« Je vais te faire la peau sale Polonais » : Papy Gorsky condamné à 25 ans de prison pour « meurtre raciste » après avoir abattu Saïd en légitime défense

Captain Harlock
Démocratie Participative
08 octobre 2021

Les juges rouges, les associations (((antiracistes))) et les journalistes n’aiment pas quand la population blanche se défend contre les arabes qui les harcèlent.

Le brave Papy Gorsky vient de l’apprendre à ses dépends.

Je vous préviens : vous allez avoir une violente nausée.

Sud Ouest :

Avant même l’étude de personnalité aux Assises des Landes, l’accusé plante le décor : « Je ne suis pas responsable ». Sa famille, elle, refuse catégoriquement qu’on parle de racisme dans cette affaire.

« J’étais surpris que les gendarmes me reprochent une tentative d’assassinat. Je n’ai jamais visé ni la tête, ni le cœur. Si j’avais voulu, à 2 mètres de distance, je l’aurais tué. C’était de la légitime défense. Je ne sais pas ce que je fais là », annonce d’emblée Claude Gorsky, 69 ans, cheveux blancs en arrière, à la voix un peu chevrotante. Depuis vendredi 1er octobre, il est jugé par la cour d’assises des Landes pour avoir tenté d’assassiner, sur fond de racisme, son voisin Saïd El Barkaoui, le 20 mai 2018 à Ychoux. Quatorze jours plus tard, le père de famille de 38 ans décédait d’une rupture d’anévrisme.

« J’ai passé quinze ans dans des pays arabes et on me traite de raciste. J’ai du mal à comprendre. » L’avocat général, Olivier Janson, ne le manque pas : « Les gens expliquent ne pas pouvoir être racistes puisqu’ils ont un ami noir ou arabe. Vous, c’est parce que vous avez habité en Arabie saoudite. C’est pareil. »

Les magistrats républicains aiment les arabes.

« Je ne suis pas responsable. C’était comme une procédure de lancement de missile. Il fallait le faire. Je l’ai fait. C’est fait », banalise-t-il, avant de revenir sur son parcours d’autodidacte, qui a rédigé ses mémoires de jeunesse. Les expertises parlent d’« une personnalité égocentrique, narcissique, agréable en apparence, mais rigide dans la remise en cause ».

Traduction du charabia des « experts » antiracistes : « Ce sale Blanc refuse de nous faciliter le travail en capitulant. Conclusion : c’est un taré. »

L’après-midi a été consacré aux proches de l’accusé. Les chroniques d’une famille au « racisme décomplexé », résume Olivier Janson. Maître Dutin, l’avocat des parties civiles, est revenu sur la garde à vue de l’accusé : « Il décide d’appeler la victime “El B.” et évoque sa compagne en l’appelant “Madame Trucmuche”. Votre empathie, il faut la chercher très très loin. »

Papy Gorsky est génial.

Il droit et dur contre l’ennemi racial.

Le fils aîné, David Gorsky, s’avance à la barre : « Saïd est la caricature de ce que mon père rejetait : un caïd, un dealer, un voleur. Depuis le collège, il était dans tous les mauvais coups. C’était le Billy the Kid du village. » « Pourquoi dites-vous ça ? », demande le président. « Ce n’est pas moi qui le dis, ce sont les rumeurs à Ychoux. »

Chauffeur agricole, Benjamin Gorsky, le plus jeune de la fratrie, arrive ivre de « colère contre l’administration, les associations, les avocats, les médias qui font passer ma famille pour ce qu’elle n’est pas ». Le trentenaire complète : « Saïd était dans mon cercle d’amis. Je lui achetais du cannabis, mais il entourloupait les acheteurs. » Faisant fi des proches de la victime dans son dos, il demande « qu’on rétablisse la vérité. Saïd était dangereux et imprévisible. Mon père n’a eu qu’un geste malheureux pour se défendre. Les victimes ne sont pas celles qu’on croit. Le décès de Saïd ne m’atteint pas plus que cela. C’est le karma qui l’a rattrapé. »

OUI !

