme ! Racisme suprêmement ! Désinfection ! Nettoyage ! Une seule race en France : l’Aryenne !… très normalement adaptée, installée. Le reste c’est que des farcissures, des impostures, des saloperies.

Trois groupes aryens ! Les Alpins (les plus nombreux), les Nordiques, les Méditerranéens : Aryens tous. Et c’est marre, et c’est tout. Ça suffit. C’est bien facile à retenir.

Les Juifs, hybrides afro-asiatiques, quart, demi-nègres et proches orientaux, fornicateurs déchaînés, n’ont rien à faire dans ce pays. Ils doivent foutre le camp. Ce sont nos parasites inassimilables, ruineux, désastreux, à tous les égards, biologiquement, moralement, socialement, suçons pourrisseurs. Les Juifs sont ici pour notre malheur. Ils nous apportent que du malheur. Ce sont les Juifs qui ont coulé l’Espagne par métissage. Ils nous font subir le même traitement. Ils nous rendent la vie impossible sur notre propre territoire. Ils ne pensent qu’à nous rançonner, nous asservir, toujours davantage, toujours plus intimement, plus
dégueulassement, nous faire massacrer en de nouvelles révolutions, de nouvelles guerres, de plus en plus longues, de plus en plus saugrenues… Ce sont des gangreneux maniaques, contaminateurs de nos plus terribles véroles délabrantes, insatiables. Ils n’ont rien à faire par ici. Ils nous sont mille fois plus funestes que tous les Allemands du monde.

Ce sont les Allemands qui ont sauvé l’Europe de la grande Vérolerie Judéo-Bolchevique. Nous nous débarrasserons des Juifs, ou bien nous crèverons des Juifs, par guerres, hybridations burlesques, négrifications mortelles. Le problème racial domine, efface, oblitère tous les autres. Il relègue aux fantasmagories, aux accessoires pour cotillons et partouzes démagogues toutes les conjectures dites sociales, dites communistes, dites socialistes, dites maçonniques. Tout autant de prématurations monstrueuses, d’anticipations imbéciles, de fanfaronnades criminelles, charruteries, charriages judaïques avant les bœufs. Kabaleries, prestidigitations, satrapies épileptiques, enragées fumisteries, abracadabrantes entreprises pour toutes tortures asiatiques, forceries marxistes abortives. Toute l’ignoble Grande-Guignolerie des youtres apôtres fraternisateurs. Pitreries criminelles.

Avant de tâter du parcours communiste, si périlleux, si miraculeux, les hommes devraient bien d’abord, avant tout, être engendrés convenablement, se présenter au départ avec des pédigrées nets. Ce n’est quand même pas ce quarteron de rabbins chassieux, pouilleux, négroïdes, cette racaille panarde, épileptoïde, nasillante, qui va revenir au 20ème siècle nous refaire le coup des Tables ! des Lois prophétiques ! Merde ! Y a de l’abus ! Aux douches ! Tordus pustuleux ! Que les Aryens se débrouillent seuls ! Qu’ils s’épurent d’abord ! qu’ils deviennent dans leur propre race autant de spécimens possibles ! On verra dans la suite des temps pour les tentatives communistes ambitieuses ! Ce serait une gageure idiote de vouloir faire courir en steeple le premier percheron venu, mal équarri, cabochard, véron. On l’améliore d’abord, l’animal, on le lance pas comme ça ! On l’affine par hérédité. C’est l’élevage ! On le surveille de père en fils. On le croise pas au petit malheur avec des chevaux juifs, des perclus, foutus,surtarés, pires rebuts d’étables immondes, bidets odieux, intouchables depuis des siècles dans tout l’Orient, dispersés, honnis, évincés des pires pouilleries de l’Univers. Salut ! Et c’est ça qui va nous dresser ? nous féconder ? Chiots ! Ça peut donner que des horreurs ! Encore un siècle de ce régime et on nous fera voir à huis-clos, payant, pour les frissons de répugnance.

Racisme ! Mais oui ! Mais comment ! Mais plutôt mille fois qu’une ! Racisme ! Assez de nos religions molles ! Nous avons été suffisamment comme ça introduits par tous les apôtres, par tous les Évangélistes. Tous Juifs d’ailleurs depuis Pierre, le fondateur, jusqu’au Pape actuel en passant par Marx ! Le nationalisme est encore un truc de juif pour nous tétarer davantage, pour nous faire mieux entre-tuer de chenil en chenil. Ça va ! Ça suffit ! Vive le Racisme ! On a compris à force de cadavres.

Vive la Religion qui nous fera nous reconnaître, nous retrouver entre Aryens, nous
entendre au lieu de nous massacrer, mutuellement, rituellement indéfiniment.

Vive la Religion si sévère, si impitoyable qu’elle nous ferait vivre dans la perpétuelle terreur d’être encore un coup trahis par nos sales instincts, de retomber dans les mêmes vices, les mêmes tueries fratricides. Nous voulons être traités plus sévèrement que des porcs, nous l’avons mille fois mérité. Y a pas de raison qu’on nous prive !

