« Je n’ai pas entendu le mot confinement ! » : quand Etchebest léchait immodérément le cul de Macron en mars pour exiger un confinement total

Captain Harlock
Démocratie Participative
05 octobre 2020

 

Quand les maîtres de la France veulent impressionner les masses de Gaulois énervés, ils recourent traditionnellement à un type qui a fait du rugby et qui a un accent du sud ouest. Là, c’est carte blanche pour le pedigree racial, plus de prudente pudeur. Du Basque certifié avec cassoulet du crû et épais cou de bœuf. La commune de naissance de maman, les certificats. Tout ça pour tenir en respect les plus sceptiques d’entre tous les habitués du PMU qui se disent, « lui, c’est un vrai, on peut lui faire confiance ».

Mais c’est du flan.

Aucun joueur de rugby n’a jamais déjoué les plans d’un ashkénaze. Ça se saurait depuis le temps, on en aurait écrit des ouvrages.

Etchebest est une caricature du genre. C’est une très mauvaise copie de Gordon Ramsay qui lui est un authentique fils de pute écossais. Ramsay n’a pas besoin d’en faire des caisses pour suinter la haine. Dans les Highlands, ils ont jamais trop eu besoin de se forcer pour vouloir tuer un voisin. Tandis qu’Etchebest se contente d’étaler un gros pif, parce qu’un gros pif fait terroir et que c’est censé suffire pour nous faire fermer notre gueule.

« Quel magnifique discours de notre président » que tonitruait cette massive tête de con en mars dernier, mielleux, tout caressant sens du poil, avant de beugler, « mais je n’ai pas entendu le mot confinement ! »

Il causait comme un préfet.

Il l’implorait son confinement. Il le voulait gigantissime, énorme vraiment.

Il a été servi, macroscopique, cette soufflure.

Au même moment, ici, on hurlait exactement l’inverse. Mais il y avait beaucoup plus d’Etchebest pour jouer les premiers de la classe médiatico-sanitaire, les parfaits petits citoyens du Professeur Lévy et de Madame Buzyn.

Maintenant, il gémit. Il sait pas ce qu’il veut. Il fait des manières, il est pour et contre. Comme une femme à qui on refuse un caprice. Il miaule. Il supplie. « Comment pouvez-vous ?! Vous m’assassinez ! »

Il y a quand même une morale.

Je ne suis pas mécontent de voir ce genre d’enculés médiatiques qui se sucraient en pensant être du bon côté du manche se faire broyer par le pouvoir dont ils léchaient si studieusement la périphérie rectale. Macron s’en fout énormément de sa gueule à Etchebest et de son business. Il doit en rire, en privé, de toto avec ses casseroles. Il peut encore taper dessus pendant trente ans.

Il peut étaler sa pyramide, le frère trois points.

Tous ces « chefs » étoilés sont maçons. C’est leur coquetterie. Ils ont l’impression d’en savoir plus long.

Dans toute cette insanité, si le supplice de ce genre de fayots pouvait se conclure par leur ruine, ça serait une petite compensation. J’en prendrais bien mon parti.

Voir Etchebest déposer le bilan serait comme un petit rayon de soleil. Y’a pas de raison que ça soit toujours les petits qui dérouillent.

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