Le karma !

Preuve en est, ce sale crouille est mort d’un AVC.

L’avocat général a repris les propos, récupérés lors d’écoutes, que Benjamin Gorsky a tenus lors du décès de Saïd El Barkaoui : « Fiesta ce soir, barbecue au cochon. Un arabe de moins sur Terre, le soleil brille. » Le fils conteste : « C’était dans le cadre d’une conversation privée et sous le coup de la colère. Qu’importe la couleur de Saïd. Cela aurait été le même résultat. Sa mort a été un vrai soulagement, sinon il aurait continué à faire la misère à ma famille. Qu’on ne me parle plus de racisme. »

Éliane Gorsky, la femme de l’accusé, précise : « J’avais la frousse de Saïd. Dès que je mettais un pied dehors, il m’insultait et me faisait des doigts d’honneur. Tout ça n’aurait jamais dû arriver. » L’assistante maternelle à la retraite ajoute : « Il aurait fini par nous racketter. Un jour, il m’a dit “qu’il nous briserait”. Il l’a fait, mais lui aussi a eu sa famille brisée. »

Pendant l’instruction, la mère de 68 ans s’est employée à contrôler son fils Benjamin : « Il faut qu’il se modère sinon il va donner confirmation que nous sommes racistes. » Certains témoins admettent du bout des lèvres : « Il [l’accusé] a fait une bêtise. » La cour d’assises ne juge pas des bêtises, que des crimes.

Ce n’est pas une bêtise ou un crime, c’est une œuvre sainte.

L’œuvre du karma.

Sud Ouest :

Ce mercredi 6 octobre, la cour d’assises des Landes a diffusé l’enregistrement de l’appel passé par Claude Gorsky à la gendarmerie, le 20 mai 2018, quelques minutes après avoir tiré sur son voisin Saïd El Barkaoui, à Ychoux

En ce quatrième jour du procès de Claude Gorsky, accusé d’avoir tenté d’assassiner son voisin pour des motivations racistes, la cour d’assises des Landes a diffusé l’enregistrement audio de son appel à la gendarmerie. Après avoir criblé de balles son voisin, le retraité est rentré chez lui et a composé le 17.

Dimanche 20 mai 2018, 18 h 34, petite musique d’attente avec la voix qui prévient « votre appel est enregistré ». Au bout de quelques secondes, un gendarme décroche. Claude Gorsky livre froidement : « Je viens de tirer cinq balles sur mon voisin à Ychoux ». Puis il décline son identité.

À l’autre bout du fil, le militaire s’étonne : « Mais pourquoi lui avez-vous tiré dessus ? » Réponse de l’appelant : « Ça fait trois à quatre ans qu’il m’emmerde. C’était la fois de trop. J’ai tiré avec un pistolet 22 long rifle. L’arme est sur la table de la terrasse. Il n’y a plus de balle à l’intérieur, elle est désarmée. »

Alertant en parallèle ses collègues, l’agent tente de garder le plus longtemps possible le contact avec M. Gorsky. Ce dernier répond : « Pas la peine qu’on reste en ligne ? Je sais que je vais aller en prison. Ça fait plusieurs années qu’il m’emmerde, ce trafiquant de drogue. C’est le voyou du village. Moi je suis un ancien militaire. »

Le gendarme lui demande de développer. « J’étais dans la marine pendant huit ans, puis j’ai travaillé pour la Défense et je faisais les tirs de missiles de Biscarrosse. »

L’agent demande : « On vous a donc appris à avoir du recul. Vous avez déjà dû être confronté à des situations difficiles. » Il confirme : « Oui, mais à midi encore, il m’a dit : « Je vais te faire la peau, sale Polonais ». J’en avais marre. C’était prévu et prévisible. J’ai appelé deux fois la gendarmerie et vu six fois le maire. Je suis très calme, tranquille, je vous attends. »

Bizarre, Saïd le bicot n’est pas raciste, lui ?