On verra plus tard pour les paradis sociaux. Chaque chose en son temps.

Sur un Français, ça fait l’effet d’une décharge sèche de mitrailleuse dans les couilles.

Il n’en revient pas qu’on puisse mettre des mots de la langue française dans cet ordre pour donner naissance à des idées comme ça. Il les relit, scandalisé, pour vérifier que c’est bien les mêmes mots que ceux homologués par le Larousse.

Il est outré.

Quelques paragraphes de Céline sont plus accablants de sens que vingt années de déconnantes billevesées hyper médiatiques françaises, hurlées universellement par l’armada des plumitifs pédés, enjuivés, aigrefins cocos qui « causent » et nous abrutissent de mots pour ne rien dire, cent mille fois et à répétition.

Il y a à la fois le diagnostic du Docteur Destouches et le remède, carabiné, de Monsieur Céline.

De fait, on aurait plus de succès si on se mettait à vendre des friandises au cyanure que du racisme en barres. Faut pas se faire d’illusions, notre niche n’a pas bonne réputation. On nous invite pas aux évènements, on nous offre pas facilement un kir.

Pour tirer la France de sa fosse à purin où elle mijote toute de tendresse pour le mulâtre et le yid, il faudrait prioritairement – notez-le bien – dézinguer la moitié, sinon les trois quarts, de la franscaille. Au surplus, les dix ou quinze millions de survivants devraient être redressés par séjour périodique en camp de travail sur 50 ans (au moins), à féroces coups de pompe dans le cul par commandos de commissaires politiques absolument sadiques, pour que finalement une demi étincelle éclaire la cervelle d’une dizaine de pourcents de ces rescapés et qu’ils finissent par admettre que le nègre n’a pas à sauter de femmes blanches sur la terre de Gaule ni à agiter une carte d’identité française.

Et encore, ce serait à regrets, petits pas prudents à reculons, chiasseux en périphrases, confusément, le regard cherchant une porte de sortie, scrutant la survenue du faciès rassurant du nègre d’espérance.

Devant l’hypothèse du racisme – c’est-à-dire de se mettre à son compte – le Français proteste d’avoir été salement abandonné à son sort par une odieuse somme de conjurés, crapules accomplies, empoisonneurs patentés, possibles violeurs d’enfants. Comme le chien laissé au bord de la route en départ de vacances, le voilà seul avec lui-même, consterné, d’après lui la pire crasse qu’on puisse lui faire.

Le Français veut ses nègres et ses juifs – tautologie – et il veut ses ordres, il veut son sucre.

Une lueur de vie ne s’allume au fond de son œil terne que quand – miracle – un nègre lui dit « je vous aime ».

Alléluia !

Le Français triqué à parfaitement intériorisé sa soumission.

Mendiant d’attention, le pénitent est tout de déférence.

Sur ces considérations, j’en viens à Nicolas Faure qui raisonne encore franchouille, se dit de « droite » (à la droite de quoi ?), s’acharne dans le « nationalisme » et finit snobé par les médias nationalistes de droite franchouilles qui préfèrent célèbrer la vibrionnante Jeanne d’Arc (pour changer) Stella Kamnga.

Le nationalisme, en France, c’est par définition la mort de la race blanche. C’est la clause du contrat social, sa finalité.

Pour que vive France, l’Aryen doit mourir

C’est très clair, très explicite.

Personne ne lit l’article de la Constitution de la Grande Nation ?

Moi si. Mieux, je sais la lire.

La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée. 

Le petit-fils de rabbin Debré

Les Français absolument français, fiers d’être français, les Français 100% France, ils ont une vision très nette de leur nationalité, contrairement à ce que ce disent les identitaires qui n’y comprennent rien : mulâtres à fond, mort au racisme ! Des noirs marrants, des pakpaks très pieux (même avec leurs gueules patibulaires), des toucequonvoudra qui font l’insigne honneur de venir écrire – en beaucoup mieux – une nouvelle et glorieuse page de l’histoire de France ! Mais attention, la condition est claire : il faut dire merci (merci de dire merci).

Un nègre qui dit merci, c’est le Français qui s’émeut de sa propre générosité. Famille élargie. Il s’en fait péter la tête, de sa générosité. Ceux qui tirent la langue – et qui lui gâchent sa fête – sont des Français étriqués, des décrépits, des franchement perdants, faux patriotes, distilleurs de pessimisme, des obsédés de l’épiderme totalement jobards. Des anachronismes biologiques, des intrus, des dégueulasses.

Des Boches.

Le Français, il tire la gueule quand on commence à causer de cette notion très éthérée dans son esprit de « race blanche ». Rien n’y fait, ça ne va pas, il ne vous invite plus à boire l’apéritif. Il vous trouve bien carne de venir lui parler d’histoire de France où il n’aurait plus ses philosophes juifs philanthropes, ses amis noirs, ses sportifs algéroïdes extraordinaires, ses princesses andalouses de Dunkerque, ses arménomorphes chanteurs de cabaret.

Y’a encore des gens qui pensent comme ça au 21e siècle ? Virginie

Ont-ils tort ?

Les Français se jettent dans le bain ragoutant du quart-monde pour s’échapper à eux-mêmes, eux qui ne se supportent plus.

Le nationalisme, c’est une dialectique en un temps et en un lieu donné. C’est une somme de circonstances, de conclusions, d’hypothèses, de factions contradictoires. Ce n’est pas un objet figé. Ca peut très mal tourner, il suffit de se planter dans un virage. Il s’avère que le nationalisme français, c’est la terreur jacobine qui l’a millimétré et que la terreur jacobine, c’est le communisme français. Le communisme français, c’est la totalité des velléités de pillage préventif de 52 millions de Gaulois à l’encontre de leurs voisins de palier.

Détrousser le voisin, c’est la seule et unique passion qui soulève l’enthousiasme des masses en France. C’est l’égalité.

Jalousie puis délation, ça finit chez les flics puis on appelle ça la République.

Ensuite, et par évidence, cette jalousie vorace s’étend à tout ce qui réussit racialement : on en fait des guerres mondiales !

On peut passionner le Français de n’importe quelle cause mais à une condition, toujours la même : exciter sa jalousie en le convainquant qu’il est la victime innocente d’une affreuse escroquerie sans laquelle il serait déjà millionnaire. Délesté contre la décence morale la plus élémentaire ! L’imagination fait le reste. Il se transforme en huissier, il se porte volontaire, il exige les règlements de comptes – et pas des petits, avec les heures supplémentaires et les bonus.

La vigilante jalousie du Français s’exerce en toute heure et en tout lieu, contre sa race.

Titillés à cette façon, les Français se sont mis à lorgner dur sur la Prusse fulgurante, à partir de la moitié du 19e siècle. « D’où c’est qu’ils sortent leur acier, ces sauvages ? Par quelque fine enculerie, nous le soutirent-ils, les ordures ?! Ruée hunique ! »

Des carrières entières fondées là dessus. Un siècle d’articles dont la relecture donne l’impression d’être le fait d’hallucinés sous sédation, de plans d’état-major.

Les Blonds de Poméranie, ça donnait des nœuds à l’estomac de Maurras le bicoïde qui s’estimait tout de même en peu soutiré biologiquement par le Grand Nord dans la loterie de l’évolution. La vision de la barbaque nord-française déchirée sur les barbelés d’Oultre Germanie pour la victoire du Latin suprême, ça l’exaltait, Maurras gardien de la Sublime Porte des Arts et des Lettres d’Antibes. Il trouvait ça une juste remise à égalité (encore !) face à de ce qui était une anomalie historique incompréhensible (pour un turkmène).

Il fallait que la France fasse redescendre l’Allemagne tandis que les latins faisaient descendre la France – au niveau des nègres.

Simple exercice d’apesanteur.

Le nationalisme allemand, c’est les Germains qui comprennent finalement que les boutiques politiques en cités-états les empêchent d’être le peuple qu’ils sont. Le nationalisme français, c’est les métèques politiques de Paris qui comprennent que les peuples celtes les empêchent d’être les pillards qu’ils sont. Deux constats différents, deux projets différents, ça devait mal finir.

La correction a été apportée, nette et définitive, par le colossal rouleau compresseur à métisser, l’Etat Français ultra antiraciste, broyeur des races gauloises et germaniques, intrônisateur de Sa Très Vénérable Majesté le Nègre, tambouille de bénitier.

Qui dit « nationalisme français » en 2021, dit nation française, qui dit nation française dit Nègre. Que ça plaise ou pas – et ça plaît largement plus que ça ne déplaît – la dialectique a tranché depuis beau temps, à force de tirailleurs sénégalais et de maghrébins reconstructeurs de France, de Français de branche promulgués ministres, d’Hottentotes d’Orléans, par les Droits de l’Homme et la Sainte Ampoule.

Ceux qui veulent survivre vont devoir sauter du train en marche et laisser les Français franciser en rond.

Donnez vos papiers estampillés RF à un clandestin, vous ferez une bonne action.

Il n’y aura pas de réécriture soudaine du scénario, d’aryanisation subite et miraculeuse par un séfarade magique du nationalisme français salopé par deux siècles de tyrannie maçonnique et de sémitisation à marche forcée. C’est un conte pour enfants que se racontent des gens qui croient sérieusement en quelque chose qui n’est pas sérieux et qui en crèveront.

C’est beaucoup plus dur de créer, d’avancer sur de nouveaux chemins, que de barboter dans la redite sénilisante, mais c’est la seule voie. Défiez-vous de tout ce qui est de droite, nationaliste, chauvin, ultra français : derrière les subterfuges d’une vieille maquerelle, on veut vous livrer au Nègre, vous éteindre.

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