Comment se fait-il que l’hagiographie du martyr n’intègre pas cette dimension ?

« Enfin, ce n’est pas commun d’en arriver là », objecte le militaire. « Écoutez, je ne vais pas me faire emmerder encore dix ans. S’il est mort, j’irai en prison, au moins je saurai pourquoi et je serai tranquille. Personne n’a rien fait pour arrêter cet arabe trafiquant de drogue, qui profite de ce que lui donne la société. Il m’emmerdait, trop c’est trop. C’est comme ça. »

Au bout de huit minutes de communication, on entend des miaulements. Claude Gorsky s’impatiente et veut couper court à la conversation. « Je n’ai plus envie de rester en ligne. Faut que je respire un peu, que je décompresse. Je dois aller donner à manger à mes chats. Ce soir, j’irai dormir à la gendarmerie. »

Impossible pour le gendarme de le retenir. Claude Gorsky raccroche.

La colère de l’homme blanc sera identique à celle de Papy Gorsky. : glaciale comme une trique.

Claude Gorsky a été condamné, jeudi 7 octobre, à vingt-cinq ans de réclusion criminelle pour avoir tenté d’assassiner son voisin sur fond de racisme. Une peine « exemplaire » pour SOS Racisme et le Mrap.

« C’est un verdict sans précédent en termes de crime raciste. À ma connaissance, c’est la première fois en France qu’une telle peine est prononcée dans un procèspour tentative d’assassinat à caractère raciste », indique Guillaume Traynard, avocat de SOS Racisme.

L’association ainsi que le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (Mrap), se sont constitués parties civiles dans le procès de Claude Gorsky, accusé d’avoir, le 20 mai 2018, à Ychoux, tiré à cinq reprises sur son voisin Saïd El Barkaoui en le traitant de « sale arabe ». Il s’est conclu, jeudi 7 octobre, par vingt-cinq ans de réclusion criminelle, suivant en tout point la peine requise par l’avocat général, Olivier Janson.

Olivier Janson restera dans les mémoires.

Quand cette république française se sera totalement effondrée, il aura beaucoup de réponses à apporter à un public très curieux de savoir pourquoi il a armé l’envahisseur arabe contre la population française au nom de l’Etat Français.

Dès le départ, le caractère raciste de ce crime, circonstance aggravante en plus de la préméditation, était au cœur des débats. « C’est une décision exemplaire qui rétablit la justice dans son honneur et sa dignité, pour la famille évidemment mais aussi dans le concept même de lutte contre le racisme », appuie Pierre Mairat, conseil du Mrap. Me Frédéric Dutin, particulièrement investi depuis le début au côté des parties civiles, qu’il représente, complète : « On ne peut imaginer un message plus clair. C’est une sanction extrêmement lourde. Sans ambiguïté, la justice ne laisse pas de place aux comportements teintés et maculés de racisme. »

Les prisons dégueulant d’arabes et de nègres, les magistrats ont en effet pour seule cibles les Blancs submergés.

C’est leur priorité.

Lors des plaidoiries, Me Traynard a soutenu : « Cette affaire-là est la raison d’être des fondations antiracistes. Ce crime, pour lequel Claude Gorsky est plus peiné qu’on lui reproche d’être raciste que d’avoir tiré sur un homme. »

Les représentants locaux des deux associations n’osaient même pas imaginer pareille sanction. Mercredi 6 octobre, Sandrine Malet, cadre régionale de SOS Racisme, soutenait, à la barre de la cour d’assises : « En 1983, on pouvait mourir parce qu’on était maghrébin. Jamais je n’aurais pensé qu’en France, en 2018, je serais confrontée à quelqu’un qui tue par haine raciale. D’autant plus dans une petite commune des Landes. »

Sandrine Malet, aussi, aime les crouilles.

Elle aussi aura beaucoup de réponses à apporter.

Gérard Kerform, de la direction du Mrap, insiste : « C’est l’un des crimes les plus emblématiques de ces quarante dernières années. À travers le cas de M. Gorsky, nous dénouons tous les fils de l’émergence du racisme sous sa forme la plus grave. » Tant qu’il travaille en Arabie Saoudite ou en Égypte, « il tolère cette population soumise. Mais quand en France, la population maghrébine devient dans les faits son égale, il ne supporte pas. Il s’inscrit dans un schéma de radicalité. »

Le communiste Kerform est très soucieux du droit des arabes à semer la terreur en toute impunité.

Se fait-il enculer par des bicots ?

Catalysant la parole d’une famille déchirée par la douleur, Jamila, la sœur de Saïd El Barkaoui, résume leur combat : « Quand il a tué mon frère, il n’a pas tué un arabe. Il n’a pas tué un français. Il a tué un être humain ! »

Ne nous emballons pas, Jamila. Ton reuf reste un sale bicot.

Claude Gorsky, qui tout au long du procès a tant de fois prôné le respect des valeurs, brandit l’étendard de la République française face à son voisin, « un sale arabe qui profitait de la société ». Acceptera-t-il la justice de la République ?

Et vous, acceptez-vous la justice de leur République ?

Si vous avez aimé cette défense passionnée de la vermine arabo-musulmane par Sud Ouest, c’est grâce à la journaliste Karine Bertail dont le nom, à n’en pas douter, sera lui aussi gardé en mémoire pour les années qui viennent.

Je résume donc ce verdict « exemplaire » dont le régime et sa presse se flattent si bruyamment.

Un vieil homme prend sa retraite après une vie consacrée à la défense de la France, mais loin de passer des jours paisibles en famille il se retrouve harcelé par un profil classique dans les villes et villages de France : un bougnoule haineux qui exprime en toute impunité et sans retenue sa haine du gwer. Les mois puis les années passent, le papy va à la Gendarmerie demander de l’aide. Il tombe sur un maréchal des logis placide qui a le nez collé sur sa paperasse, indifférent. La hiérarchie s’en fout énormément. Un deuxième essai n’a pas plus de succès. Il alerte – à six reprises – la mairie sur l’enfer qu’il vit. Silence. Le bougnoule, lui, continue de pourrir sa vie, celle de sa femme et de ses enfants. Et du village entier, comme de juste. Les braves autorités françaises regardent ailleurs, elles ont des automobilistes à racketter. Un jour, lassé de tolérer l’intolérable, l’âme du vieux soldat Claude Gorsky prend enfin l’ascendant. Il décide d’agir en homme, debout, prend son arme et règle le problème après une énième menace de mort au caractère racial explicite : « Je te ferai la peau, sale Polonais ». Soudain, les femmes blanches de la presse découvrent l’existence du village et se passionnent pour le sort de l’arabe. Des magistrats sortis des loges décident de briller de mille feux dans les médias en brandissant haut la mystique de la gauche internationale. Le procès se transforme en Nuremberg du pauvre où toute la bourgeoisie établie peut faire d’une pierre deux coups : faire oublier sa lâcheté pour n’avoir pas défendu un honnête citoyen harcelé par un bicot pendant des années et parader en prétendant à l’exemplarité vertueuse. Le vieil homme, sans puissant lobby derrière lui, est condamné à une peine d’une rare dureté dans un pays où cette même justice rampe devant des arabes multirécidivistes.

La conclusion de la presse : le vieil homme aura-t-il la décence morale d’accepter la justice de la République ?

Paraît-il que nous serions haineux. Je trouve pour ma part que nous, les Blancs, ne déployons pas le millième de la haine que l’honneur commande et la nécessité impose.

Il n’y a qu’une seule conclusion à tirer : nous ferons la peau à cette république, à ses loges, à sa « justice », à ses médias. Peu importe le temps que ça prendra.

Patience et longueur de temps valent mieux que force et que rage

« Le lion et le rat », Jean de la Fontaine

*Merci à Racisme Positif

PS : il serait important de disposer des coordonnées du héros Claude Gorsky en prison pour lui apporter un soutien moral. Pour nous les faire parvenir : [email protected]

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